milohoffman Posté(e) le 25 avril 2007 Partager Posté(e) le 25 avril 2007 Sinon, du petit bout de conf que j'ai vue, il me semble que quant une journaliste en parle, Bayrou ne nie pas cete histoire exact, il a répondu à la journaliste qu'il n'aimait pas le fait qu'on publie ce genre d'information sans son accord ceci dit, les propos en question ne datent pas d'hier, quelle coincidence quand même qu'ils soient divulgués le jour de la conférence de presse Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ndjpoye Posté(e) le 25 avril 2007 Partager Posté(e) le 25 avril 2007 ceci dit, les propos en question ne datent pas d'hier, quelle coincidence quand même qu'ils soient divulgués le jour de la conférence de presse Les grand mystères du hasard ... ou pas Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ilcanzese Posté(e) le 25 avril 2007 Auteur Partager Posté(e) le 25 avril 2007 ça ne doit pas être loin de la verité non plus............ c'est pour ça que niko aimerais avoir un bô parti au centre et ................a ça botte, mais françois n'est pas daccord, a juste raison pour moi Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Vassae Posté(e) le 25 avril 2007 Partager Posté(e) le 25 avril 2007 La fonction publique recrute ses fonctionnaires sur concours, rien d'autre. Il suffit d'avoir le niveau pour être embauché.Ca n'a rien à voir avec le fonctionnement interne des grands corps d'Etat. ah bon, et ces grands corps ne font pas partie de la fonction publique, peut-être ? Je n'ai pas dit qu'ils n'en faisaient pas parti. Je dis seulement que la sélection est juste : sur concours (je n'ai pas même pas dit qu'elle était intelligente... uniquement juste). Ce dont vous parlez, c'est le fonctionnement de ces grands corps au sein de la haute administration. C'est un autre débat, surement intéressant, mais qui n'a pas de rapport avec la recrutement. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
milohoffman Posté(e) le 25 avril 2007 Partager Posté(e) le 25 avril 2007 Ce dont vous parlez, c'est le fonctionnement de ces grands corps au sein de la haute administration. C'est un autre débat, surement intéressant, mais qui n'a pas de rapport avec la recrutement. en l'occurence, oui, puisque les élèves issus de ces écoles un peu particulières ont un emploi réservé dans la fonction publique il s'agit donc bien d'une voie de recrutement parallèle aux traditionnels concours externes Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
wazza59 Posté(e) le 25 avril 2007 Partager Posté(e) le 25 avril 2007 Ca dépend du boulot qu'elle a fait et pendant combien d'année.Moi un mec ou une nana qui a bossé pendant 35 ou 40 ans à l'usine, dans une mine, sur un bateau de pêche ou comme routier, ça me dérange pas qu'il ait droit à la pré-retraite. Moi non plus ça ne me dérange pas et je trouve même ca normal mais autant je trouve que la pré-retraite est plus justifié pour un mec qui bosse sur un chantier toute l'année qu'il fasse crevant de chaud ou en hiver sous la pluie ou même la personne qui bosse à la chaine dans une usine avec un bruit assourdissant plutôt que le mec qui est chargé de conduire le TGV ... Quand aux conneries que tu devra payer pour les vieux, je suppose que tu t'es fait tout seul, sans l'aide de tes parents et que tu as un boulot qui te permet de bien gagner ta vie sans dépendre des autres et de te constituer un retraite privée pour dire ce genre de chose... Je suis pas encore majeur et pour tout te dire, je ne compte pas vivre en France car bien que ce soit un beau pays je veux pouvoir travailler plus de 35h/semaine si cela me fait plaisir et je ne souhaite pas me faire taxer 50% de ce que je gagne en taxes diverses et variées et je préfére aider les pays pauvres à se développer, sortir des enfants des rues, les éduquer et construire des écoles plutôt que de faire de l'assistanat ... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kaptain Posté(e) le 25 avril 2007 Partager Posté(e) le 25 avril 2007 Kaptain --> ce n'est pas une blague, mais c'est la théorie : l'État défend l'intérêt général, et celui-ci peut parfois aller à l'encontre de certains intérêts particuliers L'intérêt général, c'est quand les intérêts de tous sont satisfaits. A partir du moment où l'intérêt d'une personne est sacrifié au profit d'un soit-disant intérêt général, on ne peut plus parler d'intérêt général mais de personnes qui se permettent d'en écraser d'autres sous prétexte qu'elles sont plus nombreuses ou plus fortes. Expropriations, par exemple. Je rappelle que le droit de résistance à l'oppression est un droit naturel de l'homme édicté dans la délcaration des droits de l'homme et du citoyen. A cette époque, on n'avait pas la fumeuse idée de parler d'un intérêt général imaginaire. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
milohoffman Posté(e) le 25 avril 2007 Partager Posté(e) le 25 avril 2007 La question étant : comment déterminer les métiers "pénibles" et ceux qui ne le sont pas ? le conducteur de TGV va te répondre qu'il a travaillé de nuit, ou un jour de Noël etc ... et le cadre supérieur, dont le travail ne sera pas forcément considéré "pénible", va se sentir dévalorisé, ou victime d'une injustice : certes, il gagne bien sa vie, mais il passe 60 heures par semaine au bureau, soumis à une pression constante, sans compter le travail qu'il fait chez lui sur son ordinateur portable entre 23h et 1h ... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
lorinc Posté(e) le 25 avril 2007 Partager Posté(e) le 25 avril 2007 Kaptain --> ce n'est pas une blague, mais c'est la théorie : l'État défend l'intérêt général, et celui-ci peut parfois aller à l'encontre de certains intérêts particuliers L'intérêt général, c'est quand les intérêts de tous sont satisfaits. A partir du moment où l'intérêt d'une personne est sacrifié au profit d'un soit-disant intérêt général, on ne peut plus parler d'intérêt général mais de personnes qui se permettent d'en écraser d'autres sous prétexte qu'elles sont plus nombreuses ou plus fortes. Expropriations, par exemple. Je rappelle que le droit de résistance à l'oppression est un droit naturel de l'homme édicté dans la délcaration des droits de l'homme et du citoyen. A cette époque, on n'avait pas la fumeuse idée de parler d'un intérêt général imaginaire. Raté, si tu relis le Contrat Social de Rousseau, tu y trouveras : Il y a souvent bien de la différence entre la volonté de tous et la volonté générale; celle-ci ne regarde qu'à l'intérêt commun, l'autre regarde à l'intérêt privé, et n'est qu'une somme de volontés particulières: mais ôtez de ces mêmes volontés les plus et les moins qui s'entre-détruisent , reste pour somme des différences la volonté générale. Qui est la définition gardée par la République de l'intérêt général, et qui est ce vers quoi l'État tend. Comme quoi l'intérêt général peut-être parfois à l'encontre des intérêts de certaines personnes (ces fameux plus et moins qui s'entre-détruisent). Je te donne un exemple : Tu possèdes le monopole du calcul et personne d'autre que toi ne sait faire une division euclidienne. Bien sûr, il est dans ton intérêt de garder privé et secret ce savoir, car il te donne un grand pouvoir (tout le monde est obligé de passer par toi pour énormément d'opérations comme par exemple l'architecture). Mais l'intérêt général est de diffuser ce savoir, que le peuple tout entier puisse en avoir conscience, afin qu'il ne soit l'esclave de personne, afin aussi que l'économie soit plus saine car permettant la concurence, afin que l'inovation soit plus importante car plus de personne y participeront. Bien sûr, tu as le droit d'être pour un système qui ne veut pas de l'intérêt général, mais uniquement de l'intérêt particulier. MAis comment dire, c'est un peu filer la corde pour se faire pendre, car nul n'est gagnant à ce jeu là. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
milohoffman Posté(e) le 25 avril 2007 Partager Posté(e) le 25 avril 2007 L'intérêt général, c'est quand les intérêts de tous sont satisfaits. A partir du moment où l'intérêt d'une personne est sacrifié au profit d'un soit-disant intérêt général, on ne peut plus parler d'intérêt général mais de personnes qui se permettent d'en écraser d'autres sous prétexte qu'elles sont plus nombreuses ou plus fortes. Expropriations, par exemple. Je rappelle que le droit de résistance à l'oppression est un droit naturel de l'homme édicté dans la délcaration des droits de l'homme et du citoyen. A cette époque, on n'avait pas la fumeuse idée de parler d'un intérêt général imaginaire. une fumeuse idée qui existait bien avant la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen, je te ferais remarquer la finalité du Léviathan de Hobbes, c'est de protéger l'intérêt général en protégeant les individus ... d'eux-mêmes "L'homme est un loup pour l'homme." l'État a donc pour charge d'empêcher la loi du plus fort, ce qu'il nomme "l'état de nature", de régner dans la société et non, l'intérêt général n'est pas la stricte somme des intérêts individuels : lorsqu'un criminel est incarcéré, la justice ne rend pas sa décision seulement pour le compte de la victime et de ses proches, mais aussi pour protéger la société dans son ensemble Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
lorinc Posté(e) le 25 avril 2007 Partager Posté(e) le 25 avril 2007 Au passage, cette idée est même dans la Déclaration des Droits de l'Homme : Article VI - La loi est l'expression de la volonté générale. Tous les citoyens ont droit de concourir personnellement, ou par leurs représentants, à sa formation. Elle doit être la même pour tous, soit qu'elle protège, soit qu'elle punisse. Tous les citoyens, étant égaux à ses yeux, sont également admissibles à toutes dignités, places et emplois publics, selon leurs capacités et sans autre distinction que celle de leurs vertus et de leurs talents. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ilcanzese Posté(e) le 25 avril 2007 Auteur Partager Posté(e) le 25 avril 2007 p'it H.S .............mais pas trôp H.S. non plus pour l'euro nouveau record a 1,3669 dollars = gros H.S. ......mais on est tombé sur la tête ????? :incline: Petite cérémonie intime, il y a quelques semaines, à l'Ambassade de France : M. Long Xinmin y a été fait chevalier de la légion d'honneur. M. Long est le directeur général de l'administration de la presse et de la publication. C'est à dire tout simplement le Chef de la censure chinoise. ici la source de l'INfo Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Vassae Posté(e) le 25 avril 2007 Partager Posté(e) le 25 avril 2007 en l'occurence, oui, puisque les élèves issus de ces écoles un peu particulières ont un emploi réservé dans la fonction publiqueil s'agit donc bien d'une voie de recrutement parallèle aux traditionnels concours externes Les élèves de l'Ecole Polytechnique (puisqu'il s'agit d'eux, du moins pour la très grande majorité) passent en réalité deux concours. Le premier c'est à l'entrée de l'X et c'est déjà un concours de la fonction publique. Il faut bien se rendre compte que les concours pour entrer à Polytechnique (ou l'ENS entre autres) ne sont pas des concours d'écoles d'ingénieurs. Et alors que pour la plupart des autres concours de la fonction publique où une fois le concours obtenu, il faut juste être "validé" après une certaine période, les polytechniciens repassent un 2e concours afin d'accéder à ces corps (classement à l'issu de la scolarité). Il n'y a pas d'emploi réservé... vu qu'ils sont déjà dans la fonction publique. Au contraire, ils doivent faire deux fois leurs preuves. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kaptain Posté(e) le 25 avril 2007 Partager Posté(e) le 25 avril 2007 Raté, si tu relis le Contrat Social de Rousseau, tu y trouveras : Il y a souvent bien de la différence entre la volonté de tous et la volonté générale; celle-ci ne regarde qu'à l'intérêt commun, l'autre regarde à l'intérêt privé, et n'est qu'une somme de volontés particulières: mais ôtez de ces mêmes volontés les plus et les moins qui s'entre-détruisent , reste pour somme des différences la volonté générale. Je me garderais bien de prendre pour référence cet ouvrage de Rousseau, qui dès son titre, exprime le sophisme du contrat non-signé, auquel on est obligé d'adhérer. Qui est la définition gardée par la République de l'intérêt général, et qui est ce vers quoi l'État tend. Comme quoi l'intérêt général peut-être parfois à l'encontre des intérêts de certaines personnes (ces fameux plus et moins qui s'entre-détruisent). Il faut dans ce cas déterminer une définition claire et nette de l'intérêt général. A partir de quel échelle un intérêt peut-il être considéré comme général ? Je te donne un exemple : Tu possèdes le monopole du calcul et personne d'autre que toi ne sait faire une division euclidienne. Bien sûr, il est dans ton intérêt de garder privé et secret ce savoir, car il te donne un grand pouvoir (tout le monde est obligé de passer par toi pour énormément d'opérations comme par exemple l'architecture). Mais l'intérêt général est de diffuser ce savoir, que le peuple tout entier puisse en avoir conscience, afin qu'il ne soit l'esclave de personne, afin aussi que l'économie soit plus saine car permettant la concurence, afin que l'inovation soit plus importante car plus de personne y participeront. Exemple me semble-t-il peu pertinent, puisque qu'il est de ceux qui sont invraisemblables. EDIT : mais il ma semblé utile de l'étudier tout de même, et j'en tire la conclusion que si ce savoir est si indispensable et demandé (en l'occurence la division euclidienne), beaucoup de savants auront tôt fait de se mettre à sa recherche et le trouveront assez vite. Bien sûr, tu as le droit d'être pour un système qui ne veut pas de l'intérêt général, mais uniquement de l'intérêt particulier. MAis comment dire, c'est un peu filer la corde pour se faire pendre, car nul n'est gagnant à ce jeu là. En échangeant volotairement entre eux, les hommes satisfont leurs propres intérêts personnels tout en satisfaisant ceux des autres. Ce genre d'intérêt général est bien suffisant pour avoir à en rajouter. et non, l'intérêt général n'est pas la stricte somme des intérêts individuels : lorsqu'un criminel est incarcéré, la justice ne rend pas sa décision seulement pour le compte de la victime et de ses proches, mais aussi pour protéger la société dans son ensemble Les autres personnes (non-victimes) ont aussi intérêt à être protégées d'un criminel, cela fait partie de leur intérêt personnel. la finalité du Léviathan de Hobbes, c'est de protéger l'intérêt général en protégeant les individus ... d'eux-mêmes"L'homme est un loup pour l'homme." l'État a donc pour charge d'empêcher la loi du plus fort, ce qu'il nomme "l'état de nature", de régner dans la société Si les hommes sont si faillibles, pourquoi l'Etat, composé d'hommes, le serait-il moins ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
milohoffman Posté(e) le 25 avril 2007 Partager Posté(e) le 25 avril 2007 Les élèves de l'Ecole Polytechnique (puisqu'il s'agit d'eux, du moins pour la très grande majorité) passent en réalité deux concours. Le premier c'est à l'entrée de l'X et c'est déjà un concours de la fonction publique. Il faut bien se rendre compte que les concours pour entrer à Polytechnique (ou l'ENS entre autres) ne sont pas des concours d'écoles d'ingénieurs. Et alors que pour la plupart des autres concours de la fonction publique où une fois le concours obtenu, il faut juste être "validé" après une certaine période, les polytechniciens repassent un 2e concours afin d'accéder à ces corps (classement à l'issu de la scolarité). Il n'y a pas d'emploi réservé... vu qu'ils sont déjà dans la fonction publique. Au contraire, ils doivent faire deux fois leurs preuves. au temps pour moi, il me semblait que Polytechnique utilisait la même banque de concours que d'autres écoles d'ingénieurs plus "classiques", dirons-nous je m'étais basé sur l'exemple de l'ENA en fait, où, comme à Polytechnique si j'ai bien compris, tu es fonctionnaire stagiaire dès ton entrée de l'école mais si le choix du corps se fait de la même façon (attribution d'un rang en fin de scolarité), il me semble que pour les énarques, il ne soit pas nécessaire de repasser un nouveau concours oui oui, c'est pas une école d'ingénieurs, mais le fonctionnement est très similaire Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
lorinc Posté(e) le 25 avril 2007 Partager Posté(e) le 25 avril 2007 À l'époque où j'ai passé les concours, X et l'espci étaient sur le même concours Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Vassae Posté(e) le 25 avril 2007 Partager Posté(e) le 25 avril 2007 La banque peut-être commune... ce qui important ici c'est que chaque école a son classement propre. Quant au "2e concours", c'est justement le classement de sortie. Ce n'est pas un concours comme on l'entend avec épreuve à une date précise... mais ça reste un concours dans la mesure où ce sont les premiers qui choisissent (comme à l'ENA). Et je confirme que l'X et l'ESPCI font toujours des épreuves communes :) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
milohoffman Posté(e) le 25 avril 2007 Partager Posté(e) le 25 avril 2007 Les autres personnes (non-victimes) ont aussi intérêt à être protégées d'un criminel, cela fait partie de leur intérêt personnel.Si les hommes sont si faillibles, pourquoi l'Etat, composé d'hommes, le serait-il moins ? 1) les proches du coupable peuvent protester contre la décision de justice, tout comme le coupable lui-même : faut-il pour autant le libérer au nom du respect de ses intérêts ? 2) c'est très simple ! l'État obéit au droit et l'applique sans complaisance à tous les citoyens la collégialité qui constitue le point essentiel de tous les processus de décision en matière de politique ou de justice garantit l'impartialité de ces décisions car on affaiblit les intérêts individuels en les confrontant entre eux résultat : ils se neutralisent, par analogie avec la concurrence dans le monde des affaires je l'admets, l'homme est faillible, le droit est faillible, et l'État est faillible, cependant ce trait est en quelque sorte dissous dans une structure suffisamment hétérogène pour ne pas être détourné au profit d'une poignée de personnes rappel : ceci est une théorie, une vision de l'État telle qu'on peut la trouver dans les livres ou les idéaux de certains, ne me riez pas au nez parce que la France blabla ... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Brave Heart Posté(e) le 25 avril 2007 Partager Posté(e) le 25 avril 2007 La question étant : comment déterminer les métiers "pénibles" et ceux qui ne le sont pas ? bonsoir, selon l'espérance de vie par catégorie socio-professionnelle... on a tous les chiffres qu'il faut.... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kaptain Posté(e) le 25 avril 2007 Partager Posté(e) le 25 avril 2007 1) les proches du coupable peuvent protester contre la décision de justice, tout comme le coupable lui-même : faut-il pour autant le libérer au nom du respect de ses intérêts ? Le criminel a violé les droits d'autres personnes, il faut donc affaiblir ses droits, c'est tout à fait normal. [...]rappel : ceci est une théorie, une vision de l'État telle qu'on peut la trouver dans les livres ou les idéaux de certains, ne me riez pas au nez parce que la France blabla ... Etablir des théories ne signifie pas qu'elles sont vraies. La théorie de l'"homme nouveau" chère aux communistes marche très bien sur le papier. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ilcanzese Posté(e) le 25 avril 2007 Auteur Partager Posté(e) le 25 avril 2007 le mien est bien pénible................. cett'aprés-midi ............35° .....et on est juste en avril. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
milohoffman Posté(e) le 25 avril 2007 Partager Posté(e) le 25 avril 2007 Le criminel a violé les droits d'autres personnes, il faut donc affaiblir ses droits, c'est tout à fait normal.Etablir des théories ne signifie pas qu'elles sont vraies. La théorie de l'"homme nouveau" chère aux communistes marche très bien sur le papier. mais il faut bien qu'un organe indépendant se charge de cette tâche, on ne peut pas laisser les amis de la victime lui faire la peau hé là, j'avais précisé la mention "théorie" pour éviter toute remarque sur les dysfonctionnements de l'État actuel, d'ailleurs ici il ne s'agit pas tant d'établir une théorie conforme à la réalité (ce que tu appelles une théorie "vraie" sans doute ?) que de faire tendre la réalité vers la théorie edit pour Brave Heart --> je serais curieux de voir si les stats vérifient certains clichés Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kaptain Posté(e) le 25 avril 2007 Partager Posté(e) le 25 avril 2007 mais il faut bien qu'un organe indépendant se charge de cette tâche, on ne peut pas laisser les amis de la victime lui faire la peau Certes, mais ais-je jamais dit le contraire ? Le débat dévie. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
milohoffman Posté(e) le 25 avril 2007 Partager Posté(e) le 25 avril 2007 mais il faut bien qu'un organe indépendant se charge de cette tâche, on ne peut pas laisser les amis de la victime lui faire la peau Certes, mais ais-je jamais dit le contraire ? Le débat dévie. c'est donc conférer à cet organe des pouvoirs susceptibles de priver certains citoyens de leurs droits, une décision justifiée ... par la défense de la société bien que les hommes soient faillibles, la charge leur revient, et non à quelque justice divine qui ne saurait empêcher le chaos sur Terre pour faire appliquer cette décision, il faut une force physique, des prisons, qu'il faut entretenir, voilà pourquoi il faut un État et ... des impôts j'avoue parfois me sentir désarmé face à tes raisonnements parce que nous ne partons pas du tout des mêmes définitions au départ, mais en réfléchissant bien, les seuls auteurs, à ma connaissance, qui plaident pour une disparition de l'État sont les anarchistes et ... Karl Marx, selon qui l'État et le droit disparaîtraient une fois la révolution achevée edit : j'allais oublier, désolé du HS Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kaptain Posté(e) le 25 avril 2007 Partager Posté(e) le 25 avril 2007 c'est donc conférer à cet organe des pouvoirs susceptibles de priver certains citoyens de leurs droits, une décision justifiée ... par la défense de la sociétébien que les hommes soient faillibles, la charge leur revient, et non à quelque justice divine qui ne saurait empêcher le chaos sur Terre pour faire appliquer cette décision, il faut une force physique, des prisons, qu'il faut entretenir, voilà pourquoi il faut un État et ... des impôts j'avoue parfois me sentir désarmé face à tes raisonnements parce que nous ne partons pas du tout des mêmes définitions au départ, mais en réfléchissant bien, les seuls auteurs, à ma connaissance, qui plaident pour une disparition de l'État sont les anarchistes et ... Karl Marx, selon qui l'État et le droit disparaîtraient une fois la révolution achevée edit : j'allais oublier, désolé du HS Je ne plaide pas pour une disparition de l'Etat mais pour sa limitation aux pouvoirs régaliens : police, justice, armée, qui permettent de garantir les droits des hommes (même si'ils doivent en violer une partie comme la propriété pour notamment financer l'application des pouvoirs régaliens). Mais cette acceptation de l'Etat n'invalide pas ma pensée sur l'intérêt général, qui n'est qu'un leurre : pour continuer sur l'exemple de la justice : un criminel ne peut pas être condamné pour atteinte à la société, car cette société n'est pas définissable. La société n'existe pas en tant qu'entité définissable, il n'y a que des individus, qui eux, existent incontestablement. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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