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milohoffman

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Tout ce qui a été posté par milohoffman

  1. Il y a Neo_13 pour la PT si mes souvenirs sont bons
  2. J'imagine que le topic n'a pas vocation à déclencher des discussions mais ce genre d'"erreur" est assez choquant de la part de personnes qui de manière générale recueillent la confiance des élèves et qui peuvent avoir une influence décisive sur leur devenir.
  3. Pseudo : milohoffman Lycée : Seconde générale, option Initiation aux Sciences de l'Ingénieur (ISI) Première et terminale S spécialité Sciences de l'Ingénieur (et Maths en terminale) --> bac obtenu en 2006 Enseignement supérieur : 1ère année de Langues Étrangères Appliquées (LEA) à l'Université de Provence, aussi appelée Aix-Marseille 1 2ème année à l'Institut d'Études Politiques (IEP) de Strasbourg, plus connu sous le nom de Sciences Po En cours : année Erasmus (intégrée au cursus IEP) à l'Université Jagellonne de Cracovie, en Pologne Philisophie du cursus : Depuis le collège, je rêvais d'entrer en prépa pour devenir ingénieur dans l'informatique, sans trop savoir vers quelle spécialité je m'orienterais. À l'issue de la première, mes projets ont évolué pour plusieurs raisons : - overdose de maths - lassitude vis-à-vis de l'informatique - désillusion concernant le "métier d'ingénieur" (je dois avouer que le topic d'HFR sur le sujet a exercé sur moi une forte influence. Les nombreux témoignages que j'y ai trouvés reflétaient à la fois mes propres aspirations et la déception que mes aînés ont ressenti en arrivant sur le marché du travail. En vrac : manque de considération, soumission aux commerciaux et aux financiers, rémunération moyenne compte tenu des efforts consentis pour en arriver là ...) - motivations plus personnelles Je me considère comme un profil polyvalent, à l'aise aussi bien en sciences dures qu'en sciences humaines et sociales, sans pour autant exceller dans l'une ou l'autre de ces disciplines. C'est pourquoi la première S a quelque peu infléchi mes orientations : j'avais l'impression de sacrifier des matières qui me tenaient à coeur (littérature et histoire principalement) sur l'autel des mathématiques. Je me suis donc attelé à trouver une formation ouverte et tournée vers l'international, ce qui représentait à mes yeux un nouvel impératif (cf. motivations personnelles ). Après avoir suivi la piste LEA pendant quelques semaines, j'ai découvert Sciences Po grâce à ma prof d'italien la filière correspondait, selon elle, mieux à mon niveau. Pour y être maintenant, je peux dire qu'elle a eu le nez fin, car c'est vraiment une formation dans laquelle je me reconnais : qualité des intervenants, diversité des cours proposés, métiers auxquels ils préparent ... sans vouloir trop préjuger de l'avenir, je pense que je me suis "trouvé" certes, la confrontation prolongée avec le milieu professionnel peut encore tout chambouler, mais bon, on ne peut pas tout prévoir ! Quant à mon année en LEA, je ne la regrette pas (bien qu'elle ait résulté dans un premier temps plus d'une contrainte que d'un choix, faute de mieux). Ce fut un bon moyen de préparer le concours d'entrée à Sciences Po (la preuve ), de me familiariser avec le monde universitaire et surtout de découvrir des sujets parfois "exotiques" Au final, et là je m'adresse surtout aux collégiens et lycéens hésitants voire un peu inquiets à propos de leur avenir : visez haut, certes, donnez-vous les moyens de satisfaire vos ambitions, d'accord, mais n'oubliez pas qu'une large partie de votre curriculum vitae (au sens original du terme) proviendra d'éléments sur lesquels vous n'aurez pas forcément de prise. Plutôt que de courir après un cursus "parfait", valorisez autant que possible vos propres expériences (pas seulement professionnelles) et tirez-en le meilleur parti !
  4. Pour tous ceux qui veulent des infos sur la première/terminale S, la filière LEA, Sciences Po, ou encore la vie étudiante à Strasbourg, je serai ravi de vous faire partager mon expérience
  5. À Marseille les cours sont toujours donnés en amphi, il me semble
  6. Ca va, tu es encore jeune (J'suis pas en médecine par contre, j'ai pas choisi SVT en première )
  7. Ok, bonne chance dans tous les cas alors pense à suspendre ton compte PCI pour ne pas trop être distrait
  8. Ouais, une prépa qui te fait passer des galops d'essai (d'où le nom d'écurie) tout au long de l'année pour te pousser à réviser et aussi pour avoir une idée de ton classement (mais c'est souvent trompeur). Tu voudrais faire quoi après ?
  9. Y'a combien de places cette année ouvertes ? Tu fais une écurie, kyro ?
  10. Y'a une plaque d'immatriculation, on pourrait retrouver l'heureux propriétaire
  11. Mon dernier achat de geek avant mon départ pour Strasbourg : Un Nokia E60 avec WiFi et SANS appareil photo, s'il vous plait
  12. Je préfèrerais pas voir, personnellement
  13. j'avais pas de brouillon sous la main (excuse à 2 balles)
  14. Nat King Cole Trio - Central Avenue Breakdown (sur BBC Radio 3) Pour ceux qui aiment le jazz
  15. The Dixie Chicks - Baby Hold On Faut aimer la country et la pop par contre
  16. Le prof ne t'a pas donné de cours ? Déjà, comme l'a dit Rakkeur, un torseur est composé de deux vecteurs : la résultante et le moment. Le premier représente la somme des forces exercées sur l'objet en quelque sorte, tandis que le moment est en rapport avec sa rotation. La différence fondamentale entre les deux est que la résultante est la même quelque soit le point d'application du torseur, tandis que le moment, lui, change selon où tu te places sur l'objet (par exemple, le moment est nul dans un torseur dont le point d'application est le point où s'applique la force sur l'objet). Chacun de ces vecteurs est décomposé en composantes sur les axes X, Y et Z (donc Rx, Ry, Rz, Mx, My, Mz) auquels on associe des nombres, les coordonnées de ces vecteurs. Alors, comment se déroule un exercice type de statique ? Dans l'énoncé, on indique plus ou moins clairement les forces qui s'appliquent sur un objet. C'est la modélisation. Tu dois écrire le torseur de toutes ces forces en leur point d'application (moment nul, donc) puis te décider sur UN point d'application et réécrire les torseurs en ce nouveau point. Pour ce faire, il faut donc recalculer le moment avec une formule qui ressemble à "moment = moment initial + résultante vectoriel vecteur point de départ point d'arrivée" (oui c'est pas très clair mais si tu l'as sous les yeux, ça devrait t'aider). Le produit vectoriel est différent du produit scalaire, parfois on le fait en SI avant de le faire en maths donc apprends vite à le maîtriser ! Si tu as un vecteur A de coordonnées Ax, Ay et Az, et un vecteur B de coordonnées Bx, By et Bz, le produit vectoriel de A et B qu'on nommera C donne : Cx = Ay*Bz - Az*By Cy = Az*Bx - Ax*Bz Cz = Ax*By - Ay*Bx En fait, il faut "croiser" Une fois les changements de point d'application faits, tu appliques le Principe Fondamental de la Statique (le solide est isolé blabla) et la somme des torseurs devient égale à zéro. Ici, c'est très simple, tu ajoutes les coordonnées une à une (les X avec les X, les Y avec les Y et les Z avec les Z), ces équations sont égales à zéro, et de là tu peux en déduire les composantes manquantes pour résoudre ton problème
  17. ou Saft, un parfait complément à Safari !
  18. +1 Et voilà, un pote a acheté un iMac 20 pouces sur l'Apple Store grâce à mes conseils avisés et ... à un écran bleu de Windows XP survenu du jour au lendemain, qui rend sa machine inutilisable
  19. alors si mes souvenirs sont exacts, à partir des coordonnées du vecteur directeur de la droite Delta, tu peux en déduire l'équation de la droite Delta (de la forme ax + by + cz + d = 0) et comparer ça avec l'équation du plan OIJ ... est-elle donnée dans l'énoncé ?
  20. je n'avais pas attention à ça : est-ce que la TV munie d'une entrée numérique est fournie ?
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