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Le topic de Guij', de Billy, Wanders...


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QU’EST-CE QU’UN SNUFF MOVIE ?

Les snuff movies sont des films qui mettent en scène un meurtre réel. Le crime de sang peut être précédé d’un acte sexuel ou même pédophile, eux aussi réels.

L’histoire veut que le snuff soit le produit d’un faux tournage hollywoodien, suivant un schéma de film d’horreur: Un producteur organise un casting pour un film pornographique, les interprètes engagés sont ainsi manipulées pour être victimes de vraies tortures, abus, avant le meurtre final.

Ce film circule ensuite dans un circuit fermé de riches amateurs de crimes où ces cassettes sont vendues à prix d’or.

La réalité, moins pétillante mais encore plus horrible, est que sans doute, cette légende a donné l’idée à quelques détraqués sexuels et pédophiles de réaliser des films amateurs du genre, pour assouvir leurs perversions en regardant des enfants ou des femmes se faire violer et tuer devant la caméra.

Le terme de snuff movies apparaît au milieu des années 1970 pour désigner des films clandestins contenant les images de sévices et de meurtres réels. Ces films faits de chair et de sang semblent destinés à des pervers sadiques et voyeurs qui se réjouissent à la vue de ces atrocités.

SNUFF MOVIE, MYTHE OU REALITE?

Deux composantes sont essentielles dans le snuff : la mort et l’image.

- La mort

Elle doit être réelle, mais il faut également qu’elle soit visible dans son déroulement : on doit voir " le mourrant ", autrement dit la victime sur le point de mourir, ou en train de mourir, et non la mort ayant déjà réalisé son œuvre.

- L’image

La mort doit être filmée. Il ne s’agit pas de simples photos. Il faut un support analogique, ou numérique.

Les premières rumeurs d’existence de snuff movies sont apparues à la fin des années 60, dans le sillage ensanglanté de l’affaire Manson.

Lors de l’instruction circule le bruit que Charles Manson et ses complices ont, grâce à du matériel volé, réalisés des films pornographiques, filmé des sacrifices d’animaux, ainsi que des scènes durant lesquelles des adeptes se donnent mutuellement des coups de couteau tout en dansant en cercle...

Le F.B.I et Interpol, enquêtent régulièrement sur les snuff movies. La Police est connectée en permanence à Internet, et cherche à vérifier si de tels films circulent et à démanteler les réseaux de production. Mais, jusqu’à présent, aucune enquête policière n’a permis de prouver l’existence de tels films. Il s’agit trop souvent de canulars de mauvais goût, ou d’images d’une qualité telle, qu’il est impossible d’identifier la victime et le bourreau.

Mais pour les spécialistes, la mention snuff movie n'est valable que s'il a été prouvé que la mort a été donnée dans le but d'une commercialisation parallèle.

Ces films intéressent également les journalistes, les cinéastes, les écrivains... Ce type de films reste un mystère et est sujet à de nombreuses controverses.

SNUFF ET PLUS...

D'autres images de meurtres filmés existent:

-1 Dans le monde satanique, des rumeurs circulent sur l'existence d'images où l’on assiste au sacrifice d’êtres humains, femmes, hommes et enfants. Les mêmes images circulent également dans l’univers SM.

-2 Images de crimes de guerre (demande de rançon en Tchéchénie), d'assassinats (comme celui du Président Kennedy), les accidents de la route, les suicides, les exécutions publiques (comme ces femmes exécutées en plein stade par des soldats talibans).

Mais toutes ces images sont largement diffusées par tous les médias, à commencer par le journal de 20H. Internet permet une diffusion plus sauvage. Internet est un moyen de diffusion extraordinaire pour le libre échange de ce genre d'images.

-3 Une autre " catégorie " des Snuff movies est celle des souvenirs de Sérial Killers. C’est cette dernière catégorie qui nous intéresse le plus.

De nombreuses affaires criminelles prouvent que des hommes ont réalisé des documents, qu’ils soient audiovisuels ou photographiques, sur lesquels apparaissent des meurtres réels commis par eux-mêmes, et " en direct " devant leur objectif. La seule différence avec les snuff movies, tels qu’ils sont décrits par les spécialistes, concerne la diffusion de ces documents: dans le cas de serials killers, ce qui motive la réalisation de ces photos ou de ces enregistrements ne repose pas sur d’éventuels profits, mais sur le bénéfice personnel du criminel.

On ne filme donc pas forcément la mise à mort d’autrui pour l’argent : on peut aussi chercher à satisfaire ses propres pulsions sexuelles et meurtrières...

Ces serials killers jouissent du pouvoir qu’ils infligent à leur victime. Ce qu’ils cherchent c’est leur humiliation, les victimes deviennent des objets. En filmant, ils peuvent ainsi revivre leurs actes à tout moment, tranquillement assis dans le fauteuil de leur salon. Mais la simple vue ne suffit bientôt plus, il faut agir à nouveau et le serial killer s’attaque à une nouvelle victime. L’engrenage de cette dépendance est en route.

Conclusion

Le mythe des snuff movies ne pouvait naître qu’en Amérique, terre de contrastes et de contradictions, où le puritanisme rigoureux côtoie la violence extrême, où les mystiques fanatiques se transforment en serials killers, et où la toute-puissance de l’image exerce une insondable fascination sur la population...

Mais la France, commence de plus en plus à produire également des tueurs en série: Patrice Allègre, Emile Louis, Francis Heaulmes, Thierry Paulin...

Les images de violence et de mort qui ont déjà envahi notre monde télévisuel restent une " valeur sûre " pour notre société avide de sensationnel.

Dans ce contexte les snuff movies ne représentent que l’ultime aboutissement de cette course effrénée vers l’image choc.

Cette évolution soulève pourtant une question cruciale: si le sexe et la violence ont investi le cinéma traditionnel ainsi que bien d’autres médias, va-t-on assister au même processus en ce qui concerne les images de mort? (note de moi, là l'auteur du site reprend à son compte une citation de Roman Polanski... :francais: :francais:)

Assisterons nous bientôt à un Jeu Télévisé où la meilleure vidéo montrant le meurtre de sa grand-mère, de son père, sa mère, ses enfants, ses voisins, se verra attribuer un prix d’une valeur d’1 million d’euros ?

--

Notre société de production a acquis sept bobines super 8 muettes utilisées et développées par un cinéaste amateur dans les années 70, ainsi qu’un expert de chez Kodak nous l’a confirmé.

L’étrangeté du contenu de chacune d’entre elles nous a frappé et alerté : il s’agit de sept bobines sur lesquelles sont filmées des jeunes femmes. Certaines d’entre elles sont nues, parfois attachées. D’autres semblent victimes de viol, et l’une des bobines montre une femme étranglée.

Au-delà des images abominables et extrêmement réalistes de séances de viols et de strangulations, la personne qui filme montre une violence qui va crescendo. Nous n’avons aucune certitude quant à l’ordre dans lequel ces images ont été réalisées, mais cette violence démarre sur une simple prise de vue érotique, passe au viol puis au meurtre. Cela ressemble à un parcours initiatique, à un plongeon progressif dans la perversion.

Il existe une autre possibilité : nous avons peut-être entre les mains un authentique Snuff Movie qui décrit les différentes étapes du passage à l’acte d’un tueur pervers.

Nous avons souhaité, en partant de ces images, découvir qui en était l’auteur et savoir si les jeunes femmes que l’on aperçoit sont mortes assassinées, ou bien s’il s’agit d’une mise en scène morbide et déplacée ?

Le contenu des 7 bobines

Note: Nous n'avons aucune certitude concernant l'ordre dans lequel ces bobines ont été tournées.

1ère bobine :

L'homme filme une femme qui marche devant lui. Elle s’assoit sur un banc. Il s’approche, filme son visage. Il s’assoit sur le même banc, il la filme de près et discute avec elle. Elle hésite, montre ses bottes, remonte sa jupe, montre un bout de sa culotte. Il semble vouloir aller plus loin. Elle refuse.

2ème bobine :

L’homme filme dans un bar. Deux jeunes femmes parlent. Il filme le visage de l’une d’entre elles. La fille le fixe, elle lui sourit. Elle a l’air timide, mal à l’aise mais flattée d’être filmée. Elle le rejoint à sa table. Ils discutent ensemble. Son amie se lève et s’en va. Il filme la jeune femme du bar dans un square (peut être le même que dans la bobine 1), elle est assise sur un banc. Elle rit en regardant la caméra. Elle semble intriguée par cet homme et la caméra. Mal à l’aise elle remonte un peu sa jupe. Une longue discussion a lieu, elle semble lui parler de sa vie. Son visage se fige au moment où la bobine s’arrête.

3ème bobine :

L’homme filme une pièce vide et sale, sans décor, arrosée d’une lumière crue, une ampoule pend du plafond. Une fille est au milieu de la pièce. Il la suit. Elle danse et semble fumer de la drogue. Une danse lascive. Elle porte une chemise hippie et une jupe en peau. Ils échangent des paroles. Visiblement, elle refuse d’aller plus loin. Il insiste, se rapproche d'elle. Il essaye de la toucher. Elle refuse. Elle se débat puis elle se radoucit. Il se raproche de nouveau. Cette fois, elle se débat. C’est sur son regard effrayé que se termine cette bobine.

4ème bobine :

L’homme filme de nouveau la jeune femme du café. Elle est assise sur une chaise au milieu de la pièce et porte une jupe courte avec des bottes hautes. Elle aussi semble fumer de la drogue. Elle semble impressionnée. Elle enlève sa chemise et découvre sa poitrine qu’elle caresse. Des bougies brûlent autour d’elle.

Sur la même bobine, il filme une autre jeune femme. Elle fait tomber sa robe en dansant doucement. Elle le regarde et s’assoit nue sur la chaise. Elle se masturbe, il s’approche, filme son sexe, son visage. Elle sourit. Il se rapproche encore plus. Se serre contre elle.

5ème bobine :

L’homme filme une jeune femme assise sur une chaise. Elle porte une jupe courte, une chemise. Elle ouvre sa chemise, se caresse la poitrine. Elle soulève sa jupe et se caresse par dessus sa culotte. Il s’approche, mais elle ne veut pas se laisser toucher. Il lui arrache brutalement sa chemise et il la frappe.

Elle est assise en culotte sur la chaise et semble cette fois attachée. Ses seins sont nus. Il la frappe de nouveau, il lui pince les seins. Elle a le nez en sang mais elle se débat mollement. Il s’approche, et l’étrangle d’une main. Il filme en gros plan son visage effrayé.

6ème bobine :

L’homme filme de nouveau la jeune femme du bar. Elle est assise sur une table couverte d’une fourrure blanche. Elle se déshabille doucement et s’allonge sur la table. Il filme son sexe, son visage, son corps.

Il la pénètre tout en filmant son visage. Il utilise sa robe pour l’étrangler. Elle devient écarlate. Il relâche la pression, la laisse reprendre sa respiration et recommence. Il serre de plus en plus. Il continue à la pénétrer en serrant puis relâche la pression. Elle semble ne pas comprendre, elle est sonnée et effrayée.

7ème bobine :

L’homme filme une fille blonde dans le fond de la pièce. Elle danse, provocante. Elle porte une petite robe colorée. Elle se déshabille lentement, assise au bord de la table.

Elle s’allonge nue sur la table dans un manteau de fourrure. Elle fume et semble être droguée, le regard perdu. Il s’approche et commence à vouloir la pénétrer. Elle se débat, hurle.

Il l’attache et la viole en filmant son visage. Elle hurle, se débat.

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Nous avons converti le contenu des bobines Super8 afin de pouvoir vous présenter des extraits de ceux-ci. Nous n'avons monté aucun des films, ils sont à l'identique des Super8.

D'après un spécialiste de chez Kodak, ces images ont été tournées sur des films Kodachrome distribués par Kodak en 1972. Le tournage aurait donc eu lieu en 1972 ou 1973, les films Super8 étant périmés dans les 2 ans suivant leur commercialisation.

Ces vidéos sont disponibles au format Real.

ET LA VOUS ME DEMANDEZ LE LIEN :francais:

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Le courrier d’un juge nous permet de savoir que l’une des jeunes femmes est toujours vivante. Cette dernière a déposé une plainte pour non-respect du droit à l’image. Hélène L. est la jeune femme filmée sur les bobines 2, 4 et 6.

Cette dernière accepte de nous rencontrer une première fois sans caméra. Après quelques jours de réflexion, elle décide de témoigner à condition que l’on arrête de diffuser son image sur Internet.

Dans un premier temps, elle nous explique sa rencontre avec l’auteur des images. Un homme qu’elle avait croisé dans un bar et qui s’était attardé sur son visage avec sa caméra. Ils ont ensuite discuté. Le projet qu'il était en train de réaliser l'a intéressée.

Après des prises de vue en extérieur, il l'a filmée dans un endroit qu'elle reconnait comme celui figurant sur certaines des bobines.

Leur dernière rencontre dans cet endroit s’est très mal passée. Il a essayé de l’étrangler avant de lui demander de quitter les lieux pour éviter de lui faire du mal.

Suite à cet incident, elle ne l’a plus revu, elle a juste trouvé plus tard une lettre qu’il avait déposée dans sa boîte.

C’est l’unique trace qu’elle garde de cet homme qui se faisait appeler Anton.

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Des photos ne prouvent pas grand chose je trouve (fake and co...).

Déjà que même les films rien ne dit qu'ils sont vrais (difficile de vérifier quand même).

Oui mais quand tu vois certains films des années 60's, 70's où un homme se fait graver avec une lame de rasoir le mot PIG sur le torse, tu te pose des questions sur la présence d'effets spéciaux...

pig6.jpg

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pig3.jpg

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pig1.jpg

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Oui mais quand tu vois certains films des années 60's, 70's où un homme se fait graver avec une lame de rasoir le mot PIG sur le torse, tu te pose des questions sur la présence d'effets spéciaux...

Cela s'appelle le masochisme et n'est pas illégal que je sâche :francais: (s'il est d'accord à la base évidemment :francais: ).

Enfin quand on te mets une cagoule en cuir, t'es censé te poser des questions non ? :francais:

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Cela s'appelle le masochisme et n'est pas illégal que je sâche :francais: (s'il est d'accord à la base évidemment :francais: ).

Enfin quand on te mets une cagoule en cuir, t'es censé te poser des questions non ? :francais:

Bha imaginons un enfant à qui les parents mettent une cagoule de cuir et l'abusent. Comment fait-il pour se poser des questions? :francais:

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Dans Suicidal Club (ce ne sont pas des vraies morts), on voit au début des étudiantes japonaises qui vont dans le métro bondé. Jusque là rien d'anormal, sauf qu'elles se jettent sous le métro (elles sont... 54 jeunes filles) et on nous montre tous les détails, ainsi que la réaction des autres personnes (je vous laisse imaginer...) puis ensuite on a un sac poubelle avec 200 morceaux de chair humaine reliés entre eux destiné à un inspecteur etc... Pas mal. :francais:

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