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alcool


Gigatoaster

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Je pense pas que ce soit une question de fréquence, mais plus de dépendance.

Tu peux très bien boire 20 verre par semaine mais arrêter de boire pendant 1 mois parce que tu n'avais plus l'occasion de boire entre amis ou en soirée.

Quand tu es alcolique tu ne peux plus t'en passer même si c'est un verre par jour, comme la cigarette ou autre drogue.

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Héhé pour une fois qu'un sujet me correspond :transpi:

Mon patron avait décrèté qu'étant barman, je devais connaitre els dangers de l'alcool (mouahaha) et suivre quelques petits cours :

L'alcoolisme ne se contaste pas d'après une certaine consommation mais à une habitude.

Si comme moi tu prends un apéro tous les soirs, alors tu peux être considéré comme un alcoolique modéré.

On ne devient pas alcoolique du jour au lendemain, c'est une habitude qui s'instore, et qui peut, au final devenir une addiction si tu ne peux vraiment plus arrêter de prendre ton apéro quotidien.

Ce qui diffère l'alcoolique modéré de la grosse poche, c'est que la grosse poche sait qu'elle ne peut pas s'arreter et qu'elle pourrait boire du parfum si elle ne trouvait plus une goutte d'alcool. :zarb:

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'tain, c'est quoi ce test ??

je bois le weekend (et encore, pas tous les weekends), une petite (grosse) murge avec les potes le vendredi et/ou samedi soir et 2-3 verres avec ma mère le dimanche soir (si pas trop alcoolisé au réveil).

mais je peux m'en passer pendant un mois sans soucis.

le truc, c'est qu'une fois avec les potes, tailler le bout d'gras en tisant un canon, c'est presque naturel (j'suis pas un Breton en auvergne pour rien :zarb:).

et avec leur test, j'ai 12 points, soit à la limite de l'alcoolisme nocif et de la dépendance.

ben si j'étais vraiment dépendant, j'aurais un verre à la main en ce moment, ce qui serait envisageable si le bar n'était pas vide :gne:

mais bon, j'me controle car ça fait un moment que j'ai pas gerbé donc je sais me controler et me modérer.

poue moi, un alcoolique ne peut s'arreter car il en a autant envie qu'un fumeur qui veut sa clope.

donc je suis d'accord sur le fait que l'alcoolisme est plutôt une dépendance (bien que la quantité sur l'instant puisse être tout aussi nocive).

l'exemple typique est le type (ou la femme) qui ne peut se passer de son whisky à l'apéro et de son (ses) verre(s) de rouge à table.

Car pour ma part, il n'y a qu'après une journée bien longue, avec clients biens chiants que j'apprécie mon p'tit planteur en solo (bien qu'enn général, j'me fasse quasi toujours accompagner).

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le meilleur test c'est de ne pas boire d'alcool de tout un week end du vendredi matin au lundi soir et ce malgré un fete ou une sortie entre pote et ce quelqu'en soit la raison, dire qu'on est capable de s'en passer tout le monde en est capable le faire réellement y en a nettement moins :zarb:

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Attention à ne pas confondre fêtard et alcoolique.

Depuis le lycée, et encore plus quand j'étais étudiant, il se passait rarement un weekend sans que je finisse sous la table ou presque. Quand ce n'était pas en semaine avec les soirées chez les copains.

La consommation hebdomadaire était difficile à calculer, surtout que c'était concentré sur deux jours dans la semaines.

Je suis en plus originaire d'une petite ville qui pullule de bars et d'une région ou on est loin d'être les derniers question picole.

Après, je me suis casé et installé dans un village un peu plus loin, l'emploi du temps boulot et l'éloignement des bistrots a fait que je me suis calmé, si ce n'était des sorties tous les weekends en boite, ou l'in finissait moins souvent "caisse" car ça cote plus cher de se saouler en boite. De plus, on faisait des roulements de capitaines de soirée, donc jamais de soucis au volant. Mais ces soirées finissaient souvent chez moi donc je me retrouvais toujours bien joyeux pour aller au lit.

Puis je suis devenu papa, et ca fait un an et demi maintenant que je n'ai ^plus mis les pieds en boite. C'est dire que je n'ai pas connu la période ou l'on sent la transpiration à la place de la fumée, c'est dire.

Maintenant, les soirées boissons se font lors de repas. Disons que je ne bois pas autant qu'il y a 10 ans, mais toujours honorablement dans le contexte de ma région. La seule différence, c'est que je commence à être joyeux au bout de 5-6 verres alors que je tenais 3 fois plus auparavant. J'ai juste perdu en endurance, logique vu ma consommation modérée aujourd'hui.

Toujours est-il que je n'ai jamais eu le moindre symptôme d'alcoolisme, je n'ai jamais eu de souci à interrompre ma consommation pendant plusieurs semaines ou mois. C'est une question d'éducation, il faut savoir boire intelligemment quand on fait la fête, c'est tout.

Ma première cuite, je l'ai eue à 13 ans, avec des copains dans une fête foraine, on avait gagné quelques bouteilles de mousseux à un jeu de quilles et on s'est tout sifflé en 5 minutes dans un champ. Que de souvenirs...

Sinon, j'ai eu 13 à ce test que je ne trouve pas vraiment pertinent.

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Se mettre une race chaque We avec des potes ou bien siffler son petit verre pas méchant chaque jour, c'est être alcoolique. Je le sais bien, je l'ai fait pendant suffisament longtemps. Ça fait pas plaisir à entendre, mais c'est le cas. Consommer avec modération, ça veut dire par petite quantité ET pas régulièrement. C'est pas l'un ou l'autre, c'est les deux à la fois.

Grosse murge périodique => alcoolisme

petit verre régulier => alcoolisme

C'est toujousr très difficile à admettre qu'on a une trop forte consommation d'alcool. J'ai encore un score de 10 à ce test, même en freinant ma consommation. Faut savoir reconnaître quand trop, c'est trop...

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Se mettre une race chaque We avec des potes ou bien siffler son petit verre pas méchant chaque jour, c'est être alcoolique. Je le sais bien, je l'ai fait pendant suffisament longtemps. Ça fait pas plaisir à entendre, mais c'est le cas. Consommer avec modération, ça veut dire par petite quantité ET pas régulièrement. C'est pas l'un ou l'autre, c'est les deux à la fois.

Grosse murge périodique => alcoolisme

petit verre régulier => alcoolisme

C'est toujousr très difficile à admettre qu'on a une trop forte consommation d'alcool. J'ai encore un score de 10 à ce test, même en freinant ma consommation. Faut savoir reconnaître quand trop, c'est trop...

... dit-il, pilier de bar sous son avatar :chinois:

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L'alcoolisme est un terme psychologique et souvent pathologique, une maladie qui ne se calcule pas à la quantité d'alcool dans le temps: c'est le résultat qu'on emploie le plus souvent.

Je ne vois pas en quoi vos expériences ont réellement à voir avec la dépendance physique, a moins que vous ayez (eu) une réel affliction ? répondre à un questionnaire pour le savoir c'est juste risible, comme croire qu'on est alcoolique quand on prend un verre de temps en temps (boire de l'eau plusieurs fois par jour, ce serai être eaulique ?) :iloveyou:

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L'alcoolisme est un terme psychologique et souvent pathologique, une maladie qui ne se calcule pas à la quantité d'alcool dans le temps: c'est le résultat qu'on emploie le plus souvent.

Je ne vois pas en quoi vos expériences ont réellement à voir avec la dépendance physique, a moins que vous ayez (eu) une réel affliction ? répondre à un questionnaire pour le savoir c'est juste risible, comme croire qu'on est alcoolique quand on prend un verre de temps en temps (boire de l'eau plusieurs fois par jour, ce serai être eaulique ?) :iloveyou:

Non ce n'est pas risible, car beaucoup de gens boivent trop et sont persuadés que ce n'est pas le cas. Au moins ce genre de test t'invite à réfléchir à ta consommation. Parce que les "j'arrête quand je veux" comme pour la clope, ça se transforme rarement en réalité.

Suite à un évènement grave, une déprime ou autre, un alcoolisme "léger" (se bourrer la gueule pendant les fêtes avec les potes=) peut très bien déraper, c'est arrivé à un de mes anciens collègues de boulot.

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Alors faire un test de QI, ça invite à réfléchir sur sa bêtise ou sa supériorité intellectuel. Hors qu'on aurai des preuves a apporter sur ces "test de masses", remettre en question ses choix est strictement personnel (un psychologue ne fera que décelé ce qu'une personne saine/spirituelle sait déjà).

Pourquoi rechercher à faire un test sur l'alcoolisme si on estime que sa consommation n'a aucun rapport avec ? pour se prouver qu'on ne l'est pas suivant les règles actuelles ? nos ancêtres nous regardent.... en comptant leurs vieilles bouteilles de vinasses.

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Pourquoi rechercher à faire un test sur l'alcoolisme si on estime que sa consommation n'a aucun rapport avec ? pour se prouver qu'on ne l'est pas suivant les règles actuelles ? nos ancêtres nous regardent.... en comptant leurs vieilles bouteilles de vinasses, leurs femmes battues, leurs bagarres, leurs accidents et tout le reste.
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