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Nom russe et de l'est


Exar Kun

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Merci tout le monde voila je poste l'histoire que j'ai fait avec :transpi:

Ici...dans la colonie pénitentiaire IaG 14/10 établie à Krasnokamensk en Sibérie, dans cette ville, localisée à une quinzaine de kilomètres de gisements d'uranium à ciel ouvert, la population très exposée aux radiations ne peut guère espérer vivre plus 42 ans. Et pourtant c'est ici que Alexei Petrovitch Bougliakoff un ancien du KGB accusé d'avoir assassiné le président russe Vladimir Poutine, a été interné pour un crime qu'il n'a pas commit il attendais la mort dans cette prison...ou plutôt ce goulag des temps moderne. Nous avons une vue sur la liberté, celle que cherchait cet homme, quelle contraste entre cette vie enfermée dans cette prison de sécurité 1.

C'est par cette route, entrecoupée de barbelé qu'a eu lieu une évasion extraordinaire, le 6 avril 2008, ce coup de maitre réalisé par d'ancien membres présumé du KGB et du spetsnaz qui on aidé Alexei Petrovitch Bougliakoff et son compagnon de cellule Nicolatzé a s'évader de cette prison très complexe et très bien garder -200 gardes- , enfin, c'est ce que pense Vassili Tchouikov, l'agent spécial de la police fédérale russe, chargé de traquer les nouveaux hommes les plus recherché du pays.

Un no man's land ou la taïga règne en maitre sépare ce pénitencier de la ville situé a environ 2 kilomètre de la ville Petropavlovsk-Kamtchatski dont on peut apercevoir d'ici les ensembles d'habitat collectif, héritage de l'époque soviétique. C'est sans doute ici que ce drôle de groupe formé de d'ancien agent secret et d'homme des forces spécial soviétique a fait sa première escale, l'éloignement du pénitencier de Moscou n'a pas aidé a faire vite réagir le gouvernement, en ce moment -14 avril 2008- Alexei Petrovitch Bougliakoff et son groupe peuvent être n'importe où, je les imagine en train de traverser le pays dans le transsibérien a la recherche de la justice a Moscou mais sans grand espoir quand on sait comment le Kremelin traite ses prisonniers...

Je sais c'est nul mais je pense avoir la moyenne :ouioui:

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Privet camarade , historie niet gavarich rouski? Pas mal ton histoire fiction je mettrais en toute lettre ce que veux dire l'anagrame qui fait toujours froid dans le dos KGB==> Komitet Gossoudarstvennoï Bezopasnosti. synomime de prison en russe c'est Goulag. Y aussi un tourjours un goulag à treblinka. En russe Moscou se traduis Москва « Moskva ». Petit lien des villes de Sibérie. La plupart des Goulag se trouve toujours en Sibérie.

Liste des villes de Sibérie

Drovienna tobaskiie ! ! !

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“Ici Alexei. Stop...

Situation invivable. Stop...

Demande activation de l’opération Red Orchestra. Stop...”

Tel était le télégramme intercepté par Vassili Tchouikov, agent spécial de la police fédérale russe, chargé de traquer les hommes les plus recherché du pays à cause de leur évasion de prison : Alexei Petrovitch Bougliakoff et un certain Nicolatzé. Cette nouvelle sans précédant, provocant un tollé dans le monde entier, passionnait la presse. Étant un jeune journaliste en devenir, je me devais de couvrir l‘évènement. Et ma position ferme sur l’innocence d’Alexei ne fit qu’accroître mon désir d’écrire à son sujet. Au terme de longues heures de routes épuisantes, j’arrivai enfin à destination accompagné d’un groupe de journalistes étrangers.

La petite ville de Krasnokamensk en Sibérie possédait la colonie pénitentiaire la plus rigide de l’ex-URSS, IaG 14/10. Ici, à moins d’une quinzaine de kilomètres de gisements d'uranium à ciel ouvert, la population très exposée aux radiations ne pouvait guère espérer vivre plus 42 ans. Nous portions donc des masques pour nous protéger du mieux que nous pouvions. L’ambiance était irréaliste, on se serait cru dans ces films post apocalyptiques où la race humaine tentait péniblement de se relever de ses erreurs. Et pourtant cela n’avait rien d’une fiction, c’était dans cet endroit sinistre que Alexei Petrovitch Bougliakoff un ancien du KGB accusé d'avoir assassiné le président russe Vladimir Poutine et incarcéré pour un crime qu'il clamait ne pas avoir commit, avait attendu la mort.

Le ciel était gris et froid. L’atmosphère pesante nous mettait à rude épreuve. Du haut de la cour principale de cette prison, ou plutôt de ce goulag des temps modernes, nous pouvions apercevoir la route, entrecoupée de barbelé, que le 6 avril 2008 Alexei aurait emprunté lors d’une évasion extraordinaire. Le peu d’informations que nous possédions impliquait d'anciens membres présumés du KGB et du Spetsnaz dans ce coup de maître, affront direct à la suprématie de la « Russie Unie ». Autour de moi s’articulaient d’immenses tours de béton armés recouvertes de barbelés acérés. Une véritable forteresse qui semblait imprenable avant qu’Alexei et son compagnon de cellule Nicolatzé arrivent à berner plus de 200 gardes et vigiles. La détermination semblait être une force qui poussait les hommes à accomplir des prouesses.

Plongé dans les méandres de mon esprit, je m’éloignais de la foule grouillant autour du responsable de la sécurité. Je m’installai dans un coin reculé de la cour où j’essayais de me mettre à la place du fugitif.

Au loin, la civilisation. Liberté matérialisée par des amas de briques insalubres, habitats collectifs héritage de l’ère soviétique. La vie dans cette prison semblait si difficile que je compris soudainement le désir du condamné à s’enfuir. La liberté est un cadeau qui n’as pas de prix et être enfermer pour un crime dont on n’est malheureusement pas coupable est la pire des tortures. Je l’imaginais dans un transsibérien, traversant le pays à la recherche d’une justice inaccessible, surtout lorsque l’on savait comment le Kremlin traitait ses prisonniers.

Instinctivement, mes doigts se faufilèrent dans ma sacoche et j’en sortit mon appareil photo qui vint s’interposer entre mes yeux et cette vue. Je tremblais à l’idée de capturer à jamais ses moments de doutes, ses espoirs, la vie d’un homme à qui ont avait tout repris. J’aurais aimé que mes photographies puissent conserver l’entière âme de celui-ci, preuve au monde entier qu’il était innocent. J’aurais aimé que chacun puisse y voir ce que j’avais vu face à cette immensité. Mais l’art est illimité et subjectif. Je m’appliquai donc à prendre le meilleur cadrage possible, gardant en premier plan les barbelés rappelant l’enfermement d’ Alexei, puis en arrière plan le village d’HLM perdu dans l’immense toundra symbole obsolète d’une délivrance. Mes clichés étaient flou tellement je frissonnais. Il fallut donc que je recommence un certain nombre de fois avant d’obtenir cette émotion attendue. Je baissai l’appareil, souris face au vide. Mon article ferait sensation c’était devenu une certitude.

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