Aller au contenu

Que m'arrive t'il?


kurgan187

Messages recommandés

Tiens, ... ben je répète ici aussi hein... :transpi:

Voilà ce qui se passe quand on essaye de transformer l'homme en femme! faut pas abuser non plus! bientôt on va raconter des potins en buvant du thé et en tricotant! ;)

"oh non mais tu comprends? il faut que j'arrive à atteindre mon vrai moi à l'intérieur du dedans de moi pour pouvoir épanouir ma vrai personnalité et de trouver le bonheur, parceque ça, ce n'est pas moi, tu vois! Il faut que mon Karma soit complètement aligné tu vois! Et puis il faut absolument que je redécore ma maison façon Feng Choui tu vois! ...." :eeek:

écoutes man : Si tu veux vraiment te sentir mieux, arrêtes tout simplement de te demander pourquoi tu te sens mal... avances, c'est tout.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Réponses 63
  • Créé
  • Dernière réponse
Absolument faux, tu peux également développer une dépendance aux anti - depresseurs, généralement cette dépendance est plus d'ordre psychologique que physique, mais elle existe bel et bien.

Bonjour,

Ah bon, les antidépresseurs provoquent une pharmacodépendance? ;)

Lesquels, alors?

Les tricycliques, les inhibiteurs de la recapture de la sérotonine,les inhibiteurs de la monoamine oxydase?

Passe encore pour le cas du Survector (l'amineptine), mais de toute façon on doit plus lorgner, dans cet exemple, vers les propriétés psychostimulantes des amphétamines....

Toute habitude que l'on prend peut devenir une drogue au même titre qu'une autre...

Non, non, la notion de pharmacodépendance est bien plus stricte que cela.

Le durée préconisée du traitement aux anti depresseurs est de 6 mois environ, mais c'est déjà beaucoup trop.

Non...c'est plus un minimum qu'un maximum, étant donné le délai d'action du médicament.Il est nécessaire, comme avec les antihypercholestérolémiants, d'attendre longtemps pour que tous les effets se fassent sentir.

Il t'aidera à choisir un médecin spécialisé (psychologue, etc. ) si besoin est.

Non plus....un psychologue n'est ni médecin spécialisé, ni médecin généraliste.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Les inhibiteurs de la recapture de la sérotonine <----- Yep, style Prozac.

est sous médicaments depuis 14 ans, ne peut plus arrêter. Seuls choix possible, la cure.

Chacun a ses propres problèmes.

:chinois:

Bonsoir,

Les médicaments ont souvent bon dos....un médicament qui ne provoque pas de tolérance, d'accoutumance ne peut être mis dans la catégorie des pharmacodépendants.

Il s'agit là du fonctionnement même de ces médicaments: on inhibe le recaptage de la noradrénaline et de la sérotonine, et ceci de plusieurs manières.On va désensibiliser les autorécepteurs sérotoninergiques, ce qui conduit à augmenter la libération de la dite sérotonine au niveau de la fente synaptique....mais ce n'est en aucun cas l'apanage de ces antidépresseurs.Le Tramadol agit lui aussi de cette manière, et on l'emploie comme analgésique2-et parfois en lieu et place de la morphine, car il n'a pas les effets secondaires des opiacés/morphiniques....

Un antidépresseur enlève les symptômes afférents, mais ne sert pas à guérir la cause....si la personne l'arrête, alors que la cause est toujours présente, elle sera tentée d'en reprendre, mais cela ne fait que traduire son mal-être, pas une pharmacodépendance induite par tel ou tel médicament.

Si tu enlèves la béquille à quelqu'un qui n'a pas guéri de sa fracture, il tombe...ce n'est pas la béquille qui fait tomber, c'est la fracture (ou, plutôt, l'impotence fonctionnelle)

Cela pose toutefois une autre question: les prescriptions à tort et à travers, en particulier chez le jeune (enfant et adolescent).Mais là, c'est un autre domaine.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il parait que c'est d'une facilité assez troublante de se faire prescrire des penules.

Se faire prescrire des antidépresseurs serait d'une facilité déconcertante. Une enquête du Journal de Montréal soutient, en effet, qu'il ne faudrait que quelques minutes lors d'une visite chez le médecin pour se faire prescrire ces petites « pilules du bonheur. »

Ainsi, en cinq jours seulement, le journaliste s'est fait prescrire 271 antidépresseurs. Dix des 11 médecins consultés ont prescrit les antidépresseurs en quelques minutes seulement, la consultation n'ayant souvent même pas duré cinq minutes.

Le journaliste prétextait être déprimé et manquer d'intérêt pour certaines activités. Il prenait soin de ne pas évoquer une perte de poids ou des tendances suicidaires pour justifier la consultation.

Seulement trois médecins ont pris plus de 15 minutes pour la consultation et ont poussé plus loin pour identifier les causes de la supposée dépression.

Certains médecins ont également omis de dire au faux patient que le traitement aux antidépresseurs devait durer au moins 6 mois et qu'il ne fallait pas cesser abruptement la médication.

Huit des 11 médecins consultés ont recommandé de voir un psychologue en plus de la médication. Cinq ont demandé un examen sanguin.

La prescription aussi rapide d'antidépresseurs inquiète les spécialistes. Ceux-ci mettent notamment en cause la très forte pression des compagnies pharmaceutiques pour pousser la vente de leurs médicaments.

Ils blâment également les patients eux-mêmes et la pensée magique que ces petites pilules peuvent tout guérir. Selon un médecin de l'hôpital Charles-Lemoyne, 90 % des patients s'attendent à sortir de leur consultation avec une prescription en main.

L'an dernier, 7,5 millions d'ordonnances d'antidépresseurs ont été faites au Québec, soit deux millions de plus qu'en 2001.

En plus des antidépresseurs, le journaliste a réussi à se faire prescrire à trois reprises des médicaments pour dormir, de même deux semaines d'arrêt de travail.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

putain mais arrêtez avec vos conneries de médocs! là on a un gosse qui tape un coup de spleen, et tout ce que vous trouvez à faire, c'est le bourrer de pilules! ;)

Il vous faut quoi pour lui dire : "décompresses, prends des vacances, changes toi les idées, et apprends à gérer ton problème, fiston!" ?

C'est ça aussi que je dis quand je parle d'être un Homme : un Homme affronte ses problèmes et les règles, un Homme ne se réfugie pas derrière des drogues pour fuir ses problèmes.

J'ai dit "un Homme" ?

pardon... je voulais dire "un Adulte" !

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

pardon... je voulais dire "un Adulte" !

Voui ... rattrape-toi :oops::mdr:

Faut pas trop s'inquiéter, on passe tous par ces moments difficiles dans la vie. Déjà, tu te rends compte que quelque chose ne tourne pas rond, c'est déjà un très bon point.

Le verre de whisky le soir, ce n'est pas grave si ce n'en est qu'un (enfin, que tu t'enfiles pas la bouteille quoi), et si c'est par plaisir. Si tu ne peux pas t'en passer, ou si c'est pour penser à autre chose, c'est moins bien.

Tu as un boulot difficile, stressant et fatiguant, donc au bout d'un moment le corps te le dit ... Essaye déjà de te relaxer au maximum, de prendre du recul, avant de te jeter sur les médocs.

Là dessus je rejoins Arafel, pour être passé par une psychothérapie avec anti-dépresseurs (qui n'étaient d'ailleurs pas utiles, car problèmes d'angoisses ... enfin, c'est un autre sujet :oops:) : il faut tout tenter avant de prendre des médicaments.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

imagine si un trus dans ta vie allait mal....

pour certaines personne, toute les galères de ta vie paraissent ridicule en comparaison de ce qu'ils leur arrivent en une journée...

Je vois pas vraiment qui ici pourrait avoir vécu des trucs pires que moi... J'ai vécu une révolution, j'ai perdu ma patrie, ensuite, j'ai vécu dans une dictature religieuse en guerre pendant des années, j'ai vu tous mes copains de classe du CP au CM2 mourir un par un, dont certains devant moi. J'ai été blessé par une bombe Irakienne. Certains membres de ma famille ont été pourchassés par les mollahs étant donné les rangs importants qu'ils avaient à l'époque du Shah. J'ai failli être violé, j'ai été expatrié, et du apprendre une nouvelle langue, de nouvelles coutumes dans un nouveau pays.

Et le pire qui me soit jamais arrivé, c'est un sinus pilonidal! l'opération s'est bien passé, mais l'infirmière qui me soignait était vraiment sexy... imagines mon

humiliation! :oops:

Alors quand je dis que tout ça se surmonte, et que les médocs c'est de la fumisterie plus que de la faiblesse, tu peux me croire. :oops:

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

C'est pas parce que tu as vécu les pires trucs que ça parle à d'autres. Je minimise pas tes expériences, mais la dépression (si c'est bien de ça dont il s'agit, et pas seulement de la déprime hivernale, faut poser le diagnostic, c'est très différent) c'est une maladie. T'as beau te dire que tu as un chez toi, de la bouffe dans ton frigo, des gens qui t'aiment et réciproquement, ça n'enlève pas moins le fait que le moindre petit truc à faire te demande des efforts considérables et que tu puisses te sentir dépasser par tout et ne plus avoir envie de rien tellement tu te sens fatigué. (et en avoir parfois honte parce que oui effectivement quand tu y réfléchis tu as pas à te plaindre)

Je le répète c'est une maladie, et le pire avec cette maladie c'est qu'elle est très très mal acceptée par l'entourage (tellement facile de dire que c'est un bon à rien, un fainéant qui fait aucun effort alors qu'il a tout pour réussir et être heureux).

Pour revenir au topic et comme certains l'ont déjà dit, arrêter de boire est un bon début. (parce que oui, un verre de whisky par soir c'est de l'alcoolisme, pas le pire qui soit mais justement, autant s'attaquer au problème au début)

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

(parce que oui, un verre de whisky par soir c'est de l'alcoolisme, pas le pire qui soit mais justement, autant s'attaquer au problème au début)

Bonsoir,

Un verre de whisky (de quoi que ce soit d'ailleurs, la boisson alcoolisée importe peu), ce n'est pas de l'alcoolisme....cela peut être symptômatique, mais ce n'est en aucun cas de l'alcoolisme

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

C'est pas parce que tu as vécu les pires trucs que ça parle à d'autres. Je minimise pas tes expériences, mais la dépression (si c'est bien de ça dont il s'agit, et pas seulement de la déprime hivernale, faut poser le diagnostic, c'est très différent) c'est une maladie. T'as beau te dire que tu as un chez toi, de la bouffe dans ton frigo, des gens qui t'aiment et réciproquement, ça n'enlève pas moins le fait que le moindre petit truc à faire te demande des efforts considérables et que tu puisses te sentir dépasser par tout et ne plus avoir envie de rien tellement tu te sens fatigué. (et en avoir parfois honte parce que oui effectivement quand tu y réfléchis tu as pas à te plaindre)

Je le répète c'est une maladie, et le pire avec cette maladie c'est qu'elle est très très mal acceptée par l'entourage (tellement facile de dire que c'est un bon à rien, un fainéant qui fait aucun effort alors qu'il a tout pour réussir et être heureux).

Pour revenir au topic et comme certains l'ont déjà dit, arrêter de boire est un bon début. (parce que oui, un verre de whisky par soir c'est de l'alcoolisme, pas le pire qui soit mais justement, autant s'attaquer au problème au début)

oui oui oui tu as raison... de toute manière c'est débile de comparer, parcequ'on n'a pas tous les mêmes façons de réagir aux choses... que ce soit pour des causes génétiques ou l'éducation etc...

par contre, j'essaye de faire bien passer et repasser le message que l'humain peut très bien affronter ce genre de déprimes sans se détruire avec des médicaments... c'est à éviter comme la peste bubonique! c'est remplacer le mal par un mal encore pire!

kurgan : je comprend que c'est difficile... il faut que t'arrives à te remettre les idées en ordre, c'est tout... et pour ça, la seule chose qui t'aidera à prendre le recul nécessaire, c'est de te prendre quelques semaines de vacances, et de te barrer quelque part, n'importe où... mais changes de décors surtout! et t'as le droit d'emmener ta copine avec toi si tu veux...

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

(parce que oui, un verre de whisky par soir c'est de l'alcoolisme, pas le pire qui soit mais justement, autant s'attaquer au problème au début)
Bonsoir,

Un verre de whisky (de quoi que ce soit d'ailleurs, la boisson alcoolisée importe peu), ce n'est pas de l'alcoolisme....cela peut être symptômatique, mais ce n'est en aucun cas de l'alcoolisme

Tout dépend des conditions et des raisons pour lesquelles tu bois. Telles qu'il les décrit, c'est pas pour le plaisir de boire un bon whisky (ou tout autre alcool, c'est pas le problème effectivement). Le tout c'est de savoir, si il peut s'arrêter du jour au lendemain sans conséquences sur son comportement. Si c'est pas le cas, c'est qu'il y a dépendance et dans ce cas c'est de l'alcoolisme.
par contre, j'essaye de faire bien passer et repasser le message que l'humain peut très bien affronter ce genre de déprimes sans se détruire avec des médicaments... c'est à éviter comme la peste bubonique! c'est remplacer le mal par un mal encore pire!
Je suis tout à fait d'accord et Brave Heart le dit très bien dans un de ses posts plus haut. Il y a une différence entre supprimer les symptômes et guérir la maladie.
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

(parce que oui, un verre de whisky par soir c'est de l'alcoolisme, pas le pire qui soit mais justement, autant s'attaquer au problème au début)

Bonsoir,

Un verre de whisky (de quoi que ce soit d'ailleurs, la boisson alcoolisée importe peu), ce n'est pas de l'alcoolisme....cela peut être symptômatique, mais ce n'est en aucun cas de l'alcoolisme

un verre non

sauf si c'est tous les soir

un verre à la maison c'est pas la dose qu'on te sert dans un bar

quand la personne ne peu pas se passer de son verre d'alcool ou de son apéro quotidien c'est de l'alcoolisme

pareil quand une personne se saoule tous les week-end en faisant la fête

c'est quand même préférable de faire culpabiliser les gens

que de leur faire croire qu'il ne risquent rien en consommant régulièrement de l'alcool

pour se déculpabiliser :oops:

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Tout dépend des conditions et des raisons pour lesquelles tu bois. Telles qu'il les décrit, c'est pas pour le plaisir de boire un bon whisky (ou tout autre alcool, c'est pas le problème effectivement). Le tout c'est de savoir, si il peut s'arrêter du jour au lendemain sans conséquences sur son comportement. Si c'est pas le cas, c'est qu'il y a dépendance et dans ce cas c'est de l'alcoolisme.

Bonsoir,

C'est plus compliqué que cela....le problème réside dans le métier, et dans l'action sociale de boire (seul, alcool fort), mais la dose n'est absolument pas problématique.

Un verre de whisky quotidien ne signe en rien un alcoolisme, la dose n'a même pas d'effet dépresseur net sur le SNC.Mais il y a dans cette conduite des facteurs de risque, d'autant que plusieurs personnes prennent de l'alcool-initialement-en lieu et place des antidépresseurs.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

quand la personne ne peu pas se passer de son verre d'alcool ou de son apéro quotidien c'est de l'alcoolisme

Bonsoir,

Pas selon l'OMS, en tout cas....

Si quelqu'un broie du noir, il ne sert de le culpabiliser en lui disant qu'il est alcoolique (ce qui est faux) et, de plus, cela ne fait que refléter un sentiment de mal-être, ce n'est en aucun cas la cause de ce mal-être.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

(parce que oui, un verre de whisky par soir c'est de l'alcoolisme, pas le pire qui soit mais justement, autant s'attaquer au problème au début)

Bonsoir,

Un verre de whisky (de quoi que ce soit d'ailleurs, la boisson alcoolisée importe peu), ce n'est pas de l'alcoolisme....cela peut être symptômatique, mais ce n'est en aucun cas de l'alcoolisme

On sent le breton !!! :incline:

:iloveyou:

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Archivé

Ce sujet est désormais archivé et ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.


×
×
  • Créer...