ouragan Posté(e) le 7 février 2005 Partager Posté(e) le 7 février 2005 ah non le dm c'est là: le dm ( nos heures de gloire hein rabot... ) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Neofusion Posté(e) le 7 février 2005 Partager Posté(e) le 7 février 2005 C'est bête que les posts Bla² sont plus contabilisé. Arrêter en faite c'est un piège a con les modos se servent de ce topic pour repérer les freeposteurs et apres quick ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
FredB Posté(e) le 7 février 2005 Partager Posté(e) le 7 février 2005 j'y ai pensé Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Big Dragon Posté(e) le 7 février 2005 Partager Posté(e) le 7 février 2005 DM Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
UnKna Posté(e) le 7 février 2005 Partager Posté(e) le 7 février 2005 M D Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
MoiMemePerso Posté(e) le 7 février 2005 Partager Posté(e) le 7 février 2005 raaa le dm...... DM Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Populous G. Posté(e) le 7 février 2005 Partager Posté(e) le 7 février 2005 Soit.L'action de grace durant la messe du dimanche 4 juin 1902 et la reproduction des poulpes. Ca te va comme base de départ ? Alors... Les gens réunis autour du curé de Versailles du mercredi 4 juin 1902 (car le 4 juin 1902 était un mercredi...) ne se doutaient pas que la petite folie de leur curé allait perturber le monde. En effet, M. René Sanyes fut atteint dès l'âge des ses 32 ans d'une maladie rare qui lui donnait une érection durant toute la journée du dimanche, il ne pouvait donc pas faire la messe comme les autres curés. D'ailleurs il reste un témoignage d'une de ses croyantes qui reste gravé dans un marbre posé sur un mur de l'église, comme si ceci était un miracle : "Monsieur le curé allait donner le sermont au moment où nous vîmes une sorte de poussée sous son chandail. Cet objet monta et faisait bien au moins quarante centimètres et nous nous demandions ce qu'il se passait, nous voyions même ses genoux. Monsieur le curé s'éclipsa dans le confessionnal sous le rire de l'assemblée, nous pensons qu'il s'agit d'un miracle qui veut que monsieur le curé fasse la messe un autre jour que le dimanche." Ainsi donc, le curé fit sa messe ce mercredi 4 juin 1902, mais sentit tout à coup monter en lui la sève du pêché, l'eau bénite du profane, et son sexe commença à grandir et monter son chandail. Il tenta tant bien que mal à se cacher derrière l'autel, mais un petit croyant dit tout haut : "Dis maman, pourquoi le zizi du curé il est si grand ?" ce qui fit pousser un cri à sa mère et la fis s'évanouir. Le curé marcha tant bien que mal vers la mère mais son sexe le gênait manifestement. Il alla trouver le médecin qui lui dit que son état s'empirait et que bientôt son sexe serait en érection tous les jours de la semaine, pendant une douzaine d'heures. Désespéré, le curé demanda au médecin un remède, mais il n'en existait guère à par le coït, et monsieur le curé ne pouvait se résoudre à enfreindre son voeu de chasteté, de plus son sexe était bien trop imposant et risquait d'effrayer. Le médecin lui promit de réflechir à une solution, demandant au curé d'être un peu patient. Monsieur le curé pria au mieux qu'il le pouvait le seigneur, ne pouvant même pas se mettre à genoux. Les jours passaient et le médecin ne pouvait toujours pas lui donner de remède, jusqu'au jour où il lu un article qui narrait l'exploration du sud-est asiatique par un célèbre médecin qui décrivait certains symptômes insolites de ses habitants, et le brave docteur y reconnu celui de son patient : l'érection incontrôlable est spectaculaire. Se renseignant, il découvrit qu'il fallait que le patient subisse une fellation durant deux heures par jour pour réduire l'erection. Mais le docteur ne pouvait conseiller au curé de se faire pratiquer un tel exercice, mais eut une nouvelle fois la bonne surprise de découvrir que nombre de malades asiatiques célibataires utilisaient des animaux à leur disposition pour cette délicate tâche. Au début, ceux-ci essayaient de se soigner par le biais de thons, mais leur taille conséquente ne correspondait pas à la taille ridicule de leur pénis. Ils eurent l'idée ensuite d'utiliser des poulpes, denrée très réputée dans leur pays grâce à sa capacité de sussion exceptionnelle, mais également sa forme élastique lui permettant de s'adapter à toutes les tailles. Le docteur s'empressa donc de dénicher un poulpe, rares à cette époque en France, et convaincu le curé de l'essayer. Celui-ci se rendit compte que l'animal calmait de manière radicale sa rigueur phalique et demanda au docteur de lui en fournir plus, le sien étant mort de fatigue au bout de quelques heures seulement. Le docteur ne savait que faire, le marché français ne regorgeant pas de poulpes. Mais fort heureusement, celui-ci avait comme ami proche Monsieur Pichon, banquier, qu'il avait sauvé d'un anévrisme fort violent et qui lui était ainsi redevable. Le banquier fonda une société d'importation de poulpes asiatiques, et les français par le bouche à oreille découvrirent cet aliment qui fut rapidement plébiscité. Cette lubie se développa dans toute l'Europe, tant et si bien que les poulpes mâles vinrent à manquer. En effet, les mâles étaient les seuls à être pris, étant environ quatre fois plus gros que les femelles qui passaient hors des filets. Ainsi, il fut estimé en 1923 qu'il substistait un poulpe mâle pour cent-cinquante poulpes femelles. Les femelles vinrent, pour perpetuer l'espèce, à s'accoupler avec les pieuvres mâles bien plus conséquentes qu'elles, et leur vagin, par la loi de Darwin, vint à s'adapter au fil des générations à cette situation, et passa de deux millimètres à environ huit centimètres de diamètre, alors que leur taille demeura inchangée. C'est ainsi que de nos jours, les poulpes femelles traînent derrière elles un organe vaginal plusieurs fois plus grand qu'elles pour pouvoir se reproduire, troublant ainsi la sexualité des pouples mâles qui doivent maintenant se masturber sur le corail, causant des dégâts importants, mais ceci est une autre histoire... Alors ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
NilSanyas Posté(e) le 7 février 2005 Partager Posté(e) le 7 février 2005 C'est bête que les posts Bla² sont plus contabilisé. Y'aurait déjà 1000 000 000 de pages Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
jackinow Posté(e) le 7 février 2005 Partager Posté(e) le 7 février 2005 alors tu t'imagine le temps ou ils étaient compter et ou ces posts n'étaient pas bloqué SM ooops DM Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
NilSanyas Posté(e) le 7 février 2005 Partager Posté(e) le 7 février 2005 Ou alors pour booster la chose, pendant ce soir on compte les posts dans blabla (mouais non mauvaise idée en fait ) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
milohoffman Posté(e) le 7 février 2005 Partager Posté(e) le 7 février 2005 René Sanyas ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
UnKna Posté(e) le 7 février 2005 Partager Posté(e) le 7 février 2005 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Big Dragon Posté(e) le 7 février 2005 Partager Posté(e) le 7 février 2005 Alors... Les gens réunis autour du curé de Versailles du mercredi 4 juin 1902 (car le 4 juin 1902 était un mercredi...) ne se doutaient pas que la petite folie de leur curé allait perturber le monde. En effet, M. René Sanyes fut atteint dès l'âge des ses 32 ans d'une maladie rare qui lui donnait une érection durant toute la journée du dimanche, il ne pouvait donc pas faire la messe comme les autres curés. D'ailleurs il reste un témoignage d'une de ses croyantes qui reste gravé dans un marbre posé sur un mur de l'église, comme si ceci était un miracle : "Monsieur le curé allait donner le sermont au moment où nous vîmes une sorte de poussée sous son chandail. Cet objet monta et faisait bien au moins quarante centimètres et nous nous demandions ce qu'il se passait, nous voyions même ses genoux. Monsieur le curé s'éclipsa dans le confessionnal sous le rire de l'assemblée, nous pensons qu'il s'agit d'un miracle qui veut que monsieur le curé fasse la messe un autre jour que le dimanche." Ainsi donc, le curé fit sa messe ce mercredi 4 juin 1902, mais sentit tout à coup monter en lui la sève du pêché, l'eau bénite du profane, et son sexe commença à grandir et monter son chandail. Il tenta tant bien que mal à se cacher derrière l'autel, mais un petit croyant dit tout haut : "Dis maman, pourquoi le zizi du curé il est si grand ?" ce qui fit pousser un cri à sa mère et la fis s'évanouir. Le curé marcha tant bien que mal vers la mère mais son sexe le gênait manifestement. Il alla trouver le médecin qui lui dit que son état s'empirait et que bientôt son sexe serait en érection tous les jours de la semaine, pendant une douzaine d'heures. Désespéré, le curé demanda au médecin un remède, mais il n'en existait guère à par le coït, et monsieur le curé ne pouvait se résoudre à enfreindre son voeu de chasteté, de plus son sexe était bien trop imposant et risquait d'effrayer. Le médecin lui promit de réflechir à une solution, demandant au curé d'être un peu patient. Monsieur le curé pria au mieux qu'il le pouvait le seigneur, ne pouvant même pas se mettre à genoux. Les jours passaient et le médecin ne pouvait toujours pas lui donner de remède, jusqu'au jour où il lu un article qui narrait l'exploration du sud-est asiatique par un célèbre médecin qui décrivait certains symptômes insolites de ses habitants, et le brave docteur y reconnu celui de son patient : l'érection incontrôlable est spectaculaire. Se renseignant, il découvrit qu'il fallait que le patient subisse une fellation durant deux heures par jour pour réduire l'erection. Mais le docteur ne pouvait conseiller au curé de se faire pratiquer un tel exercice, mais eut une nouvelle fois la bonne surprise de découvrir que nombre de malades asiatiques célibataires utilisaient des animaux à leur disposition pour cette délicate tâche. Au début, ceux-ci essayaient de se soigner par le biais de thons, mais leur taille conséquente ne correspondait pas à la taille ridicule de leur pénis. Ils eurent l'idée ensuite d'utiliser des poulpes, denrée très réputée dans leur pays grâce à sa capacité de sussion exceptionnelle, mais également sa forme élastique lui permettant de s'adapter à toutes les tailles. Le docteur s'empressa donc de dénicher un poulpe, rares à cette époque en France, et convaincu le curé de l'essayer. Celui-ci se rendit compte que l'animal calmait de manière radicale sa rigueur phalique et demanda au docteur de lui en fournir plus, le sien étant mort de fatigue au bout de quelques heures seulement. Le docteur ne savait que faire, le marché français ne regorgeant pas de poulpes. Mais fort heureusement, celui-ci avait comme ami proche Monsieur Pichon, banquier, qu'il avait sauvé d'un anévrisme fort violent et qui lui était ainsi redevable. Le banquier fonda une société d'importation de poulpes asiatiques, et les français par le bouche à oreille découvrirent cet aliment qui fut rapidement plébiscité. Cette lubie se développa dans toute l'Europe, tant et si bien que les poulpes mâles vinrent à manquer. En effet, les mâles étaient les seuls à être pris, étant environ quatre fois plus gros que les femelles qui passaient hors des filets. Ainsi, il fut estimé en 1923 qu'il substistait un poulpe mâle pour cent-cinquante poulpes femelles. Les femelles vinrent, pour perpetuer l'espèce, à s'accoupler avec les pieuvres mâles bien plus conséquentes qu'elles, et leur vagin, par la loi de Darwin, vint à s'adapter au fil des générations à cette situation, et passa de deux millimètres à environ huit centimètres de diamètre, alors que leur taille demeura inchangée. C'est ainsi que de nos jours, les poulpes femelles traînent derrière elles un organe vaginal plusieurs fois plus grand qu'elles pour pouvoir se reproduire, troublant ainsi la sexualité des pouples mâles qui doivent maintenant se masturber sur le corail, causant des dégâts importants, mais ceci est une autre histoire... Alors ? tout le monde s'en fout, tu t'ais fait chier pour rien DM Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Populous G. Posté(e) le 7 février 2005 Partager Posté(e) le 7 février 2005 Alors... Les gens réunis autour du curé de Versailles du mercredi 4 juin 1902 (car le 4 juin 1902 était un mercredi...) ne se doutaient pas que la petite folie de leur curé allait perturber le monde. En effet, M. René Sanyes fut atteint dès l'âge des ses 32 ans d'une maladie rare qui lui donnait une érection durant toute la journée du dimanche, il ne pouvait donc pas faire la messe comme les autres curés. D'ailleurs il reste un témoignage d'une de ses croyantes qui reste gravé dans un marbre posé sur un mur de l'église, comme si ceci était un miracle : "Monsieur le curé allait donner le sermont au moment où nous vîmes une sorte de poussée sous son chandail. Cet objet monta et faisait bien au moins quarante centimètres et nous nous demandions ce qu'il se passait, nous voyions même ses genoux. Monsieur le curé s'éclipsa dans le confessionnal sous le rire de l'assemblée, nous pensons qu'il s'agit d'un miracle qui veut que monsieur le curé fasse la messe un autre jour que le dimanche." Ainsi donc, le curé fit sa messe ce mercredi 4 juin 1902, mais sentit tout à coup monter en lui la sève du pêché, l'eau bénite du profane, et son sexe commença à grandir et monter son chandail. Il tenta tant bien que mal à se cacher derrière l'autel, mais un petit croyant dit tout haut : "Dis maman, pourquoi le zizi du curé il est si grand ?" ce qui fit pousser un cri à sa mère et la fis s'évanouir. Le curé marcha tant bien que mal vers la mère mais son sexe le gênait manifestement. Il alla trouver le médecin qui lui dit que son état s'empirait et que bientôt son sexe serait en érection tous les jours de la semaine, pendant une douzaine d'heures. Désespéré, le curé demanda au médecin un remède, mais il n'en existait guère à par le coït, et monsieur le curé ne pouvait se résoudre à enfreindre son voeu de chasteté, de plus son sexe était bien trop imposant et risquait d'effrayer. Le médecin lui promit de réflechir à une solution, demandant au curé d'être un peu patient. Monsieur le curé pria au mieux qu'il le pouvait le seigneur, ne pouvant même pas se mettre à genoux. Les jours passaient et le médecin ne pouvait toujours pas lui donner de remède, jusqu'au jour où il lu un article qui narrait l'exploration du sud-est asiatique par un célèbre médecin qui décrivait certains symptômes insolites de ses habitants, et le brave docteur y reconnu celui de son patient : l'érection incontrôlable est spectaculaire. Se renseignant, il découvrit qu'il fallait que le patient subisse une fellation durant deux heures par jour pour réduire l'erection. Mais le docteur ne pouvait conseiller au curé de se faire pratiquer un tel exercice, mais eut une nouvelle fois la bonne surprise de découvrir que nombre de malades asiatiques célibataires utilisaient des animaux à leur disposition pour cette délicate tâche. Au début, ceux-ci essayaient de se soigner par le biais de thons, mais leur taille conséquente ne correspondait pas à la taille ridicule de leur pénis. Ils eurent l'idée ensuite d'utiliser des poulpes, denrée très réputée dans leur pays grâce à sa capacité de sussion exceptionnelle, mais également sa forme élastique lui permettant de s'adapter à toutes les tailles. Le docteur s'empressa donc de dénicher un poulpe, rares à cette époque en France, et convaincu le curé de l'essayer. Celui-ci se rendit compte que l'animal calmait de manière radicale sa rigueur phalique et demanda au docteur de lui en fournir plus, le sien étant mort de fatigue au bout de quelques heures seulement. Le docteur ne savait que faire, le marché français ne regorgeant pas de poulpes. Mais fort heureusement, celui-ci avait comme ami proche Monsieur Pichon, banquier, qu'il avait sauvé d'un anévrisme fort violent et qui lui était ainsi redevable. Le banquier fonda une société d'importation de poulpes asiatiques, et les français par le bouche à oreille découvrirent cet aliment qui fut rapidement plébiscité. Cette lubie se développa dans toute l'Europe, tant et si bien que les poulpes mâles vinrent à manquer. En effet, les mâles étaient les seuls à être pris, étant environ quatre fois plus gros que les femelles qui passaient hors des filets. Ainsi, il fut estimé en 1923 qu'il substistait un poulpe mâle pour cent-cinquante poulpes femelles. Les femelles vinrent, pour perpetuer l'espèce, à s'accoupler avec les pieuvres mâles bien plus conséquentes qu'elles, et leur vagin, par la loi de Darwin, vint à s'adapter au fil des générations à cette situation, et passa de deux millimètres à environ huit centimètres de diamètre, alors que leur taille demeura inchangée. C'est ainsi que de nos jours, les poulpes femelles traînent derrière elles un organe vaginal plusieurs fois plus grand qu'elles pour pouvoir se reproduire, troublant ainsi la sexualité des pouples mâles qui doivent maintenant se masturber sur le corail, causant des dégâts importants, mais ceci est une autre histoire... Alors ? régulièrement sinon personne ne va lire tellement ça poste vite. C'est une réponse à Phibee qui voulait un lien entre une messe du 4 juin 1902 et la reproduction des poulpes. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Squall NTCK Posté(e) le 7 février 2005 Partager Posté(e) le 7 février 2005 De Mort Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Neofusion Posté(e) le 7 février 2005 Partager Posté(e) le 7 février 2005 alors tu t'imagine le temps ou ils étaient compter et ou ces posts n'étaient pas bloqué SM ooops DM C'était le bon temps . DM Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ouragan Posté(e) le 7 février 2005 Partager Posté(e) le 7 février 2005 1.2. Bienvenue à FreeBSD! FreeBSD est une système d'exploitation basé sur 4.4BSD-Lite2 pour les ordinateurs à base d'architecture Intel (x86 et Itanium®), AMD64, les ordinateurs DEC Alpha?, et Sun UltraSPARC®. Le portage pour d'autres architectures est également en cours. Pour connaître l'histoire du projet, lisez Un court historique de FreeBSD. Pour avoir une description de la version la plus récente, allez à la section A propos de cette version. Si vous voulez contribuer d'une façon ou d'une autre au projet FreeBSD (code, matériel, chèques en blanc), voyez s'il vous plaît à la section Contribuer à FreeBSD. 1.2.1. Que peut faire FreeBSD? FreeBSD dispose de nombreuses caractéristiques remarquables. Parmi lesquelles: Multi-tâche préemptif avec ajustement dynamique des priorités pour garantir un partage équilibré et fluide de l'ordinateur entre les applications et les utilisateurs et cela même sous les charges les plus importantes. Accès multi-utilisateurs qui permet à de nombreuses personnes d'utiliser en même temps un système FreeBSD à des fins très différentes. Cela signifie, par exemple, que des périphériques tels que les imprimantes ou les lecteurs de bandes peuvent être partagés entre tous les utilisateurs sur le système ou sur le réseau et que des limitations d'utilisation des ressources peuvent être appliquées à des utilisateurs ou groupes d'utilisateurs, protégeant ainsi les ressources systèmes critiques d'une sur-utilisation. Réseau TCP/IP complet dont le support de standards industriels comme SLIP, PPP, NFS, DHCP, et NIS. Cela signifie que votre machine FreeBSD peut coopérer facilement avec d'autres systèmes ou être utilisée comme serveur d'entreprise, fournissant des fonctions essentielles comme NFS (accès aux fichiers en réseau) et le service de courrier électronique, ou encore l'accès de votre entreprise à l'Internet grâce aux services WWW, FTP, et aux fonctionnalités de routage et de coupe-feu (sécurité). La protection de la mémoire garantit que les applications (ou les utilisateurs) ne peuvent interférer entre eux. Une application qui plante n'affectera en rien les autres. FreeBSD est un système d'exploitation 32-bits (64-bits sur l'architecture Alpha, Itanium, AMD64, et UltraSPARC) et a été conçu comme tel dès le début. Le Système X Window (X11R6), standard industriel, fournit une interface graphique à l'utilisateur (Graphical User Interface - GUI), moyennant l'achat d'une carte VGA ordinaire et d'un moniteur, et est livré avec l'intégralité de son code source. Compatibilité binaire avec de nombreux programmes compilés pour Linux, SCO, SVR4, BSDI et NetBSD. Des milliers d'applications prêtes à l'emploi sont disponibles grâce au catalogue des logiciels portés (ports) et au catalogue des logiciels pré-compilés (packages). Pourquoi chercher sur l'Internet alors que tout est là?. Des milliers d'applications faciles à porter sont disponibles sur l'Internet. FreeBSD est compatible au niveau du code source avec les systèmes UNIX® commerciaux les plus répandus et donc la plupart des applications exigent peu, sinon aucune modification, pour les compiler. Mémoire virtuelle à la demande et ``cache unifié pour les disques et la mémoire virtuelle'' cela permet de répondre aux besoins des applications gourmandes en mémoire tout en garantissant le temps de réponse aux autres utilisateurs. Support du traitement symétrique multiprocesseurs (SMP). Des outils complets de développement C, C++, Fortran, et Perl. De nombreux autres langages pour la recherche de pointe et le développement sont aussi disponibles dans les catalogues des logiciels portés et pré-compilés. La disponibilité Code source de l'intégralité du système vous donne un contrôle total sur votre environnement. Pourquoi être prisonnier d'une solution propriétaire et dépendant de votre fournisseur alors que vous pouvez avoir un véritable système ouvert? Une documentation en ligne très complète. Et beaucoup d'autres choses encore! FreeBSD est basé sur la version 4.4BSD-Lite2 du ``Computer Systems Research Group'' (CSRG) de l'Université de Californie à Berkeley et continue la tradition de développement renommée des systèmes BSD. En plus de l'excellent travail fourni par le CSRG, le Projet FreeBSD a investi des milliers d'heures de travail pour optimiser le système pour arriver aux meilleures performances et au maximum de fiabilité sous la charge d'un environnement de production. Alors que la plupart des géants dans le domaine des systèmes d'exploitation pour PC s'acharnent encore à obtenir de telles possibilités, performances et fiabilité, FreeBSD peut les offrir dès maintenant! La seule limite aux domaines d'application auxquels FreeBSD peut satisfaire est votre propre imagination. Du développement de logiciels à la production robotisée, de la gestion de stocks à la correction d'azimuth pour les antennes satellites; si un UNIX commercial peut le faire, il y a de très fortes chances que FreeBSD le puisse aussi! FreeBSD bénéficie aussi de centaines d'applications de haute qualité developpées par les centres de recherche et les universités du monde entier, souvent disponibles gratuitement ou presque. Il existe aussi des applications commerciales et leur nombre croît de jour en jour. Comme le code source de FreeBSD lui-même est globalement disponible, le système peut aussi être adapté sur mesure à un point pratiquement jamais atteint pour des applications ou des projets particuliers, d'une façon qui serait habituellement impossible avec les systèmes d'exploitation commerciaux de la plupart des principaux fournisseurs. Voici juste quelques exemples d'applications pour lesquelles FreeBSD est utilisé: Services Internet: les fonctionnalités réseau TCP/IP robustes qu'inclut FreeBSD en font la plate-forme idéale pour un éventail de services Internet, tels que: Serveurs FTP Serveurs World Wide Web (standard ou sécurisé [sSL]) Coupe-feux et passerelles de traduction d'adresses (``IP masquerading'') Serveurs de courrier électronique Serveurs de News USENET (forums de discussion) ou Bulletin Board Systems (BBS) Et plus... Avec FreeBSD, vous pouvez facilement commencer petit avec un PC 386 à bas prix et évoluer jusqu'à un quadri-processeurs Xeon avec stockage RAID au fur et à mesure que votre entreprise s'agrandit. Education: Etes-vous étudiant en informatique ou dans un domaine d'ingénierie apparenté? Il n'y a pas de meilleur moyen pour étudier les systèmes d'exploitation, l'architecture des ordinateurs et les réseaux que l'expérience directe et de ``derrière la coulisse'' que FreeBSD peut vous apporter. Il y a aussi un grand nombre d'outils mathématiques, graphiques et de Conception Assistée par Ordinateur qui en font un outil très utile pour ceux qui s'intéressent aux ordinateurs essentiellement pour faire un autre travail! Recherche: Avec le code source de la totalité du système disponible, FreeBSD est un excellent outil de recherche sur les systèmes d'exploitation tout autant que pour d'autres branches de l'informatique. Le fait que FreeBSD soit librement disponible rend aussi possible l'échange d'idées et le développement partagé entre groupes éloignés sans avoir à se préoccuper de problèmes de licence particulières ou de restrictions à ce qui pourrait être discuté sur des forums ouverts. Réseau: Il vous faut un nouveau routeur? Un serveur de domaine (DNS)? Un coupe-feu pour tenir les gens à l'écart de votre réseau interne? FreeBSD peut facilement faire de votre vieux 386 ou 486 inutilisé qui traîne dans un coin un routeur évolué avec des fonctionnalités sophistiquées de filtrage de paquets. Station de travail X Window: FreeBSD est un excellent choix pour faire un terminal X peu coûteux, soit avec le serveur XFree86? librement disponible, soit avec les excellents serveurs commerciaux de Xi Graphics. Au contraire d'un terminal X, FreeBSD permet d'exécuter localement, si désiré, un grand nombre d'applications, déchargeant ainsi le serveur central. FreeBSD peut même démarrer ``sans disque'', ce qui permet de concevoir des postes de travail individuels moins chers et plus faciles à administrer. Développement de logiciel: Le système FreeBSD de base inclut un environnement de développement complet dont les compilateur et débogueur GNU C/C++ réputés. FreeBSD est disponible sous forme de code source ou binaire sur CDROM, DVD ou par ftp anonyme, Voyez Annexe A pour plus de détails. 1.2.2. Qui utilise FreeBSD? FreeBSD est utilisé par certains des plus importants sites sur l'Internet, parmi lesquels: Yahoo! Apache Blue Mountain Arts Pair Networks Sony Japan Netcraft Weathernews Supervalu TELEHOUSE America Sophos Anti-Virus JMA Wired et de nombreux autres. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Populous G. Posté(e) le 7 février 2005 Partager Posté(e) le 7 février 2005 tout le monde s'en fout, tu t'ais fait chier pour rien Tu sais pas lire, c'est tout. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
jackinow Posté(e) le 7 février 2005 Partager Posté(e) le 7 février 2005 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
jer666 Posté(e) le 7 février 2005 Partager Posté(e) le 7 février 2005 on les comptes??? c'est trop instrutif comme topic je trouve.... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
FredB Posté(e) le 7 février 2005 Partager Posté(e) le 7 février 2005 Je ne suis pas d'accord pour René Sanyas !!!!! ça marche pas ton truc milo Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ouragan Posté(e) le 7 février 2005 Partager Posté(e) le 7 février 2005 1.3. A propos du Projet FreeBSD La section suivante fournit des informations générales sur le projet, dont un court historique, les objectifs du projet, et le mode de développement du projet. 1.3.1. Un court historique de FreeBSD Contribution de Jordan Hubbard. Le projet FreeBSD a vu le jour au début de 1993, en partie comme extension du ``Kit de mise à jour non officiel de 386BSD'' des trois derniers coordinateurs du kit de mise à jour : Nate Williams, Rod Grimes et moi-même. Notre objectif de départ était de fournir une distribution intermédiaire de 386BSD pour corriger un certain nombre de problèmes que le mécanisme du kit de mise à jour ne permettait pas de résoudre. Certains d'entre vous se rappellent peut-être que l'intitulé de travail d'origine du projet était ``386 BSD 0.5'' ou ``386BSD Interim'' en référence à ce problème. 386BSD était le système d'exploitation de Bill Jolitz, qui souffrait assez sévèrement à ce moment-là d'avoir été négligé pendant presque un an. Comme le kit de mise à jour enflait de plus en plus inconfortablement au fil des jours, nous avons décidé à l'unanimité qu'il fallait faire quelque chose et aider Bill en fournissant cette distribution provisoire de ``remise à plat''. Ces projets se sont brutalement interrompus lorsque Bill a décidé de retirer son aval au projet sans dire clairement ce qui serait fait à la place. Il ne nous a pas fallu longtemps pour décider que l'objectif restait valable, même sans l'adhésion de Bill, et nous avons donc adopté le nom ``FreeBSD'', une proposition de David Greenman. Nos objectifs de départ ont été définis après avoir consulté les utilisateurs du moment du système et, dès qu'il est devenu clair que le projet était parti pour devenir un jour éventuellement réalité, nous avons contacté Walnut Creek CDROM dans l'optique d'améliorer la distribution de FreeBSD pour le grand nombre de ceux qui n'avaient pas la chance de pouvoir accéder facilement à l'Internet. Non seulement Walnut Creek CDROM a adopté l'idée de distribuer FreeBSD sur CDROM, mais a été jusqu'à fournir au projet une machine pour travailler et une connexion rapide à l'Internet. Sans le degré pratiquement sans précédent de confiance de Walnut Creek CDROM en ce qui n'était alors qu'un projet totalement inconnu, il y a peu de chance que FreeBSD ait été aussi loin, aussi vite, que là où il en est aujourd'hui. La première version sur CDROM (et sur l'ensemble du Net) fut FreeBSD 1.0, parue en Décembre 1993. Elle reposait sur la bande 4.3BSD-Lite (``Net/2'') de l'Université de Californie à Berkeley, avec de nombreux composants venant aussi de 386BSD et de la ``Free Software Foundation''. Ce fut un succès honnête pour une version initiale, qui fut suivi par le franc succès de la version 1.1 de FreeBSD, publiée en Mai 1994. A peu près à cette époque, des nuages menaçants et inattendus apparurent lorsque commença la bataille juridique entre Novell et l'U.C. Berkeley autour du statut légal de la bande Net/2 de Berkeley. Dans les termes de l'accord, l'U.C. Berkeley concédait qu'une grande partie de Net/2 était du code ``protégé'' et propriété de Novell, qui l'avait à son tour racheté à AT&T quelque temps auparavant. Berkeley obtint en retour la ``bénédiction'' de Novell que 4.4BSD-Lite soit, lorsqu'il vit finalement le jour, déclaré non protégé et que tous les utilisateurs de Net/2 soit fortement incités à migrer. Cela incluait FreeBSD, et l'on donna au projet jusqu'à Juillet 1994 pour mettre un terme à son propre produit basé sur Net/2. Selon les termes de cet accord, une dernière livraison était autorisée avant le délai final; ce fut FreeBSD 1.1.5.1. FreeBSD s'attela alors à la tâche difficile de littéralement se réinventer à partir de fragments totalement nouveaux et assez incomplets de 4.4BSD-Lite. Les versions ``Lite'' étaient légères (``light'') en partie parce que le CSRG avait retiré de gros morceaux du code nécessaires pour que l'on puisse effectivement en faire un système qui démarre (pour différentes raisons légales) et parce que le portage pour Intel de la version 4.4 était très partiel. Il fallu au projet jusqu'à Novembre 1994 pour terminer cette étape de transition et que FreeBSD 2.0 paraisse sur l'Internet et sur CDROM (fin Décembre). Bien qu'elle fut encore assez rugueuse aux angles, cette livraison obtint un succès significatif et fut suivie par la version 2.0.5 de FreeBSD, plus fiable et facile à installer, en Juin 1995. Nous avons publié FreeBSD 2.1.5 en Août 1996, et il s'avéra suffisamment populaire chez les fournisseurs d'accès et les utilisateurs professionnels pour qu'une nouvelle version sur la branche 2.1-STABLE soit justifiée. Ce fut la version FreeBSD 2.1.7.1, parue en Février 1997 et qui marque la fin de 2.1-STABLE comme branche principale de développement. Dès lors, il n'y aurait plus que des améliorations quant à la sécurité et autres corrections de bogues critiques sur cette branche, (RELENG_2_1_0), passée en phase de maintenance. La branche FreeBSD 2.2 fut créée à partir de la branche principale de développement (``-CURRENT'') en Novembre 1996 en tant que branche RELENG_2_2, et la première version complète (2.2.1) parut en Avril 1997. Il y eut d'autres versions sur la branche 2.2 à l'été et à l'automne 97, la dernière (2.2. parut en Novembre 1998. La première version officielle 3.0 sortira en Octobre 1998 et annoncera le début de la fin pour la branche 2.2. Il y eut la création de nouvelles branches le 20 Janvier 1999, donnant une branche 4.0-CURRENT et une branche 3.X-STABLE. De cette dernière il y eut la version 3.1 livrée le 15 Février 1999, la version 3.2 livrée le 15 Mai 1999, la 3.3 le 16 Septembre 1999, la 3.4 le 20 Décembre 1999 et la 3.5 le 24 Juin 2000, qui fut suivit quelques jours plus tard par une mise à jour mineure 3.5.1 pour rajouter quelques correctifs de sécurité de dernière minute sur Kerberos. Cela sera la dernière version de la la branche 3.X à paraître. Le 13 Mars 2000 a vu l'apparition d'une nouvelle branche: la branche 4.X-STABLE, désormais considérée comme ``l'actuelle branche -STABLE''. Il y a eu plusieurs versions jusqu'ici: la 4.0-RELEASE est sortie en Mars 2000, et la version la plus récente la 4.11-RELEASE est sortie en Jan 2005. Il y aura d'autres versions extraites de la branche 4.X-STABLE (RELENG_4) également en 2003. La tant attendue 5.0-RELEASE a été annoncée le 19 Janvier 2003. Etant le point culminant de près de trois ans de travail, cette version a engagé FreeBSD sur la voie d'un support avancé des systèmes multiprocesseurs et des ``threads'', et a introduit le support des plateformes UltraSPARC® et ia64. Cette version fut suivie de la 5.1 en Juin 2003. En plus d'un grand nombre de nouvelles fonctionnalités, les versions 5.X contiennent également un nombre important de développements majeurs dans l'architecture du système. Parmi toutes ces avancées, ce système inclu une grande quantité de code nouveau et non testé à grande échelle. Pour cette raison les versions 5.X sont considérées comme des versions dites de ``Nouvelle Technologie'', alors que les versions de la série 4.X sont dites versions de ``Production''. Au moment adapté, la branche 5.X sera déclarée stable et les travaux commenceront sur la branche de développement suivante: la 6.0-CURRENT. Pour le moment, les projets de développement à long terme continuent à se faire dans la branche (tronc) 5.X-CURRENT, et des ``instantanées'' de la 5.X sur CDROM (et, bien sûr, sur le net) sont continuellement mis à disposition sur le serveur d'instantané pendant l'avancement des travaux. 1.3.2. Les objectifs du projet FreeBSD Contribution de Jordan Hubbard. L'objectif du projet FreeBSD est de fournir du logiciel qui puisse être utilisé à n'importe quelle fin et sans aucun restriction. Nombre d'entre nous sont impliqués de façon significative dans le code (et dans le projet) et ne refuseraient certainement pas une petite compensation financière de temps à autre, mais ce n'est certainement pas dans nos intentions d'insister là dessus. Nous croyons que notre première et principale ``mission'' est de fournir du code à tout le monde, pour n'importe quel projet, de façon à ce qu'il soit utilisé le plus possible et avec le maximum d'avantages. C'est, nous le pensons, l'un des objectifs les plus fondamentaux du Logiciel Libre et l'un de ceux que nous soutenons avec enthousiasme. Le code de l'arborescence des sources, qui est régi par la Licence Publique GNU (``GNU Public License'' - GPL) ou la Licence Publique GNU pour les Bibliothèques (``GNU Library Public License'' - GLPL) impose légèrement plus de contraintes, bien que plutôt liées à une disponibilité plus grande qu'au contraire, comme c'est généralement le cas. En raison des complications supplémentaires qui peuvent résulter de l'utilisation commerciale de logiciels GPL, nous essayons, cependant de remplacer ces derniers par des logiciels soumis à la licence BSD qui est plus souple, chaque fois que c'est possible. 1.3.3. Le mode de développement de FreeBSD Contribution de Satoshi Asami. Le développement de FreeBSD est un processus très ouvert et très souple, c'est littéralement le résultat de contributions de centaines de personnes dans le monde entier, ce que reflète notre liste des participants. L'infrastructure de développement de FreeBSD permet à ces centaines de développeurs de collaborer via l'Internet. Nous sommes toujours à l'affût de nouveaux développeurs et de nouvelles idées, et ceux que s'impliquer de plus près intéresse n'ont besoin que de contacter la liste de diffusion pour les discussions techniques sur FreeBSD. La liste de diffusion pour les annonces relatives à FreeBSD est aussi disponible pour ceux qui veulent faire connaître aux autres utilisateurs de FreeBSD les principaux domaines de développement en cours. Quelques points utiles à connaître à propos du projet FreeBSD et de son processus de développement, que vous travailliez indépendamment ou en collaboration étroite: Les archives CVS L'arborescence centrale des sources de FreeBSD est gérée sous CVS (Concurrent Version System), un système librement disponible de gestion de version des sources qui est livré avec FreeBSD. Les archives CVS d'origine sont sur une machine à Santa Clara CA, USA, d'où elles sont répliquées sur de nombreuses machines miroir à travers le monde. L'arborescence CVS qui contient les branches -CURRENT et -STABLE peut facilement être dupliquée sur votre propre machine. Reportez-vous à la section Synchroniser votre arborescence des sources pour plus d'informations sur la façon de procéder. La liste des personnes autorisées, les ``committers'' Les personnes autorisées (committers) sont celles qui ont les droits en écriture sur l'arborescence CVS, et sont autorisées à faire des modifications dans les sources de FreeBSD (le terme ``committer'' vient de la commande cvs(1) commit, que l'on utilise pour reporter des modifications dans les archives CVS). La meilleure façon de proposer des modifications pour qu'elles soient validées par les ``committers'' est d'utiliser la commande send-pr(1). S'il semble y avoir un problème dans ce système, vous pouvez aussi les joindre en envoyant un courrier électronique à liste de diffusion pour les committers de FreeBSD. L'équipe de base de FreeBSD L'équipe de base de FreeBSD serait l'équivalent du comité de direction si le Projet FreeBSD était une entreprise. La responsabilité principale de l'équipe de base est de s'assurer que le projet, dans son ensemble, fonctionne correctement et va dans la bonne direction. Proposer à des développeurs impliqués et responsables de rejoindre notre groupe de personnes autorisées est une des fonctions de l'équipe de base, ainsi que le recrutement de nouveaux membres de l'équipe de base quand d'autres s'en vont. L'actuelle équipe de base a été élu à partir d'un ensemble de ``committers'' candidats en Juillet 2004. Des élections ont lieu tous les 2 ans. Certains membres de l'équipe de base ont aussi leur propre domaine de responsabilité, ce qui signifie qu'il leur est dévolu de veiller à ce qu'une partie significative du système satisfasse aux fonctionnalités annoncées. Pour une liste complète des développeurs FreeBSD et de leurs domaines de responsabilité, veuillez consulter la liste des participants au projet. Note : La plupart des membres de l'équipe de base sont volontaires en ce qui concerne le développement de FreeBSD et ne retirent aucun profit financier du projet, donc ``implication'' ne doit pas être compris ``support garanti''. La comparaison précédente avec un comité directeur n'est pas tout à fait exacte, et il serait plus juste de dire que ce sont des gens qui ont sacrifié leur vie à FreeBSD contre toute raison! Contributions extérieures Enfin, mais certainement pas des moindres, le groupe le plus important de développeurs est constitué par les utilisateurs eux-mêmes qui nous fournissent de façon quasi régulière leur retour d'expérience et leurs corrections de bogues. Le principal moyen d'entrer en contact avec le développement plus décentralisé de FreeBSD est de s'inscrire sur la liste de diffusion pour les discussions techniques sur FreeBSD où ces questions sont abordées. Voyez Annexe C pour plus d'informations concernant les diverses listes de discussion FreeBSD. La liste de ceux qui ont contribué au projet est longue et en augmentation, pourquoi donc ne pas vous y joindre et contribuer à quelque chose en retour dès aujourd'hui? Fournir du code n'est pas la seule manière de contribuer au projet; pour avoir une liste plus complète de ce qu'il y a à faire, voyez s'il vous plaît le site du projet FreeBSD. En résumé, notre modèle de développement est organisé comme un ensemble relaché de cercles concentriques. Ce modèle centralisé est en place pour la commodité des utilisateurs de FreeBSD, qui disposent ainsi d'un moyen facile de suivre l'évolution d'une base de code centrale, et non pour tenir à l'écart d'éventuels participants! Nous souhaitons fournir un système d'exploitation stable avec un nombre conséquent de programmes d'application cohérents que les utilisateurs puissent facilement installer et employer -- c'est un modèle qui fonctionne très bien pour cela. Tout ce que nous attendons de ceux qui se joindraient à nous pour développer FreeBSD est un peu de la même implication que les développeurs actuels ont vis-à-vis de sa réussite continue! 1.3.4. A propos de cette version FreeBSD est une version librement disponible et incluant tout le code source basé sur 4.4BSD-Lite2 pour les ordinateurs à architectures Intel i386?, i486?, Pentium®, Pentium Pro, Celeron®, Pentium II, Pentium III, Pentium 4 (ou compatible), Xeon?, DEC Alpha? et systèmes basés sur UltraSPARC de Sun. Il est basé essentiellement sur du logiciel du groupe CSRG de l'Université de Californie à Berkeley, avec des additions venant de NetBSD, OpenBSD, 386BSD, et de la ``Free Software Foundation''. Depuis la publication de FreeBSD 2.0 en Janvier 95, les performances, fonctionnalités et la stabilité de FreeBSD ont été améliorées de façon spectaculaire. La plus grosse modification est un gestionnaire de mémoire virtuelle totalement revu qui comprend un cache commun au disque et à la mémoire virtuelle, qui n'améliore pas seulement les performances, mais diminue aussi l'occupation de la mémoire, de telle sorte qu'une configuration avec 5 MO devienne un minimum acceptable. D'autres ajouts concernent le support intégral des clients et serveurs NIS, le support des transactions TCP, les connexions PPP à la demande, le support intégré DHCP, un sous-système SCSI amélioré, support ISDN, support pour l'ATM, FDDI, les cartes ``Fast et Gigabit Ethernet'' (1000 Mbit), un meilleur support des derniers contrôleurs Adaptec et des milliers de corrections de bogues. En plus du système lui-même, FreeBSD offre un nouveau catalogue de logiciels portés (``ports'') qui inclut des milliers de programmes habituellement demandés. A l'heure où sont écrites ces lignes il y avait plus de 11,800 logiciels portés! La liste va des serveurs HTTP (WWW) aux jeux, langages, éditeurs et presque tout ce qui existe entre. Le catalogue complet des logiciels demande près de 300 MB d'espace disque, les portages se présentant sous forme de ``delta'' avec les sources d'origine. Cela rend leur mise à jour bien plus facile, et diminue de façon sensible l'espace nécessaire par rapport à l'ancien catalogue 1.0. Pour compiler un logiciel porté, il vous suffit d'aller dans le répertoire du programme que vous désirez installer, de taper make install, et de laisser le système faire le reste. La distribution originale complète de chaque logiciel est chargée dynamiquement depuis le CDROM ou un site ftp proche, il vous suffit de disposer de suffisamment d'espace disque pour compiler le logiciel que vous voulez. Presque tous les logiciels sont aussi fournis sous forme pré-compilée (``package''--paquetage) qui peut être installé avec une seule commande (pkg_add), si vous ne voulez pas les compiler à partir des sources. Plus d'information sur les paquetages et les logiciels portés peut être trouvée dans le Chapitre 4. Il y a un certain nombre d'autres documents qui vous serons peut-être très utiles à l'installation et à l'utilisation de FreeBSD, que vous pouvez maintenant trouver dans le répertoire /usr/share/doc de n'importe quelle machine sous une version récente de FreeBSD. Vous pouvez consulter les manuels localement disponibles avec n'importe quel navigateur HTML aux URLs suivantes: Le Manuel FreeBSD /usr/share/doc/handbook/index.html La FAQ de FreeBSD /usr/share/doc/faq/index.html Vous pouvez aussi consulter les exemplaires originaux (et les plus souvent mis à jour) sur http://www.FreeBSD.org. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Populous G. Posté(e) le 7 février 2005 Partager Posté(e) le 7 février 2005 Alors... Les gens réunis autour du curé de Versailles du mercredi 4 juin 1902 (car le 4 juin 1902 était un mercredi...) ne se doutaient pas que la petite folie de leur curé allait perturber le monde. En effet, M. René Sanyes fut atteint dès l'âge des ses 32 ans d'une maladie rare qui lui donnait une érection durant toute la journée du dimanche, il ne pouvait donc pas faire la messe comme les autres curés. D'ailleurs il reste un témoignage d'une de ses croyantes qui reste gravé dans un marbre posé sur un mur de l'église, comme si ceci était un miracle : "Monsieur le curé allait donner le sermont au moment où nous vîmes une sorte de poussée sous son chandail. Cet objet monta et faisait bien au moins quarante centimètres et nous nous demandions ce qu'il se passait, nous voyions même ses genoux. Monsieur le curé s'éclipsa dans le confessionnal sous le rire de l'assemblée, nous pensons qu'il s'agit d'un miracle qui veut que monsieur le curé fasse la messe un autre jour que le dimanche." Ainsi donc, le curé fit sa messe ce mercredi 4 juin 1902, mais sentit tout à coup monter en lui la sève du pêché, l'eau bénite du profane, et son sexe commença à grandir et monter son chandail. Il tenta tant bien que mal à se cacher derrière l'autel, mais un petit croyant dit tout haut : "Dis maman, pourquoi le zizi du curé il est si grand ?" ce qui fit pousser un cri à sa mère et la fis s'évanouir. Le curé marcha tant bien que mal vers la mère mais son sexe le gênait manifestement. Il alla trouver le médecin qui lui dit que son état s'empirait et que bientôt son sexe serait en érection tous les jours de la semaine, pendant une douzaine d'heures. Désespéré, le curé demanda au médecin un remède, mais il n'en existait guère à par le coït, et monsieur le curé ne pouvait se résoudre à enfreindre son voeu de chasteté, de plus son sexe était bien trop imposant et risquait d'effrayer. Le médecin lui promit de réflechir à une solution, demandant au curé d'être un peu patient. Monsieur le curé pria au mieux qu'il le pouvait le seigneur, ne pouvant même pas se mettre à genoux. Les jours passaient et le médecin ne pouvait toujours pas lui donner de remède, jusqu'au jour où il lu un article qui narrait l'exploration du sud-est asiatique par un célèbre médecin qui décrivait certains symptômes insolites de ses habitants, et le brave docteur y reconnu celui de son patient : l'érection incontrôlable est spectaculaire. Se renseignant, il découvrit qu'il fallait que le patient subisse une fellation durant deux heures par jour pour réduire l'erection. Mais le docteur ne pouvait conseiller au curé de se faire pratiquer un tel exercice, mais eut une nouvelle fois la bonne surprise de découvrir que nombre de malades asiatiques célibataires utilisaient des animaux à leur disposition pour cette délicate tâche. Au début, ceux-ci essayaient de se soigner par le biais de thons, mais leur taille conséquente ne correspondait pas à la taille ridicule de leur pénis. Ils eurent l'idée ensuite d'utiliser des poulpes, denrée très réputée dans leur pays grâce à sa capacité de sussion exceptionnelle, mais également sa forme élastique lui permettant de s'adapter à toutes les tailles. Le docteur s'empressa donc de dénicher un poulpe, rares à cette époque en France, et convaincu le curé de l'essayer. Celui-ci se rendit compte que l'animal calmait de manière radicale sa rigueur phalique et demanda au docteur de lui en fournir plus, le sien étant mort de fatigue au bout de quelques heures seulement. Le docteur ne savait que faire, le marché français ne regorgeant pas de poulpes. Mais fort heureusement, celui-ci avait comme ami proche Monsieur Pichon, banquier, qu'il avait sauvé d'un anévrisme fort violent et qui lui était ainsi redevable. Le banquier fonda une société d'importation de poulpes asiatiques, et les français par le bouche à oreille découvrirent cet aliment qui fut rapidement plébiscité. Cette lubie se développa dans toute l'Europe, tant et si bien que les poulpes mâles vinrent à manquer. En effet, les mâles étaient les seuls à être pris, étant environ quatre fois plus gros que les femelles qui passaient hors des filets. Ainsi, il fut estimé en 1923 qu'il substistait un poulpe mâle pour cent-cinquante poulpes femelles. Les femelles vinrent, pour perpetuer l'espèce, à s'accoupler avec les pieuvres mâles bien plus conséquentes qu'elles, et leur vagin, par la loi de Darwin, vint à s'adapter au fil des générations à cette situation, et passa de deux millimètres à environ huit centimètres de diamètre, alors que leur taille demeura inchangée. C'est ainsi que de nos jours, les poulpes femelles traînent derrière elles un organe vaginal plusieurs fois plus grand qu'elles pour pouvoir se reproduire, troublant ainsi la sexualité des pouples mâles qui doivent maintenant se masturber sur le corail, causant des dégâts importants, mais ceci est une autre histoire... Alors ? régulièrement sinon personne ne va lire tellement ça poste vite. C'est une réponse à Phibee qui voulait un lien entre une messe du 4 juin 1902 et la reproduction des poulpes. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Big Dragon Posté(e) le 7 février 2005 Partager Posté(e) le 7 février 2005 Tu sais pas lire, c'est tout. DM Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
FredB Posté(e) le 7 février 2005 Partager Posté(e) le 7 février 2005 DM Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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