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Mandrake Linux


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Voila, c'est un document que j'ai réalisé avec l'aide de certains sites tels que lea ainsi que des amis (si vous reconnaissez des copier collé de certains sites, je metrais la source mais j'ai fait ce fichier il y a quelques mois). Sachez que je suis un debutant dans Linux et son monde mais j'essaye d'aporter mon faible savoit :mdr::D

il manque encore quelques points mais si vous pouvez m'aider a remplir, vous etes le bienvenu sur ce a+.

1 Introduction

2 Installer une station Linux Mandrake

2.1 Pour commencer

2.2 Partitionnement

2.3 Paquetage

2.4 Root

2.5 Résumé

2.6 Fin de l’installation

2.7 Problèmes graphiques

3 Linux loader

4 L’organisation des fichiers sous linux

5 Montage, démontage et création de partition

5.1 Création de partition

5.2 Montage manuel

5.2.1 Mount

5.2.2 Unmount

5.3 Comment monter automatiquement une partition

6 Configurer les droits d’accès sur une station Linux

6.1 Utilisateurs – outils et commandes

6.1.1 useradd

6.1.2 passwd

6.1.3 userdel

6.2 Groupes – outils et commandes

6.3 Accès aux ressources

6.4 Les permissions et attributs de fichiers

7 Gérer les performances et processus sur Linux

7.1 Performances

7.2 Processus

7.3 Taches périodiques

8 L’impression et les paquetages sur une station Linux

8.1 Paquetage

8.2 Impression

9 Expliquer et dépanner le système d’amorçage Linux

9.1 Système d’amorçage

9.2 Inittab

10 Configurer l’adressage TCT/IP

10.1 Configurer l’adressage TCP/IP

10.2 Résolution de nom

10.3 Dépannage TCT/IP

10.4 Configuration de DNS

11 Sauvegarder les données sous Linux

12 Partage de fichier Windows

13 Samba

14 Connexion a un hôte distant

14.1 Connexion a un hôte distant

14.2 FTP

14.3 HTTP

15. Drivers ATI

1 Introduction

Dans ce module nous allons apprendre à utiliser Linux et à le configurer via des commandes. Il est aussi important de savoir que Linux est sensible à la case (case sensitive en anglais) c'est-à-dire qu’il distingue les majuscules des minuscules, par exemple : lancer l’application kwrite, si vous tapez KWRITE, il ne se lancera pas.

2 Installer une station Linux Mandrake

2.1 Pour commencer

En insérant le 1er cd de Linux mandrake, vous arriverez sous le panneau d’installation. Vous pouvez choisir entre une installation texte, graphique etc.

Ensuite il vous demandera quelques formalité tel que : accepter la charte, choisir la langue et choisir le niveau de sécurité.

le niveau de sécurité "normal" est, a mon avis, le plus adapté pour une utilisation normale de mandrake.

2.2 Partitionnement

Linux s’installe sur une partition. Il faut donc l’installer sur 1 partition de base et créer 1 partition swap.

choisisez l'option pour faire vous même les partitions.

MandrakeLinux s'installera sur le point de montage / en ext2 ou 3, c'est a vous de décider. Personelement j'utilise ext3 pour / et /home. la partition / devrait faire entre 5 et 8go ce qui est amplement suffisant pour une utilisation normales. la partiton /home est en fait votre dossier personel avec tous les utilisateurs et leur configurations de différents programmes. Elle devrait faire quelques GO, ceci dépend de vos habitutes, si vous téléchargez beaucoup... Vous pourez aussi tout mettre sur / ce qui peut etre conseilé pour des débutants.

voir le point 4 pour connaitre la dénomination des disques durs et partitions.

2.3 Paquetage

Linux Mandrake étant complété par 2 autres CD, il existe un grand nombre de programmes qui peuvent être installé en même temps que linux.

Les packages à installer sont tous regroupé par classe. n'installer rien de la catégorie serveur si vous voulez simplement utiliser mandrake pour jouer, surfer, faire du traitement de texte.

kes interfaces graphiques que je conseils sont kde (resemble à windows) et il a plein de petits utilitaires qui sont reconaissable grâce au K qui se trouve devan.

2.4 Root & utilisateur

Le root est l’administrateur, c’est a lui de configurer linux mandrake.

choisissez un mot de pass dificile à déchifrer.

Un bon mot de pass doit être constitué de majuscules, minuscules et des chiffres.

Après ceci, vous devrez mettre votre nom, pseudo et choisir un mot de pass.

2.5 Résumé

Dans le résumé, il est affiché tout ce que nous avons installé et tout les périphériques etc.

prennez le temps de vérifier le résumé.

2.6 Fin de l’installation

Retirez le CD

Redémarrer le pc

2.7 Problèmes graphiques

Si le mode graphique ne marche pas :

Depuis une ligne de commande, il faut taper XFdrake pour pouvoir changer les paramètres graphiques puis redémarrer la machine.

3 Linux loader

Lilo est un chargeur de systèmes d’exploitation spécialement conçu pour démarrer Linux, il est aussi capable de démarrer presque tout type de système d’exploitation.

Quand on démarre un PC, le BIOS prend en charge le périphériques et détecte celui qui est autorisé a booter sur un système d’exploitation (en général le disque dur ou une clef usb) ensuite c’est le Master Boot Record (MBR) –le secteur de boot maître- c’est le 1er secteur du disque qui fait 512octets de long. Ensuite le MBR lance un loader de système d’exploitation, dans notre cas : Linux loader qui va enfin charger et lancer les systèmes qu’il détecte.

Si, vous posédez 2 systemes d'exploitation différents sur votre PC (Mandrake et windows) et que votre ordinateur boot automatiquement sur linux ou windows alors que vous souhaitez le contraire ou alors si vous voulez simplement baisser le temps de choix entre les systemes.

pour commencer: ouvrez une konsole

logguez vous en root (su puis mot de passe)

tappez: vi /etc/lilo.conf

vous avez un exemple d'un lilo.conf ci-dessous

pour sortir de vi, tappez : puis wq pour Write et Quit

une fois que tout ceci est fini, tappez la commande lilo dans la console et lilo ira chercher les parametres que vous venez de mettre dans lilo.conf et les appliquera.

vous avez ici mon lilo.conf (simplifié au maximum, uniquement Linux, Windows (le default)) Pour savoir comment fonctionne le systeme de fichier (C: sous windows / sous linux), voir le point 4.

# File generated by DrakX/drakboot

# WARNING: do not forget to run lilo after modifying this file

boot=/dev/hda

map=/boot/map

default="linux" ici mettez le label de l'OS que vous souhaitez mettre en démarage par défaux

keytable=/boot/fr_CH-latin1.klt

prompt

nowarn

timeout=50 ici mettez le temps que vous souhaitez attendre pour que lilo lance l'OS par défaux

message=/boot/message

menu-scheme=wb:bw:wb:bw

image=/boot/vmlinuz

label="linux"

root=/dev/hdb1

initrd=/boot/initrd.img

append="devfs=mount acpi=ht splash=silent"

vga=788

read-only

other=/dev/hda1

label="windows"

table=/dev/hda

other=/dev/fd0

4 L’organisation des fichiers sous linux

Linux gère ses fichiers différemment que Windows. Windows fonctionne avec des partitions nommée C :, D : etc. alors que Linux a une arborescence différente de celle de windows. Tout les fichiers partent de la racine / et toutes les autres partitions sont montée dans un dossier.

Un disque sous Linux sera nommé hda2 ce qui veut dire : a pour le 1er disque physique et 2 pour la 2eme partition, le disque est en IDE. Un disque nommé hdb3. Il s’agirait donc du 2eme disque physique et de la 3eme partition sur le disque.

5 Montage, démontage et création de partition

L’idée de montage et de démontage est très importante dans Linux. Bien que sous Windows le fonctionnement soit identique, il se fait de manière transparente.

5.1 Création de partition

mkfs C’est la commande qui permet de créer une partition.

mkfs –t « type de fichier » « Chemin pour le montage du système de fichier » « taille »

Exemple :

mkfs -t ext3 /dev/hdc5 1000

5.2 Montage manuel

Permet de rendre accessible des données se trouvant sur une partition, un cd ou un lecteur de disquette.

5.2.1 Mount

mount « fichier qu’on veut monter » « ou veut le monter »

Exemple :

mount /dev/fd0 /mnt/floppy

5.2.2 Unmount

Permet de rompre les liens avec le système de fichiers

unmount « fichier qu’on veut demonter »

Exemple :

unmount /mnt/floppy

5.2.3 Autres commandes

df indique l’espace libre

du indique l’espace occupé

5.3 Comment monter automatiquement une partition

Le fichier /etc/fstab est lu à chaque fois que nous utilisons la commande mount et aussi au démarrage. Le nom fstab signifie : File System Tab (tableau des systèmes de fichiers. /etc/fstab indique à mount quelles partitions il faut monter automatiquement et quelles sont les partitions que les utilisateurs peuvent monter eux-mêmes.

La syntaxe de /etc/fstab :

Les commentaires commencent par le caractère #

# Ceci serait un commentaire dans /etc/fstab

Les lignes ayant une signification pour la configuration ont une syntaxe qui est figée. Chaque ligne doit contenir 6chanps au maximum et 4 au minimum chaque champs étant séparés par un espace ou une tabulation.

Les 6 champs sont les suivants :

• Périphérique

le premier champ de chaque ligne de fstab doit contenir un nom de fichier, en général il s’agit d’un fichier périphérique, autrement dis un fichier de /dev/. Exemple : /dev/hda3

• Point de montage

Le second champ sert à indiquer a mount à quel endroit le périphérique doit apparaître dans l’arborescence de notre système. Par exemple : /mnt/disque, ce qui nous servira à accéder au périphérique.

• Système de fichier

Ce champ indique a mount quel est le type de système de fichier contenu sur le périphérique (ext2, fat32…).

• Options

Il indique a mount quels sont les droits du fichier contenu sur un système vfat, si un utilisateur peut monter ce périphérique etc.

• Sauvegarde

Si il n’est pas nul, ce champ indiquera a l’utilitaire dump qu’il peut sauvegarder ce système de fichier.

• Réparation et test

Ce champ indique à fsck qu’il fait tester ce périphérique de temps en temps avant de le monter. Plus la valeur de ce paramètre est élevée, plus le test se fera tard. Par exemple, celui qui à une valeur de 1 se fera tester en 1er...

Voici un exemple.

/dev/hda3/ /mnt/disque/ fat defaults 1 1

6 Configurer les droits d’accès sur une station Linux

6.1 Utilisateurs – outils et commandes

L’outil UserDrake (graphique) dans DrakConf permet de gérer les utilisateurs et les groupes.

Les commandes sont divisé en trois outils permettant de gérer les utilisateurs.

6.1.1 useradd

-c « le commentaire »

-d « le répertoire de connexion »

-e « la date d’expiration du compte »

-f « nombre de jours au bout duquel »

-g « Le groupe initial, par défaut, Jean pour l’utilisateur Jean »

-G « Les groupes supplémentaires »

6.1.2 passwd

passwd « nom de l’utilisateur » pour ajouter un nouveau mot de passe.

-d pour supprimer le mot de passe d’un utilisateur

-l « nom de l’utilisateurs » pour verrouiller le compte d’un utilisateur.

-u « nom de l’utilisateur » pour déverrouiller le compte d’un utilisateur

6.1.3 userdel

Userdel John Efface l’utilisateur John

6.2 Groupes – outils et commandes

Les commandes pour gérer des groupes d’utilisateurs

Groupadd grp création du groupe grp

Groupmod … grp Pour faire des modifications au groupe grp

Groupdel grp Efface le groupe grp

Pour ajouter un utilisateur à un groupe, on utilise la commande usermod –G suivi par le nom du futur groupe de l’utilisateur. Ex : usermod –G [groupe] [nom d’utilisateur]

6.3 Accès aux ressources

Linux utilise l’ALP pour définir les permissions et restrictions sur une ressource (Account Localgroup Permissions).

Le compte utilisateur fait partie d’un groupe et c’est ce même groupe qui a des permissions.

6.4 Les permissions et attributs de fichiers

L’attribut est un nombre composé de trois chiffres. Le 1er chiffre est celui du propriétaire du fichier, le 2eme est celui du groupe et le 3eme est celui pour le public (ceux qui ne sont pas propriétaire)

Dans les choix, nous pouvons choisir entre : lecture, écriture et exécution. L’attribut de lecture vaut 1, celui d’écriture vaut 2 et celui d’exécution vaut 4. Sans droit, il vaut 0.

7 Gérer les performances et processus sur Linux

7.1 Commandes processus

ps aux liste des processus

kill -9 Tue un processus

7.2 Taches périodiques

Les tâches périodiques sont gérées depuis le fichier corntab.

L’utilisateur veut faire 1 crontab, le crontab va regarder dans .allow et .deny si il y est autorisé

/etc/cron.allow

C’est le fichier qui désigne tous les utilisateurs qui peuvent utiliser crontab

/etc/cron.deny

C’est le fichier qui désigne ceux qui ne peuvent pas utiliser crontab

8 L’impression et les paquetages sur une station Linux

8.1 Paquetage

pour installer un paquetage utilisez la commande urpmi install ou alors l'outil graphique qui se trouve dans mcc (pour le lancer cliquez sur l'icone ou alors loguez vous en root puis tappez mcc)

8.2 Impression

9 Expliquer et dépanner le système d’amorçage Linux[/color]</span>

9.1 Système d’amorçage

9.2 Inittab

10 Configurer l’adressage TCT/IP

10.1 De quoi a-t-on besoin pour établir une connexion TCP/IP dans un OS ?

Il faut une carte réseau connecter électriquement

Il faut le protocole TCP/IP (le langage)

Il faut les services réseaux è sert à utiliser le réseau et établir des connexions.

Il faut ensuite configurer l’IP, la passerelle par défaut, le masque sous réseau. Les outils qui permettent de configurer une connexion TCP/IP sont LinuxConf, drakconf, ifconfig.

10.2 Mappage de nom

Dynamique : se fait avec un serveur DNS

Statique : fichier /etc/hosts

10.3 Commandes de dépannage d’une connexion TCP/IP

ifconfig : donne les informations sur la configuration TCP/IP actuelle

ping : ping une adresse ip pour tester sa connexion

hostname : voir ou changer le nom de la machine. Pour changer le nom de la machine : hostname <nouveau_nom>.

10.4 Les commandes remote

rcp : copier un fichier distant

rsh : exécuter une commande à distance

rlogin : connexion à distance

(rwho : liste des utilisateurs connectés au réseau. )

Ces 3 commandes ne sont pas cryptées. Les 3 suivantes font la même chose, en crypté.

scp

ssh

slogin

10.5 inetd , tcpwrapper, xinetd

Ces 3 services permettent de protéger un service en fonction du port, de l’ip, du nom d’hôte, d’un utilisateur

10.6 NIS, NFS, HTTP, FTP, SSH

10.6.1 NIS

Nis permet de gérer les comptes et groupes utilisateurs à partir d’un seul poste.

Le serveur NIS s’appelle « serveur NIS ».

10.6.2 NFS

NFS permet de partager des fichiers à distance. Le serveur NFS s’appelle « serveur NFS »

10.6.3 HTTP

Http permet de consulter des pages web. Le serveur HTTP s’appelle « apache »

10.6.4 FTP

FTP sert à transférer des “gros” fichiers. Le serveur FTP s’appelle « proftp »

10.6.5 SSH

SSH permet d’effectuer des commandes sur une machine distante (voire telnet sur windows)

11 Sauvegarder les données sous Linux

12 Partage de fichier Windows

13 Quotas

L'attribution de quotas dans un système de fichiers est un outil qui permet de maîtriser l'utilisation de l'espace disque. Les quotas consistent à fixer une limite d'espace pour un utilisateur ou un groupe d'utilisateurs.

13.1 Les deux limites

Pour la création de ces quotas, on définit 2 types de limites :

• La limite douce (ou soft limit en bon français) : indique la quantité maximale d'espace qu'un utilisateur peut occuper sur le système de fichiers. Si cette limite est atteinte, l'utilisateur reçoit des messages d'avertissement quant au dépassement du quota qui lui a été attribué. Si son utilisation est combinée avec les délais (ou grace period), lorsque l'utilisateur continue à dépasser la soft limite après que se soit écoulé le délai de grâce, alors il se retrouve dans le même cas que dans l'atteinte d'une limite dure.

• La limite dure (ou hard limit) définie une limite absolue pour l'utilisation de l'espace. L'utilisateur ne peut pas dépasser cette limite. Passée cette limite, l'écriture sur ce système de fichiers lui est interdite.

De plus ces limites sont exprimées en blocs et en inodes. On a vu que le bloc étant une unité d'espace. Les quotas exprimés en nombre de blocs représentent donc une limite d'espace à ne pas dépasser. En ce qui concerne les quotas exprimés en nombre d'inodes, ils représentent le nombre maximum de fichiers et répertoires que l'utilisateur pourra créer.

Pour mémoire, les délais (ou grace period) fixent une période de temps avant que la limite douce ne se transforme en limite dure. Elle est fixée dans les unités suivantes : second, minute, hour, day, week.

Configuration de la gestion des quotas

Configuration de /etc/fstab

Les quotas ont activés au démarrage grâce à la commande /sbin/quotaon lancée par le script /etc/rc.d/rc.sysinit. Les quotas sont désactivés à l'arrêt du système par la commande quotaoff.

Pour fixer les quotas sur un système de fichiers, il faut mettre à jour le fichier /etc/fstab. On va pour cela ajouter les options de montage pour le ou les systèmes de fichiers concernés. Deux options peuvent être utilisées (et combinées bien sûr) :

• usrquota : active les quotas utilisateurs

• grpquota : active les quotas groupes

Exemple :

/dev/hdc1 /home ext3 defaults,usrquota 1 1

/dev/hdc2 /tmp ext3 defaults,usrquota 1 1

Création des structures nécessaires au fonctionnement des quotas

Un ou deux fichiers doivent être créés pour l'utilisation des quotas : aquota.user et aquota.group. C'est dans ces fichiers que l'on configurera les quotas attribués aux utilisateurs et/ou aux groupes. Ces fichiers doivent être créés à la racine des systèmes de fichiers qui comportent ces quotas.

Exemple :

root@localhost# touch /home/aquota.user

root@localhost# touch /tmp/aquota.group

Attention :ne pas oublier de modifier les droits sur ces fichiers ! Ils doivent comporter les droits en écriture et lecture pour root uniquement.

Exemple :

root@localhost# chmod 600 /home/aquota.user

root@localhost# chmod 600 /tmp/aquota.group

Remonter le ou les systèmes de fichiers concernés pour prendre en compte l'utilisation de quotas pour ce système de fichiers.

root@localhost# mount -o remount /home

root@localhost# mount -o remount /tmp

Après création de ces fichiers, il faut initialiser la base des quotas en exécutant la commande suivante :quotacheck -auvg. Dans le cas contraire, la sanction est immédiate :

edquota: Quota file not found or has wrong format.

No filesystems with quota detected.

Activer les quotas :

root@localhost# quotaon -a

Attribution et vérification des quotas

Fixer des quotas

L'attribution des quotas se fait grâce à la commande edquota, utilisable quelque soit le type de quota (utilisateur ou groupe). La commande ouvre vi pour modifier directement les fichiers aquota.user ou aquota.group.

Syntaxe : edquota [-u user] [-g group] [-t]

• -u user définit les quotas pour un ou plusieurs utilisateurs

• -g group définit les quotas pour un ou plusieurs groupes

• -t définit les délais

Exemple :

root@localhost# edquota -u citrouille

Disk quotas for user marcel (uid 500):

Filesystem blocks soft hard inodes soft hard

/dev/hdc1 0 9000 10000 0 90000 10000

Le fichier se compose de 6 colonnes :

• Filesystem : système de fichiers concerné par les quotas

• blocks : nombre de blocs occupés par l'utilisateur dans le système de fichiers. Ici aucun fichier n'a encore été créé.

• soft : limite soft en nombre de blocs. Ici elle est fixée à 9 000 blocs soit environ 9 Mo

• hard : limite hard en nombre de blocs (environ 10 Mo)

• inodes : nombre d'inodes occupées par l'utilisateur dans le système de fichiers

• soft : limite soft en nombre d'inodes

• hard : limite hard en nombre d'inodes

On procédera de la même façon pour l'attribution de quotas à un groupe. :transpi::D:roll::mdr:

15. installer les drivers ATI

pour commencer, il faut installer les sources de votre kernel.

pour connaitre la version de votre kernel tappez

" uname -r "

2.6.3-7mdk

ensuite, tappez

" urpmi install kernel-source-2.6.3 "

(ceci est diférent si vous avez une autre version :))

apres il faut télécharger le drivers sur le site d'ATI (www.ati.com) pour Xfree 4.3 dans mon cas.

et pour finir, il vous faut faire cette commande:

" rpm -Uvh --force --nodeps /home/alex/download/rpm/fglrx-4.3.0-3.11.1.i386.rpm "

ceci va vous installer en forcant et compiler les drivers tout seul.

pour finir, tappez " fglrxconfig "

puis choisisez tout par défaut sau pour la résolutions (il vous faudra taper 1 puis prendre votre résolution) et 2 pour continuer.

redémarez X ( Ctrl + alt + backspace)

voilà, vos drivers ATI seront installé correctement. fait un test " glxgears " dans la console et si vous avez un score de 2000 à 4000, c'est que votre drivers est bien installé.

----------------------------------------------------------------------------

liens utiles:

http://www.amd-hardware.com/Dossier%20Linux/install1.htm

liens anglais: http://www.mandrake.tips.4.free.fr/install100.html

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quelques confusions mandrake/linux (eh non, ce n'est pas pareil...)

Donc :

"2 Installer une station Linux" =>"2 Installer une station Linux Mandrake"

"6 Configurer les droits d’accès sur une station Linux" => "6 Configurer les droits d’accès sur une station Linux Mandrake"

"2.3 Paquetage

Linux étant complété par 2 autres CD, il existe un grand nombre de programmes qui peuvent être installé en même temps que linux."

=>

"2.3 Paquetage

Linux Mandrake étant complété par 2 autres CD, il existe un grand nombre de programmes qui peuvent être installé en même temps que linux."

...

voilà, sinon, il reste quelques imprécisions mineures, il manque des morceaux (ça, c'est pas grave à priori, mais attention encore à cette distinction Linux/Mandrake Linux)

Bon, aussi, y'a un truc que je trouve bizarre, c'est que ça parle à la fois du tout début (la casse, mount, etc...), et à la fin on arrive à la gestion des quotas...

j'aurais peronnellement plus insisté sur tous les outils mandrake...là, ça fait un peu topic "Mandrake/linux débutant/..." et non plus seulement mandrake (donc pas trop possible de l'épingler :transpi: )

sinon, c'est globalement pas mal :D

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g un 56k interne donc je pe pas me connecter sous linux......

pk ??? au pire, tu prends un externe, mais je pense que tu dois pouvoir trouver un driver... ;)

Concernant ce topic :

:transpi: mise en forme plus zoulie si possible ( cf tutos epingles )

:yes: apporter un soin a la redaction,ptet que c'est bien, je n'ai pas lu le topic, car pas assez mis en forme, ca fait lourd a digerer la...mais sinon, il faut que ca soit correct pour les newB qui le liront, surtout qu'il fera des emules ce topic !

:vomi1: concertation avec les autres volontaires pour un tuto epingle Mandrake ( green et Sarvok )

:mad2: si tou ca se fait bien, => epingle tuto officiel Mandrake.

Felicitations et :yes: pour l'initiative.... :bravo::linux:

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je voudrais egalement signaler que sous mandrake, il est possible d'acceder à une documentation tres complete en se rendant dans : file:/usr/share/doc/mandrake/fr/index.html

cetet doc traite de l'avant-installation, pendant l'installation, la post-installation, les lignes de commandes vitales, de totu ce qui peut etre utile à savoir pour un debutant, et ce en html ou pdf, dans une jolie présentation.

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Bon, qq precisions :

:francais: je n'ai pas trop le courage de lire le tutoriel Mandrake, j'avoue que ce n'est pas ma tasse de thé, et je n'ai pas trop le temps. Cela serait donc bien si qq Mandrakiens pouvaient confirmer que tout est correct.

:mdr2: Ca ne regarde que moi, mais le debut est un peu sobre, la table des matieres en couleurs permettrait une bonne demarquation, lightblue est generalement pas mal ( enfin, ca c'est tres perso ).

:mdr2: Il manque des screenshots d'outils de config Mdk, ca serait sympa et ca embellirait la présentation du topic.

Je pense qu'une fois ces qq modifs apportées, on pourrait l'épingler.

EDT : Apres un rapide lecture, ca demande qd meme qq screenshots d'outils graphiques, et aussi qq appronfondissements, car par moment ca fait plus doc linux général que tuto Mandrake.

Sarvok et Green, vous pouvez essayez de MP alex401, ou de voir si vous voulez creer un tuto plus riche a partir de ce tuto, qui est une excellente base.

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bon, comme je l'avais dis y a quelques temps, j'ai fait des snapshot de (presque :mdr2: ) toutes les fenetres du Mandrake Control Center.

avec un lien ici qui devrait vous afficher un zoli page generée automatiquement par un logiciel de :francais: parce que le serveur n'outorise pas le listage des dossiers...

avis donc à Alex401 ou n'importe qui d'autre pour mettre qq images aux bons endroits.

d'ailleurs, les images qui seront utilisées, je vais les laissées sur ce serveur pour au moins 6 mois/ 1 an, mais apres, je sais pas.

voilou c'était mon 250ieme post :mdr2:

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pour info j'ai commencé un article pour Mandrake, qui devrait paraitre sous forme d'article sur un site ouaibe assez connu ... (c'est vraiment le tout début, j'ai commencé hier, avec install et prise sauvage d'un 50 aine de screenshot)

ce sera certainemant très général est donc plus destinée à des gens qui ne connaissent pas du tout linux et qui croient que c'est un truc hper compliqué

quand j'aurais fini, je mettrais une copie ici

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