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Quel est le sens de la vie ?


Lassudrie

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Tu ne dois pas comprendre qui je suis réelement, et avec quelle ironnie déplacée je te fais tourner en bourrique. Je méprise les enseignants et encore plus ceux dans ton genre arrivé là où ils sont par hasard. Si j'ai pus, l'espace d'un instant te faire croire que j'apportais de l'importance à ta sombre personne, c'était pour mieux te piéger, OH arrogant petit homme, qui ose recentrer mes questions. Non, je ne suis pas un de ces lycéens abrutis qui voient leur fin et le sens de leur vie dans cet art. Je ne suis pas non plus le naif petit écolier impressioné des talents rhétoriques et persuasif de son maître.

  Et je m'esclaffe lorsque tu m'enjoint à ne point te prendre pour idole. Toi, le misérable, je te prendrai pour idole ? Celà serait froisser à mon ordre, et à mon rang. A l'avance je te préviens, ne m'adresse ni ne me rétorque plus jamais. Je n'ai rien à apprendre de toi. Et tu ne peux m'enseigner ce que je connais déjà. Ton arrogance sombre, c'est brisée sur les heureuses roches noires de mon massif. Honte à toi !

... J'aimerai vraiment te voir face à face... en vrai... et te :transpi:

Oui j'avais envie d'autre chose, mais je ne rentrerai pas dans ton jeu... PETIT vl*d :francais:

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et vlan ça fait toujours du bien

monsieur l'autorité, tu as en effet réussi à me tourner en bourrique - tu n'es pas le premier, et certainement pas le dernier non plus, rassure-toi. Peut-être m'imagines-tu dans une rage ou une honte sans pareille - tu ferais erreur.

c'est bien beau de faire de jolies phrases à un inconnu qui a visiblement un passé chargé sur le forum - et là boum, ça me pète à la gueule. En fait, je l'ai bien cherché.

Tu m'offres une fois de plus une image assez bien réussie de la finitude et de la médiocrité humaine. Attention - je sais très bien de quoi je parle, nous sommes (pour moi en tout cas) d'égal à égal.

Le plus saisissant dans cette image (outre le ridicule de vouloir "élever le débat" dans un topic où tu le rabaisses) est l'aspect "d'ignorance crasse" : je ne sais pas, et je crois savoir (cela te concerne aussi bien que moi).

Encore une fois, je n'ai ni tristesse ni complaisance à cet égard : je subis avec légèreté et atharaxie.

Deux choses :

je ne sais pas quelles sont tes pseudo-études, mais tu ferais bien de revoir tes classiques avant de t'attaquer à des choses qui te dépassent, que tu ne maitrise pas et qui te montent à la tête. Vas faire un tour du côté de Socrate, ça te feras le plus grand bien.

Et puis non, en fait ça serait peut-être déjà un peu trop évolué pour toi : remonte jusqu'à Homère. Particulièrement à ce passage de l'Odyssée où il parle des trois étapes croissantes de la relation : la connaissance, l'amour, et enfin le jugement.

edit : précision peut-être utile sur le sens de ce post - alors que tu m'as explicitement demandé de ne pas y répondre : ton mépris ne m'affecte pas - en fait, je n'y crois pas une seconde. On me dira surement que j'ai tort et que ton injonction était à prendre au pied de la lettre. C'est sûrement vrai, mais je n'y crois pas.

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Ton message peut être interprété différement...

Si tu me voyais en vrai face à un gars d'une telle arrogance en train de lui faire la leçon, tu m'embrasserais, tout satisfait de voir un tel esprit en vaincre un beaucoup plus médiocre.

En tout cas, c'est comme cela que je l'ai comprit.

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Tu ne dois pas comprendre qui je suis réelement, et avec quelle ironnie déplacée je te fais tourner en bourrique. Je méprise les enseignants et encore plus ceux dans ton genre arrivé là où ils sont par hasard. Si j'ai pus, l'espace d'un instant te faire croire que j'apportais de l'importance à ta sombre personne, c'était pour mieux te piéger, OH arrogant petit homme, qui ose recentrer mes questions. Non, je ne suis pas un de ces lycéens abrutis qui voient leur fin et le sens de leur vie dans cet art. Je ne suis pas non plus le naif petit écolier impressioné des talents rhétoriques et persuasif de son maître.

  Et je m'esclaffe lorsque tu m'enjoint à ne point te prendre pour idole. Toi, le misérable, je te prendrai pour idole ? Celà serait froisser à mon ordre, et à mon rang. A l'avance je te préviens, ne m'adresse ni ne me rétorque plus jamais. Je n'ai rien à apprendre de toi. Et tu ne peux m'enseigner ce que je connais déjà. Ton arrogance sombre, c'est brisée sur les heureuses roches noires de mon massif. Honte à toi !

Ce que tu dis sur un topic, applique-le aux autres topic :francais:

sinon ma foi...

on avisera :non:

pfffff :transpi:

les pseudos-études de Lassudrie? au moins une terminale ES http://membres.lycos.fr/alexmaux/menugen.htm

:D

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La grande question serait donc : Peut on connaître la justice et pourtant être injuste ?

Et a cette question je répond oui, sans hésitation. On peut lire tout les ouvrages classiques. J'en ai lut surement un peu plus que toi. Mais on peut les lires de deux façons.

La première est une lecture passive comme la tienne qui tend à apprendre un maximum des doctrines de l'auteur.

La seconde est une lecture active qui tend au contraire à démonter l'auteur. Or, lorsque je lis Platon ( et que j'écoute Socrate ), qu'y vois je ? Sophisme, sophisme et encore sophisme. Des raisonement étriqués et stupides. Je ne dis pas que tout y est dénué de sens.

Je dis seulement qu'il manque des maillons dans la chaine de la reflexion. Et qu'on ne peut appuyer aucunément un raisonement sur un mythe.

Je m'esclaffe en entendant Socrate prouver l'immortalité par le chant d'un cygne.

Et je me rend compte alors, que je ne vaut pas moins que lui.

Je sais, je sais. Vive Gorgias, Ménon et autres Alcibialdes ! On peut crier cela dans la rue à qui veut l'entendre. On peut citer autant de témoin que l'on veut, qui sont comme tout ces ouvrages philosophes et citations. N'empèche qu'ils n'amènent rien au raisonement. Les témoignages faux sont aussi légions. Les faux témoins, cela existe. Et Socrate est l'un d'eux. Je n'ai pas dit sur tout. Mais sur le point précis où tu me réfute, tout son art de la question ne suffirait pas à me faire changer d'avis. Et parfois même je phantasme et je rêve d'un jour pouvoir le rencontrer et subir son épreuve maieutique. Si il y a bien un esprit qui jamais n'accouchera, c'est bien le miens. En tout cas, c'est moi qui m'en chargerait moi même, et nul sage femme ne pourra m'en empécher, qu'elle soit Socrate ou Kant ou Descartes et tout les autres.

Ne crois pas que je tombe comme tout les philosophes en herbe dans le sceptissisme. Non. Je ne fais juste confiance qu'en moi mème pour élaborer ma pensée. Je connais les autres auteurs. Je les estimes pour certains de leurs raisonnements, mais je les réprimes pour tout les autres. Et à mon sens, Gorgias fut bien plus brave que Socrate. Tandis que Demosthène était l'un des plus grands.

Maintenant venons en à Homère. Je te croyais philosophe. Or tu n'es rien qu'ignorance. Le fait même de commencer par Socrate puis d'aller à Homère en dit long sur ton savoir. Il est vide. Ne sait tu donc pas que Socrate réprime Homère comme un imposteur ? Ne sait tu donc pas la haine de Platon pour les poêtes. Non, je sais bien que tu le sais, et que tu ne fais pas même attention à tes propres paroles.

Ainsi je lis tout d'abord Platon. Que me dit il ? Ne lis pas Homère. Alors je referme l'Illiade ou encore l'Odysées ? Pitoyable raisonement où le hasard de ta réplique insipide me mena.

Maintenant, je vais m'adoucir. Mon ami, et je dis cela avec un triste ton condéscendant et paternel. Ne crois pas que mon but ait été de te faire rougir de honte. Je ne vois ces tirades que comme des exercices consistant à parfaire ma rhétorique, qui n'est rien encore, je l'avoue, face aux pontes de la discipline. Quoi qu'il en soit, c'était de bonne guerre que de me répondre. Malgrès ta malheureuse idée de chercher à me combattre par une bibliographie incohérente et ridicule, ce fut fort bien joué. Car je vois cela comme un jeu. Et seul le fou pourrait prendre mes tirades, non pas à la légère, mais dans leur entière vérité.

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Meyaline se ramène ! Oula ! Voilà le septique de tout et le sur de rien suivi du métaphysicien absolu ! Tous aux abris ! Regardez avec quelle hardeur il va s'employer à démontrer le rien et réfuter le tout. Nous l'écoutons attentivement en quête de réponses qui ne viendront jamais. A la place, un flot de questions étonnantes se déversera. Souvenez vous ! Les pierres parlantes, c'était lui !

Quelles étonnantes non vérité sa philosophie étriquée va t'elle encore déverser ?

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Milo, ne te cache pas derrière ta médiocrité paresseuse. Réagi que diable. Offre nous le spectacle de tes meilleurs jours !

les heures de cybercafé coûtent trop cher pour que je perde mon temps avec quelqu'un qui a une vision si étriquée qu'on se demande si la lumière l'atteint (et il faut croire que non à la lecture de tes propos)

mais si le débat continue, je te promets d'y consacrer quelques paragraphes à mon retour chez moi :francais:

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A l'avance je te préviens, ne m'adresse ni ne me rétorque plus jamais. Je n'ai rien à apprendre de toi. Et tu ne peux m'enseigner ce que je connais déjà.

:francais: vas-y, continue de faire référence à ce que j'écris en feignant de ne pas le lire

j'aime bien te ridiculiser. Tu es mon nouveau jouet, je m'amuse, c'est rigolo !

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Pour en revenir au débat principal,

raisonant de facon "cartésienne" par défaut (oui c'est comme ca chez moi!, bien que faire de la philo ne me déplait pas, ca dépend de la facon)

notre vie n'a qu'un but: nous reproduire, car nous ne sommes pas éternels mais la vie doit continuer elle

notre prof de SVT nous avait parlé un moment de nos sensations et j'avais particulèrement apprécié la facon dont elle voyait les choses:

dans la vie, plus ce qu'on doit faire (sous entendre pour parvenir a ce but) est important, plus on y aura de plaisir

se repoduire, c'est #bon je vais pas rentrer dans les détails :francais: # le plus grand plaisir connu

autre chose importante, se nourrir pour survivre: si l'on avait aucun plaisir, voir du dégout a manger, on oublierait de manger et on ne vivrait pas longtps

enfin pour en revenir, on peut encore creuser le débat: si notre but est de nous reproduire, pourquoi? pourquoi la vie est elle apprarue et pourquoi doit elle continuer d'exister par nos reproductions incessantes?

perso, j'ai mon idée, toujours orientée scientifique en excluant le sens philosophique, depuis le début de l'univers, la matière n'a cessé d'évoluer, des quarks aux atomes, puis molécules puis cellules puis des étres complexes

nous sommes aujourd'hui (enfin sur Terre en tous cas et en partage avec les autres animaux) la quintessence de la complexité de la matière

ensuite, et de nombreux débats sont menés a ce niveau: a partir de quand et comment de simples particules sont devenues une entité "vivante"? quel phénomène a poussé la matière a évouler sans cesse de facon surprenante (il suffit de voir combien des fleurs et des abeilles pourtant 2 espèces si différentes se sont mutuelement adaptées en une symbiose presque parfaite!)

certains appellent ca Dieu, et chacun a sa vision des choses la dessus

bon, je sais que c'est peut etre hors débat si la question est purement philosophique à l'origine, mais je commence par voir ca comme ca quand on me pose cette question

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Tel Pipo, j'aimerai te rencontrer Vlad et ainsi mettre un visage sur l'allégorie de la connerie que tu es

non non je crois que Vlad est loin d'être con (je suis sérieux)

En fait, Vlad, tu t'amuses pas mal ! (en particulier j'aime bien le "d'un ton condescendant et paternel")

Combien d'années d'analyse va-t-il te falloir pour te défaire de tes démons ? (j'imagine déjà ton "je chie sur Freud" - je me marre !)

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Je ne fein pas de ne pas te lire !

Où trouve tu donc cette idée saugrenue ?

Pourquoi te réfuterais-je si je ne te lisais point ?

Voilà qui serait facheu et absurde. Mais voilà qui n'est point. C'est donc une tyrade insipide que tu t'offre à toi même et à ton public. Quand à être ton nouveau jouet...

Je ne sais pas. Existe t'il des jouet à froisser l'amour propre ?

Tu me dis jouet, car tu ne veux pas prendre cela au sérieux. Tu dédramatise. Tu ne veux pas admettre qu'au fond tu t'es engagé dans une bataille de mots qui te déborde.

Moi, je ne te prend pas pour un jouet. Au contraire, je sais que tu es un être humain. Je ne veux que ta ruine. Oui, je sais. J'obéie à mes sombres phantasmes. Je veux me payer un philosophe de café. Mais j'ai fais ce choix mien. Et je sens déjà venir l'orage de contradiction qui étofera ton argumentation. Puis tu finira par abandonner. Brisé, vaincu. Paraissant fier, alors que tu sera détruit. Mais nous savons tous que tu joue ici ta renomée. Ton honeur de philosophe.

Qu'ai je à perdre ? Rien, sinon un peu d'orgeuil et de gloire. Tu me vaincrais que tu n'éffleurerai même pas ma réputation déjà faite de boulet sans importance.

Mais imagine un peu que je l'emporte. Chose que jamais tu n'avoura aux autres. Mais que je saurai trouver moi, quand elle arrivera. Cela sera pour toi un jour de triste mémoire. Avoir été battu dans sa vocation et je ne dirais pas même métier, car tu l'as avoué toi même, tu es arrivé ici par hasard. Je t'aurai vaincu dans ta passion. Je dis passion pour bien te montrer que ton coeur jamais ne sera plus comme avant. Mais ce fut ton choix de t'offrir à moi comme victime. Toi qui le premier osa me contredire. Tu subira les effets de ton infortune.

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oulah sais-tu à quoi (et à qui surtout) tu t'exposes ?

(je fais référence au Dr. Hannibal Lecter - il est dangereux quand on ne le sait pas)

euh pourquoi c'est moi dans le quote?

c'est une erreur?

sinon j'ai pas très bien compris ta réponse dans ce cas! :transpi:

si c'est pour Vlad, je te pardonne :francais:

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