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Mariage&adoption par un couple homo


wazza59

Mariage et adoption homo  

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on va dériver, mais bon

rien que ça ?

les données bibliographiques, ça désigne en général des publications scientifiques... s'il s'agit de données relevant du secret médical, alors tu outrepasses les règles auxquelles tu as fait appel dans ce sujet en les tranférant par MP :mad2: mais je ne pense pas que ce soit le cas ;)

Bonsoir,

Non, des données bibliographiques ne désignent pas forcément des publications scientifiques.....tu peux faire une étude sur l'influence de Rimbaud sur les poètes de la première moitié du XX° et après l'abstract balancer 30 données bibliographiques littéraires....

très drôle :D mais tu as parfaitement saisi que le mot important est publication, et que littéraire ou scientifique, on a à faire à un travail de recherche...

En ce qui concerne le secret médical, étant donné que j'y fais référence à propos de publications étrangères, il n'est pas difficile de deviner que ce que j'ai transféré, si c'est du français,ne peut relever de ce secret (qui n'existe plus en France) et si c'est de l'anglo-saxon, le problème ne se pose même pas, car c'est un mot vide de sens outre-atlantique.

c'est effectivement ce que je supputais...

Or, dans publications, il y'a public, c'est à dire que le principe est de rendre publiques les conclusions de l'étude scientifique qui a été menée.

Dans service public, il y a aussi public, mais je n'ai pas l'impression que le public soit pris en considération

très drôle, t'as mangé un clown au dîner ? :D

Certes, rendre publique l'étude ne signifie pas "la mettre à portée du plus grand nombre" ou "la rendre compréhensible par le plus grand nombre" (au contraire bien souvent). Mais cela fait aussi partie des attributions de ceux qui sont capables d'appréhender ces études que de les transmettre au public...

Cela ne s'applique sûrement pas aux études médicales-l'Académie est là pour donnerl a version officielle ou un avis éclairé, mais les diverses études, travaux et rapports sont bien plus souvent diligentés par la tutelle gouvernementale que par les médecins eux-mêmes, qui ne publient que dans des cénacles bien choisis, en particulier sur les sujets "sensibles".

Il n'a jamais été dans leur vocation d'être prêchée au plus grand nombre, et c'est parfois fort heureux, car, pour citer un exemple concret, le cas du SIDA aurait été désastreux du point de vue épidémiologique (incidence et prévalence).

Les études sont une chose, la vulgarisation scientifique en est une autre.Personne n'a jamais prétendu que les mêmes intérêts étaient en jeu, ni qu'il s'agissait aux uns d'être polyvalents et de s'assurer des deux missions.

doit-on traduire, de manière ultra-caricaturale : "les médecins font progresser la science médicale, mais se fichent royalement de la transposition de leurs éventuelles découvertes à la société civile, charge aux instances de tutelles et autres gouvernement de se démerder avec les résultats et les mesures à prendre en terme de santé publique" ??

Qui, mieux que celui qui a le plus approfondi le problème pour trouver sa solution, peut ensuite expliquer sa portée au plus grand nombre qu'il est capable d'atteindre ?? (c'est-à-dire qu'effectivement la vulgarisation n'est pas chose aisée, et tous n'y excellent pas, mais c'est exercice auxquel tout chercheur - et les médecins qui publient sont des chercheurs - doit s'adonner....)

Certes, ce n'est pas parce qu'une étude est publique qu'elle est dépourvue d'impact et n'est pas potentiellement pyrogène. Mais elle le sera d'autant plus si ceux qui sont capables de l'appréhender ne font pas cet effort de vulgarisation dont je dis plus haut qu'il est une de leur missions...

Non, sûrement pas....pour venir aux études dont je parle, certaines, tombant dans de mauvaises mains-et tout ce qui est public, dans une ère de surmédiatisation, est destiné à l'être- pourrait prêter à confusion et permettre de stigmatiser une population donnée-les homosexuels en ce cas.Livrer de telles données tient de l'irresponsabilité totale, ou alors du besoin de flatter son ego avec des "vous voyez, je vous l'avais bien dit".

Livrer les données brutes, oui, cela peut être de l'irresponsabilité.

Livrer les données commentées en montrant leurs limites et les approximations des interprétations qui en sont faites (dans la mesure où quelque chose de pertinent peut effectivement être extrait des données en question, ce n'est pas toujours le cas :D) c'est déjà beaucoup moins irresponsable

Même si j'en conviens, quelqu'un pourra toujours prendre les données sans les commentaires pour les détourner... mais si les données sont publiées... je te cite

[...]tombant dans de mauvaises mains-et tout ce qui est public, dans une ère de surmédiatisation, est destiné à l'être
alors où est le problème puisque ce détournement est inéluctable (ce dont je veux bien, dans une certaine mesure, convenir :D) on peut tout à fait publier ces données, en faisant quand même l'effort de les commenter, pour les protéger d'un détournement trop immédiat et inciter les lecteurs à faire usage de leur esprit critique et à le développer...

Voyons, qu'est-ce que ça donne, une société basée sur le principe du "Oh, c'est dangereux, n'en parlons pas !" ??? Ou encore "Oh, c'est compliqué, 80% des lecteurs ne comprendront pas, n'en parlons pas !"... On va pouvoir faire un tri par Q.I. et ce sera bientôt le meilleur des mondes où chacun occupera la place qu'il doit occuper, pensera ce qu'il doit penser et fera ce qu'il doit faire sans jamais s'écarter d'un iota de cette magnifique ligne droite ! (je sais, je caricature, c'est plus fort que moi :D

Comme dit plus haut, je me moque totalement d'être cru.L'opinion des autres sur moi-même me désintéresse totalement:je ne vais pas me coucher plus menteur ce soir.Dans le cas qui nous concerne, la question est simple: les enfants adoptés en milieu homosexuel se développeront-ils de la même façon que les enfants des hétéros?

C'est la seule chose qui m'intéresse, le devenir des enfants....le reste, les arguments des activistes et autres batailles de basse-cour, franchement....j'en vois déjà plus qu'il n'en faut chaque jour pour que cela m'affecte.

Vois-tu, je trouve que poser comme ça le problème de l'adoption (homo hétéro ou ce qu'on veut), est vraiment la manière la plus pertinente d'aborder le problème... Mais tu développe ensuite tant ton argumentaire sur ton opinion concernant le sujet du topic, que cette approche, que tu revendiques de manière récurrente, je ne suis pas certain que la majorité des lecteurs la perçoivent.

Par ailleurs, si tu n'as pas le souci d'être cru par ceux à qui tu parle alors... autant parler tout seul !!!! Si, en t'adressant à autrui, tu n'espère pas qu'en débattant toutes les parties en présence auront l'opportunité de progresser sur le sujet, si tu ne t'attends pas à apprendre quoi que ce soit, et si tu ne penses pas transmettre le moindre message... pourquoi parles-tu ?

car enfin, on ne naît pas "ouvert" ou "fermé", mais l'environnement dans lequel on croît nous rend ainsi, et même si cela est difficile, on peut devenir ouvert après avoir été fermé (même si on fait souvent l'inverse ^^). Juger de qui est ouvert ou fermé, c'est refuser à ceux que l'on considére fermés la possiblité de s'ouvrir...

Nature neuroscience n'est pas si catégorique que toi.... :D

tiens donc l'ouverture, ça serait purement inné ? Je suis bien loin d'être un spécialiste des sciences de la cognition, mais quand même, je serais bigrement surpris ! pour le coup un référence publique serait sans risque !!

Quoique, remarque, Nature Neuroscience n'est peut-être pas aussi catégorique sur le "car" ou peut-être sur le "même" ? ou peut être sur la position d'une virgule dans ma phrase ? Mais sur quoi Nature Neurosciences n'est-il pas si catégorique ???

tu as les compétences nécessaires pour appréhender pleinement les études auxquelles tu fais référence, pour lesquelles, certes, tu peux envisager leur portée auprès de personne plus ou moins aptes à percevoir leur profondeur, mais alors à toi de rendre ces études appréhendables et compréhensibles pour le public auquel tu t'adresses, puisque tu as toutes les compétences nécessaire pour le faire, ce qui permettra d'éviter de fausses interprétations par le public en question d'une part, et de que ce dernier te percoive comme quelqu'un qui profère des "vérités" non-étayées... Si tu n'es pas prêt à faire cet effort, alors le silence me paraît un meilleur choix...

A toi de rendre? :zarb:

Depuis quand les soignants sont supposés faire office de vulgarisateurs?Je croyais qu'ils devaient d'abord s'occuper des patients, pas faire les fils de com...remarque, si, il y en a, le hic c'est que leurs confrères leur font la critique d'être plus sur les plateaux télés qu'avec un stétho...

Il y'a de multiples niveaux de vulgarisation, mais, même si j'ignore quel est ton rôle ou métier, imaginons que tu es chirurgien (ou cancerologue, ou psychiatre ou que sais-je...), le patient que tu viens de sortir d'une situation plutôt délicate, et qui te demande quelques explications, tu va l'envoyer chier en disant que c'est pas ton boulot d'expliquer ??? ça c'est déjà de la vulgarisation (voire, c'est peut-être la plus dure !!)

Alors entre expliquer éventuellement à des étudiants partiellement formés, à un patient complétement étranger à la médecine, etc etc, non, je pense que les médecins-chercheurs (je ne crois pas que tous les médecins publient ???) doivent faire de la vulgarisation, au quotidien parfois, et communiquer leur travail au plus grand nombre (qu'ils sont capables d'atteindre encore une fois)... et communiquer et vulgariser, ça ne se fait pas que par les médias, au contraire même j'aurais tendance à dire !!!

Quant au second point, je te l'ai dit: cela ne me dérange absolument pas que certaines personnes pensent que je sors des vérités non étayées....tout en sachant que les mêmes personnes sont incapables (et pour cause) de sortir le moindre contre-argument scientifiquement étayé qui ne soit incinéré dans la minute.

euh, si les arguments ne sont pas etayés, comment (et pourquoi ?) étayer les contres-arguments, et quels pouvoir balayant auront alors des contres-contres arguments pas plus étayés que les tout premiers ?

ah si je me rappelle : ça s'appelle la rhéthorique http://fr.wikipedia.org/wiki/Rh%C3%A9torique (argument étayé ^^)

Quant à se taire si on veut pas faire l'effort d'instruire le public ou de fournir des preuves, cela relève du prétoire, pas du cabinet d'auscultation....la moitié de la médecine est empirique à l'origine.Les preuves-vérifiables-elles, violeraient bien souvent le secret professionnel, en ce cas.

Hé là, encore une fois, si les preuves violent le secret professionnels, quels références as-tu transmis illégalement par MP ????

Il ne s'agit pas de prouver un diagnostic, merci, on le sait que la médecine est empirique, et tant mieux parce que les sciences qui se basent sur des modèles théoriques en démontrent quotidiennement la limite.

Il s'agit de se mettre à portée du public auquel on s'adresse (personne ne t'as forcé à poster je pense :D) et de l'inviter, après que ce public ait pris connaissance du point de vue développé, à prendre connaissance des faits sur lesquels se fonde ce point de vue, dans la mesure du possible, afin de développer le leur... (Doit y avoir un philosophe connu qui a beaucoup utilisé ce principe... ah ouais, peut-être Platon avec ses dialogues...)

(donc il vaut mieux t'abstenir de les citer, et adopter un discours moins affirmatif peut-être...), ni, à mon sens, en position de juger qui est assez ouvert pour prendre connaissance de ces études, et en les transmettant en MP, tu joues tout simplement avec le feu (car par ailleurs je ne doute pas que les études en question puissent être pyrogènes...)

A ton sens....mais juger et jauger les gens font partie des qualités de certains métiers.

comme quoi ? la télépsychiatrie ? la psychologie en ligne ? Certes cela fait partie des qualités requises pour certains métiers, mais, même si c'est vrai on peut en savoir beaucoup avec un simple "post", je te rappelle de toute façon que l'extrait que tu cites repose sur l'hypothèse que tu n'as pas les compétences requises pour analyser les données que tu cites. question à laquelle nous n'avons pas de réponse dans l'immédiat (mais pour laquelle aucune réponse ne saurait être exigée :D). Inutile d'épiloguer donc !

La question se pose en sens inverse: si des gens ne sont pas même capables de comprendre des termes simples, qu'on trouve dans le dictionnaire Larousse des 7-10 (j'ai vérifié... :ouioui: ), qui serait assez insconscient pour aller parler en direct d'études comparant, par exemple, le nombre d'hétérosexuels et d'homosexuels ayant agressé sexuellement des enfants?

Ce n'est pas toi qui a confondu les verbes croire et croître un peu plus tôt (dans ce topic ou un autre, peu importe)? Mais par tous les saints, comment puis-je encore t'adresser la parole ???

Un mot est un mot, qui ne prend véritablement un sens que dans un contexte. Dans ce à quoi tu fais référence, c'est le contexte du mot qui a été mal perçu... mais qu'est-ce que je disais déjà ? ah oui, se mettre à portée du public auquel on s'adresse (ou bien, si on ne fait pas cet effort, ne pas se plaindre ensuite !!!) Certes, c'est souvent lassant, car on réalise fréquemment que la clarté du discours est une chimère que l'on peut longuement pourchasser... Mais c'est le prix à payer lorsque l'on souhaite s'adresser à un public non-éclairé et éventuellement faire autorité avec son expérience acquise sur le sujet traité dans la discussion...

Je ne parle pas là d'études d'arrière-cour de lobby pro-gay ou de la Droite Chhrétienne anti-homo, mais de très grands noms (connus du public.... :francais: ) du métier?

Réagir ainsi en affirmant qu'il faut vulgariser-et donc simplifier, y compris à outrance, non merci.

Pour paraphraser Desproges, avec sa saillie sur l'humour, on peut parler de tout en médecine (comme en Histoire, d'ailleurs), mais pas avec n'importe qui.

Mais, tu as choisi de parler avec le public de ce topic !!!! Ce n'est donc pas n'importe qui, c'est un public que tu as choisi !!!! assumes ce choix !! Peu importe quel grand ponte en costume trois pièces a réalisé l'étude mentionnée...

En tout état de cause tu n'es certainement pas seul maître à pouvoir juger de la portée de ces documents auprès d'une personne ou d'une autre. Il y'a rarement un seul spécialiste, quel que soit le sujet d'études, si un spécialiste tu es...

Là encore, je crois que tu surestimes largement les capacités de réaction du citoyen lambda....un banal exemple:lors du début de l'affaire Outreau, je me souviens avoir soulevé un tollé en indiquant qu'il fallait se méfier des déclarations des enfants, qui pouvaient se greffer sur un discours d'adulte manipulateur.Il ne s'agissait même pas d'une étude en particulier, simplement de rappeler que les réactions émotionnelles sont souvent néfastes...

Ici, les données son tmille fois plus sujettes à précaution, et tu voudrais que ce qui a été fait pour Outreau le soit aussi?

Personnellement, cela relève de l'inconscience, à mes yeux.Cioran disait de manière préremptoire certes que "Celui qui dit toujours la vérité est un monstre".Il est tellement plus facile de souffler dans l'air du temps.

note que le mot en italique est "seul", et que mon propos n'est pas de dire que le public de ce topic est spécialisé dans le sujet traité. Je n'ai à aucun moment parlé ou suggére cela !, mais simplement que te proclamer le seul (quelque soit la suite de la phrase au fond) est un peu... tu m'auras compris... Mais c'est peut-être pour ça que tu t'adresse à ce public ? pour être "le seul" ???

P.S. : Tiens, j'utilise le terme "pyrogène" par simple construction étymologique en pensant que cela signifie, basiquement, "qui génére le feu" et je vois en cherchant à vérifier le sens et l'existence de ce mot qu'il s'agit d'un terme médical destiné à qualifier ce qui provoque la fièvre ^^ le terme reste approprié donc :)

La fièvre ou l'hyperthermie?biggrin.gif

la rhétorique ou la rhétorique ? :p

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Dans service public, il y a aussi public, mais je n'ai pas l'impression que le public soit pris en considération

j'ai bien l'impression que tu as confondus service et public, à te lire.

(je n'ai pas la même interprétation des récents évenements) :francais:

mais surtout, est-ce bien utile de faire ce genre de remarque dans ce topic ?

il n'y a pas déjà un topic dans blabla pour manifester son intérêt individuel ?

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très drôle :D mais tu as parfaitement saisi que le mot important est publication, et que littéraire ou scientifique, on a à faire à un travail de recherche

Bonjour,

Très drôle?

Mais ce n'est en aucun cas une boutade.....et on peut parfaitement réaliser un banal essai tout en fournissant des données bibliographiques.Tiens, à titre d'exemple, j'ai sous les yeux "Le Monde comme si", de Françoise Morvan, la fin du livre-un pamphlet-comporte aussi des données bibliographiques.

c'est effectivement ce que je supputais

Ah bon, à te lire j'avais pourtant l'impression que tu pensais que le secret médical existait encore en France

très drôle, t'as mangé un clown au dîner ?

Non, pas de clown....mais à faire de l'interprétation sauvage en étymologie, on risque de se voir contredire.

doit-on traduire, de manière ultra-caricaturale : "les médecins font progresser la science médicale, mais se fichent royalement de la transposition de leurs éventuelles découvertes à la société civile, charge aux instances de tutelles et autres gouvernement de se démerder avec les résultats et les mesures à prendre en terme de santé publique" ??

Oui...il suffit de voir par exemple le cas du pseudo-scandale datant de l'Engerix pour s'apercevoir qu'il y a un ....Hiatus, dirons nous pudiquement, entre ce qui a été dit, ce qui a été décrit, ce qui a été trouvé....

(

c'est-à-dire qu'effectivement la vulgarisation n'est pas chose aisée, et tous n'y excellent pas, mais c'est exercice auxquel tout chercheur - et les médecins qui publient sont des chercheurs - doit s'adonner....)

Je crois que tu transposes un peu trop facilement les habitudes universitaires au corps médical.....uen grande partie des découvertes médicales sont basées sur l'empirisme le plus absolu, lorsque ce n'est pas le coup de bol caractérisé, et, en recherche (médicale) fondamentale, les médecins sont une minorité.De nombreuses découvertes ont été le fait de praticiens, selon le fruit de leurs consultations et observations quotidiennes (on peut les appeler chercheurs si 'lon veut, vu qu'ils ont trouvé quelque chose, mais ils n'obéissent absolument pas au prototype de l'universitaire chercheur).

Ensuite, de grande découvertes médicales ne sont pas le fait de médecins (Pasteur, par exemple, n'a jamais été médecin contrairement à ce que pense le grand public, Ambroise Paré non plus)....

Livrer les données brutes, oui, cela peut être de l'irresponsabilité.

Non, c'est l'inverse: brutes elles ne peuvent pas être interprétées par le pékin moyen.

Livrer les données commentées en montrant leurs limites et les approximations des interprétations qui en sont faites (dans la mesure où quelque chose de pertinent peut effectivement être extrait des données en question, ce n'est pas toujours le cas :D) c'est déjà beaucoup moins irresponsable

Non plus....le public va toujours au plus simple, et cherchera à tirer une ou deux idées phares d'un rapport de 10 pages, pas plus.Le cas Nadaud, cité plus haut, est flagrant

on peut tout à fait publier ces données, en faisant quand même l'effort de les commenter, pour les protéger d'un détournement trop immédiat et inciter les lecteurs à faire usage de leur esprit critique et à le développer...

:mdr::mdr:

Voyons, qu'est-ce que ça donne, une société basée sur le principe du "Oh, c'est dangereux, n'en parlons pas !" ??? Ou encore "Oh, c'est compliqué, 80% des lecteurs ne comprendront pas, n'en parlons pas !"... On va pouvoir faire un tri par Q.I. et ce sera bientôt le meilleur des mondes où chacun occupera la place qu'il doit occuper, pensera ce qu'il doit penser et fera ce qu'il doit faire sans jamais s'écarter d'un iota de cette magnifique ligne droite ! (je sais, je caricature, c'est plus fort que moi

Tu ne sais pas que nous sommes déjà dans une société de moutons?

Différentes tendances s'affrontent pour la place dans la bergerie, mais ce n'est pas pour cela que les moutons sont libres.

Vois-tu, je trouve que poser comme ça le problème de l'adoption (homo hétéro ou ce qu'on veut), est vraiment la manière la plus pertinente d'aborder le problème... Mais tu développe ensuite tant ton argumentaire sur ton opinion concernant le sujet du topic, que cette approche, que tu revendiques de manière récurrente, je ne suis pas certain que la majorité des lecteurs la perçoivent

Je l'ai déjà dit: je me moque de ce que les lecteurs perçoivent de moi.

Par ailleurs, si tu n'as pas le souci d'être cru par ceux à qui tu parle alors... autant parler tout seul !!!! Si, en t'adressant à autrui, tu n'espère pas qu'en débattant toutes les parties en présence auront l'opportunité de progresser sur le sujet, si tu ne t'attends pas à apprendre quoi que ce soit, et si tu ne penses pas transmettre le moindre message... pourquoi parles-tu ?

L'important n'est pas d'être cru, c'est de dire ce qui est juste.C'est tout.

Après, que les gens progressent ou non, ce n'est pas de son ressort....on leur a dit ce qu'il y avait à savoir, libre à eux de gérer leur vie comme bon leur semble.

Seulement, après, il ne faudra pas venir battre sa coulpe en prétendant "je ne savais pas".

tiens donc l'ouverture, ça serait purement inné ? Je suis bien loin d'être un spécialiste des sciences de la cognition, mais quand même, je serais bigrement surpris ! pour le coup un référence publique serait sans risque !!

Eh oui, il semblerait que la biologie cérébrale oriente les choix politiques.

C'est une étude américaine, donc c'est forcément sérieux.....

Quoique, remarque, Nature Neuroscience n'est peut-être pas aussi catégorique sur le "car" ou peut-être sur le "même" ? ou peut être sur la position d'une virgule dans ma phrase ? Mais sur quoi Nature Neurosciences n'est-il pas si catégorique

Je n'en sais rien, car je n'ai lu que l'abstract.Parce qu'entre les travaux US qui ont découvert le gêne de la criminalité, qui ont prouvé que les gélules de fluoxétine sont bonnes pour les enfants et autres théories, mon attention est trop dispersée pour assimiler toutes ces découvertes sensationnelles.

Il y'a de multiples niveaux de vulgarisation, mais, même si j'ignore quel est ton rôle ou métier, imaginons que tu es chirurgien (ou cancerologue, ou psychiatre ou que sais-je...), le patient que tu viens de sortir d'une situation plutôt délicate, et qui te demande quelques explications, tu va l'envoyer chier en disant que c'est pas ton boulot d'expliquer ??? ça c'est déjà de la vulgarisation (voire, c'est peut-être la plus dure !!)

:mdr::mdr:

Je crois que tu ne connais pas le corps médical dans son entier, alors....en soi c'est heureux pour ta santé, mais si tu penses, du plus grand chef de service à l'aide-soignante anonyme, que le corps médical a à coeur d'expliquer et de vulgariser....

si les arguments ne sont pas etayés, comment (et pourquoi ?) étayer les contres-arguments, et quels pouvoir balayant auront alors des contres-contres arguments pas plus étayés que les tout premiers ?

Ta logique est biaisée:scribitur ad narrandum,non ad probandum.

ah si je me rappelle : ça s'appelle la rhéthorique

C'est possible, moi je suis resté bloqué au stade de la casuistique en médecine...

Hé là, encore une fois, si les preuves violent le secret professionnels, quels références as-tu transmis illégalement par MP ????

Si elles relèvent du prétoire,c 'est pour les effets de manche.....pas pour les entorses au Code Pénal.

Il s'agit de se mettre à portée du public auquel on s'adresse (personne ne t'as forcé à poster je pense :francais:) et de l'inviter, après que ce public ait pris connaissance du point de vue développé, à prendre connaissance des faits sur lesquels se fonde ce point de vue, dans la mesure du possible, afin de développer le leur... (Doit y avoir un philosophe connu qui a beaucoup utilisé ce principe... ah ouais, peut-être Platon avec ses dialogues

Et son maitre, Socrate, a utilisé un principe encore meilleur, la maieutique....

comme quoi ? la télépsychiatrie ? la psychologie en ligne ? Certes cela fait partie des qualités requises pour certains métiers, mais, même si c'est vrai on peut en savoir beaucoup avec un simple "post",

La télé-psychiatrie suppose déjà des pathologies chez ses interlocuteurs.Non pas qu'elle soit si ardue, toutefois (de tous les diagnostics médicaux, ceux de psychiatrie seraient le plus facile sur le Net), mais le fait qu'elle sous-entend avoir en face de soi des patients non plus potentiels mais réels est assez gênant.

Par contre, détrompe-toi :on peut analyser bien des choses à travers les posts.Beaucoup plus que ne le pensent des intervenants.Et je ne parle pas de psychiatrie-là, ni des connaissances afférentes.

Oscar Wilde affirmait "il n'y a que les gens superficiels qui ne jugent pas sur les apparences".

Ce n'est pas toi qui a confondu les verbes croire et croître un peu plus tôt (dans ce topic ou un autre, peu importe)?

C'est l'exemple même qui justifie de ne pas publier certaines choses: en faisant un simple jeu de mots accessible à tous (il suffit de lire le post) combien-dont toi, d'ailleurs-l'ont saisi? :D

Si rien que cela n'est pas compris par tous, comment espérer être crédible en demandant de tout publier, et que la lumière jaillira du débat?

(ou bien, si on ne fait pas cet effort, ne pas se plaindre ensuite !!!)

Les seuls que je vois se plaindre sont ceux qui ne font pas l'effort de saisir le sens des divers mots qui contredisent leurs convictions.

Certes, c'est souvent lassant, car on réalise fréquemment que la clarté du discours est une chimère que l'on peut longuement pourchasser... Mais c'est le prix à payer lorsque l'on souhaite s'adresser à un public non-éclairé et éventuellement faire autorité avec son expérience acquise sur le sujet traité dans la discussion

C'est le noeud du problème:"souhaiter faire autorité" et "public non averti". Souhaiter être quelqu'un dont l'avis est sollicité parmi les novices....vaste marque d'ego.

Tout le monde n'éprouve pas ce souhait indéfectible d'être cru, et de faire autorité.

Mais, tu as choisi de parler avec le public de ce topic !!!! Ce n'est donc pas n'importe qui, c'est un public que tu as choisi !!!! assumes ce choix !! Peu importe quel grand ponte en costume trois pièces a réalisé l'étude mentionnée...

Parler,oui.....mais je n'ai jamais prétendu vouloir susciter l'adhésion et, in fine, "prouver que tout est vrai".Il me serait si aisé de publier les références de travaux, ce qui permettrait d'arrêter net les allégations comme quoi je parle sans preuves.En plus, c'est l'histoire de deux clics...c'est très facile, et tellement rassérénant pour l'orgueil....clouer le bac de tout détracteur en quelques secondes.Sortir vainqueur, quoi.... :keskidit:

Mais je n'en ferai rien, cela ne m'intéresse absolument pas. :non:

tu m'auras compris... Mais c'est peut-être pour ça que tu t'adresse à ce public ? pour être "le seul"

Le seul à ne pas vouloir publier ses sources, oui..... :mdr::mdr:

La fièvre ou l'hyperthermie?biggrin.gif

la rhétorique ou la rhétorique ? :p

Fièvre et hyperthermie ne sont pas identiques, rien qu'en étiopathogénie.....là encore, on voit que le langage courant et les données factuelles sont bien différentes.Raison de plus pour ne pas prêter à confusion.....

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J'espère ne pas avoir besoin de rencontrer de médecins dans les prochains jours, ce que tu viens d'écrire n'est pas rassurant pour la patiente potentielle que je peux être.

Pour l'hépatite B comme tu le disais, j'ai oublié mon rappel de vaccination 2007 :keskidit:

Je m'éloigne très fortement du sujet, mais je trouve important qu'un médecin prenne le temps d'expliquer et de donner les différents point de vus existants. Pour moi, cela fait partie de son travail, même si ça prend du temps.

Je crois que tu ne connais pas le corps médical dans son entier, alors....en soi c'est heureux pour ta santé, mais si tu penses, du plus grand chef de service à l'aide-soignante anonyme, que le corps médical a à coeur d'expliquer et de vulgariser....

Pour ma part, je choisis ceux qui n'expliquent rien: pour les actes de précision et ceux qui sont pour moi "les soignants", pour leur capacité à expliquer. Tout cela afin que je puisse avoir la possibilité de faire des choix médicaux argumentés, avoir un minimum d'autonomie dans mes soins et la capacité à prendre soin de moi.

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Pour l'hépatite B comme tu le disais, j'ai oublié mon rappel de vaccination 2007 :transpi:

Bonjour,

Comme quoi il y a un gouffre entre la santé publique et la santé tout court....les journalistes ont bien fait leur travail de sape, en tout cas.Même plusieurs années plus tard, j'entends encore des patients me poser la question....

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Pour l'hépatite B comme tu le disais, j'ai oublié mon rappel de vaccination 2007 :mdr:

Bonjour,

Comme quoi il y a un gouffre entre la santé publique et la santé tout court....les journalistes ont bien fait leur travail de sape, en tout cas.Même plusieurs années plus tard, j'entends encore des patients me poser la question....

Saperlipopete! :bocul:

tu t'es vraiment trompé de film de Mel Gibson... t'aurais plutôt du prendre le pseudo : "Jerry Fletcher" ... :transpi:

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Pour l'hépatite B comme tu le disais, j'ai oublié mon rappel de vaccination 2007 :mdr:

Bonjour,

Comme quoi il y a un gouffre entre la santé publique et la santé tout court....les journalistes ont bien fait leur travail de sape, en tout cas.Même plusieurs années plus tard, j'entends encore des patients me poser la question....

Mon médecin semble à priori faire passer le principe de précaution en premier lieu. Je n'ai pas d'antécédents familiaux qui laisseraient à penser que le vaccin ait des effets secondaires sur moi.

Dans mon domaine professionnel, je crois que ce vaccin est obligatoire. Je le referais faire, si on me le demande , bien que je pense que le médecin peut écrire qu'il l'a fait alors que non. Tu peux me mettre en pv pourquoi tu continues à le prescrire, mais je pense que ce sont les mêmes arguments que pour le rouvax chez les femmes adultes et le BCG.

:transpi: Je me suis encore éloignée du sujet désolée. :bocul:

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Il aurais fallu plutôt utiliser le mouais au lieu de bof, linguistiquement parlant.

Il y a certaines chose dont il faut s'inquiété. Si tu n'es pas capable de saisir ce concept si simple...

Hors-sujet par rapport au premier post ou par rapport au propos tenu dans la globalité de ce topic ?

PS : :cartonrouge:

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Il aurais fallu plutôt utiliser le mouais au lieu de bof, linguistiquement parlant.

Il y a certaines chose dont il faut s'inquiété. Si tu n'es pas capable de saisir ce concept si simple...

Hors-sujet par rapport au premier post ou par rapport au propos tenu dans la globalité de ce topic ?

PS : :cartonrouge:

Excuses moi, mais j'ai ici des documents dont tu ne mérites pas de connaitre la source parceque t'es pas assez intelligent pour comprendre qui prouvent bien que "bof" peut très bien remplacer le "mouais"... et toujours d'après ce document que je tiens dans la main et que je peux envoyer par MP à quelqu'un d'autre que toi, mais pas à toi, j'aurais même pu dire "mwé"...

:cartonrouge:

:cartonrouge:

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Mon médecin semble à priori faire passer le principe de précaution en premier lieu. Je n'ai pas d'antécédents familiaux qui laisseraient à penser que le vaccin ait des effets secondaires sur moi.

Dans mon domaine professionnel, je crois que ce vaccin est obligatoire. Je le referais faire, si on me le demande , bien que je pense que le médecin peut écrire qu'il l'a fait alors que non. Tu peux me mettre en pv pourquoi tu continues à le prescrire, mais je pense que ce sont les mêmes arguments que pour le rouvax chez les femmes adultes et le BCG.

;) Je me suis encore éloignée du sujet désolée. :p

Bonsoir,

Il est étonnant que lorsqu'un médecin fasse passer le principe de précaution (sur une base non révélée), on acquiesce,tandis que lorsqu'il faut l'appliquer sur des adoptions d'enfant tout le monde trouve cela superfétatoire...mais l'un concerne son propre devenir, pas l'autre,ceci explique cela, je suppose. :mdr2:

Pour l'HVB, la question n'est pas là, c'était une question de santé publique plus large.C'est la volte-face qui est répréhensible, pas le doute.

Je préfère ne pas faire de commentaires sur un praticien qui ferait un faux en écriture....tout comme sur ceux qu'on entend, en privé , déclarer à propos de certaines vaccinations"Pas fou, non?Je le prescris à mes patients mais moi il est hors de question que je le fasse"...pour l'HVB, j'ai même entendu un responsable des collectes épidémio faire ce genre de remarques....

Lorsque j'exerçais en Afrique, j'ai eu le droit aux mêmes discours, de la part d'un pharmacien, qui parlait en rigolant de la chimioprophylaxie antipalustre, avant de partiR en pays Dogon.

Résultat: 6 mois de réa.

Et des séquelles irréversibles.

Il doit moins rire, maintenant.

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  • 2 mois après...

http://www.maitre-eolas.fr/2008/01/23/847-...ne-homosexuelle

...

En conclusion, la France a avant tout été condamnée pour son hypocrisie : elle nie l'évidence. La loi a autorisé l'adoption par un homosexuel, mais l'administration veille à ce que cela n'arrive jamais, en prétendant ne pas se soucier de l'orientation sexuelle. Si la loi avait interdit purement et simplement l'adoption par des homosexuels au nom de l'intérêt de l'enfant, il y a gros à parier que la Cour n'aurait pas bronché. Ainsi, le fait que la loi ne permette qu'à un couple marié, donc nécessairement hétérosexuel, d'adopter ensemble ne pose aucun problème de discrimination à la cour.

Où l'on voit à quel point le débat public est escamoté en France. Le thème de l'adoption homosexuelle a fait partie des thèmes de campagne aux élections présidentielles du printemps dernier. Quel candidat a expliqué (ou savait-il seulement) que la question qui se pose est qu'un célibataire homosexuel peut adopter depuis les années soixante, mais pas les deux partenaires d'un couple ?

Cette jurisprudence sera invoquée désormais dans les recours contre les refus d'agréments opposés aux homosexuels. Mais l'administration pourra fort bien maintenir sa pratique en motivant plus astucieusement ses avis.

Enfin, pour la requérante, c'est une victoire à la Pyrrhus. Elle a demandé l'agrément pour adopter un enfant quand elle avait 37 ans. Elle en a aujourd'hui 47. Cela laisse présumer une arrivée d'enfant à 50 ans. En supposant que son âge ne lui soit pas opposé, ce n'est plus le même projet de maternité. La joie de Mme B. doit être bien ternie par un rêve à jamais brisé. Qu'elle soit assurée de ma sympathie.

L'intérêt et la portée de cet arrêt sont en résumé que la Cour, sans revenir sur sa position réservée à l'égard de l'adoption homosexuelle, et notamment sur le fait que l'intérêt de l'enfant peut être valablement invoqué pour refuser l'adoption à un homosexuel quand des éléments objectifs sont soulevés à l'appui (arrêt Fretté), estime que l'absence de "référent paternel" n'est pas un argument valable car il s'applique aussi à l'adoption par un célibataire hétérosexuel, et surtout que la France ne peut pas prétendre que l'adoption homosexuelle est légale et pratiquer une discrimination de fait en faisant en sorte que ce qui n'est pas interdit ne soit jamais autorisé

:byebye:

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j'ai pas tout lu car j'ai un peu la flemme mais j'ai répondu :

-oui au mariage : je pense que d'une part c'est une reconnaissance envers les homosexuels comme les hétérosexuels de leur engagement devant les institutions (notamment) et plus généralement envers tout le monde et d'autre part, si les hétéro en ont le droit ya pas de raison...

-oui à l'adoption car cela répond à une demande réelle de la part des ces couples qui doivent plus ou moins "frauder" avec les lois afin d'adopter un enfant.

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C'est pas la faute des parents homosexuels si certaines personnes sont homophobes.

On disait ça avant : La honte si t'a une mère qui travaille... La honte si tes parents sont divorcés....

La honte quand tout le monde saura que ces parents bénéficie de l'aide sociale.

La honte quand tout le monde saura que ces parents sont des témoins de Jéhovah.

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la honte, si tu n'avais pas si peur de la provoquer chez tes parents, tu n'y penserais même pas.

:cartonrouge:

je ne tiens pas spécialement à être méchant, plutôt taquin,

mais

on ne construit pas sa vie sur "qu'en dira-t-on", "qu'en diront pôpô et môman".

Imagine une minute que tu ais des parents racistes, méchants, violents, stupides ou autres joyeusetés ...

Ou alors imagine une minute que l'un d'eux se découvre être quelqu'un d'autre à 40 ans ^^...

enfin bref, évite de donner des cartons rouges à la place de tes parents, ils sont assez grands pour le faire tous seuls. :cartonrouge:

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-oui à l'adoption car cela répond à une demande réelle de la part des ces couples qui doivent plus ou moins "frauder" avec les lois afin d'adopter un enfant.

Et merci pour la honte qu ils (ou elles) auront quand tout le monde saura qu il (ou elle) a des parents homos. :transpi:

mais les couples homo avec des enfants ça existe déjà, et comme l'a dit XZombi il y a trop situations qui peuvent être honteuse pour un enfant

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C'est pas la faute des parents homosexuels si certaines personnes sont homophobes.

On disait ça avant : La honte si t'a une mère qui travaille... La honte si tes parents sont divorcés....

La honte quand tout le monde saura que ces parents bénéficie de l'aide sociale.

La honte quand tout le monde saura que ces parents sont des témoins de Jéhovah.

Si t invite des amis a la maison ca se verra de suite tandis ce que tu cites on peut le cacher. Voila la difference.

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je n'ai déjà pas beaucoup de sympathie pour le mariage en lui-même,

pour ce qu'il représente, si des homos veulent se marier, et bah tant qu'ils sont heureux...

pour les enfants je vois bien le truc, le gamin qui appelle un de ses parents :

"maman (papa) ?"

"oui ?"

"oui ?" :transpi:

ca doit être déboussolant :transpi:

donc pour les enfants, j'aurai tendance à dire non parce que je n'ai connu aucun cas, et je ne peux donc dire si ca se passerait aussi bien qu'avec un couple hétéro.

c'est vrai qu'on est encore dans le papa/maman et personne n'est encore réellement habitué aux papa/papa et maman/maman...

"bonjour, je te présente mon père, et voici mon père :francais: "

donc

1er = oui

2ème = sait pô

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http://www.maitre-eolas.fr/2008/01/23/847-...ne-homosexuelle
...

En conclusion, la France a avant tout été condamnée pour son hypocrisie : elle nie l'évidence. La loi a autorisé l'adoption par un homosexuel, mais l'administration veille à ce que cela n'arrive jamais, en prétendant ne pas se soucier de l'orientation sexuelle. Si la loi avait interdit purement et simplement l'adoption par des homosexuels au nom de l'intérêt de l'enfant, il y a gros à parier que la Cour n'aurait pas bronché. Ainsi, le fait que la loi ne permette qu'à un couple marié, donc nécessairement hétérosexuel, d'adopter ensemble ne pose aucun problème de discrimination à la cour.

Où l'on voit à quel point le débat public est escamoté en France. Le thème de l'adoption homosexuelle a fait partie des thèmes de campagne aux élections présidentielles du printemps dernier. Quel candidat a expliqué (ou savait-il seulement) que la question qui se pose est qu'un célibataire homosexuel peut adopter depuis les années soixante, mais pas les deux partenaires d'un couple ?

Cette jurisprudence sera invoquée désormais dans les recours contre les refus d'agréments opposés aux homosexuels. Mais l'administration pourra fort bien maintenir sa pratique en motivant plus astucieusement ses avis.

Enfin, pour la requérante, c'est une victoire à la Pyrrhus. Elle a demandé l'agrément pour adopter un enfant quand elle avait 37 ans. Elle en a aujourd'hui 47. Cela laisse présumer une arrivée d'enfant à 50 ans. En supposant que son âge ne lui soit pas opposé, ce n'est plus le même projet de maternité. La joie de Mme B. doit être bien ternie par un rêve à jamais brisé. Qu'elle soit assurée de ma sympathie.

L'intérêt et la portée de cet arrêt sont en résumé que la Cour, sans revenir sur sa position réservée à l'égard de l'adoption homosexuelle, et notamment sur le fait que l'intérêt de l'enfant peut être valablement invoqué pour refuser l'adoption à un homosexuel quand des éléments objectifs sont soulevés à l'appui (arrêt Fretté), estime que l'absence de "référent paternel" n'est pas un argument valable car il s'applique aussi à l'adoption par un célibataire hétérosexuel, et surtout que la France ne peut pas prétendre que l'adoption homosexuelle est légale et pratiquer une discrimination de fait en faisant en sorte que ce qui n'est pas interdit ne soit jamais autorisé

:chinois:

t'abuse de déterrer ça, surtout que j'ai pas mal de temps libre en ce moment, ce serait dommage de le perdre sur ce sujet... :yes::D

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