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Topic "Démarrage"


tuXXX

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Ahhh, je me rappelle quand j'ai commencé linux...

J'était tout joyeux d'essayer un nouvel OS qui avait l'air d'avoir un bon packet des qualités ...

Mais j'était aussi perdu :pleure: Trop habitué à windows, je ne savais plus rien faire !

Puisque le nombre de personnes qui se mettent à linux va toujours en grandissant, et que les mêmes questions se répètent sans cesse sur le forum, je pense qu'il est bon de faire un petit récapitulatif des différentes commandes, de l'utilisation, etc...

Tout d'abord, quelques liens :

:arrow:Sommaire

:arrow: Les disques dur

:arrow: Les utilisateurs

:arrow: La console

:arrow: L'utilisation de la touche "tab"

:arrow: Quelques commandes de base

:arrow: Commandes de l'administrateur

:arrow: Manipulation de flux

:arrow: Partitions, Fdisk et Formatage

:arrow: Utilisation de vi , concepts de base

:arrow: Arrrggghhh j'ai un bug! (update : 21/02/2005 : poster sur le forum)

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:-DLes disques dur

La gestion des disques dur sous linux est très différente que sous windows, mais suit des règles précises.

Tous les disques dur sont situés dans /dev et représentés par des lettres et chiffres :

Tout d'abord, des lettre (en général "hd", comme Hard Disk :incline:, même si ce sont des lecteurs CD/DVD), puis une lettre qui indique le "numéro" du disque : "a", "b", "c", etc...

Il y a donc comme cela tous les périphériques standard IDE :

/dev/hda : Master sur IDE0

/dev/hdb : Slave sur IDE0

/dev/hdc : Master sur IDE1

/dev/hdd : Slave sur IDE1

etc...

Ensuite, si le disque a des partitions, elles sont rajoutées dans /dev, de la même façon que les disques dur, mais avec des numéros derrière, en commencant par 1 :

/dev/hda1 : première partition principale de hda

/dev/hda2 : deuxième partition principale de hda

/dev/hda5 : première partition étendue de hda

etc...

Pour les disques SCSI ou Serial ATA, le préfixe "hd" est en général remplacé par le préfixe "sd", le principe de numérotation restant le même.

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:incline:Les utilisateurs

Sous les systèmes linux (qui vient du monde unix), la gestion des utilisateurs est très poussée.

Il y a tout d'abord des groupes (sound, games, etc...), auquels appartiennent les utilisateurs.

Il existe un utilisateur spécial, nommé "root", qui est le "super utilisateur" ayant le contrôle total sur la machine, et qui peut donc faire ce qu'il veut (détruire le système même...), puis les utilisateurs standard qui ont du être créés lors de l'installation de la distribution.

Je fais une petite parenthèse ici en disant qu'il ne faut JAMAIS utiliser le systèle en tant que root.

Cela peut paraître plus simple au début, mais c'est aussi très dangereux, que ce soit par rapport à nous-même (quand on débute, on ne sais pas forcément ce qu'il ne faut pas faire), ou par rapport aux virus, qui se feraient un plaisir de détruire le système à la moindre occasion. De même, c'est la porte ouverte au piratage, ainsi que l'utilisation des failles de sécurité des logiciels courants, qui ne pourraient autrement que modifier les données de l'utilisateur (et non détruire le système+les données).

Donc il ne faut pas se connecter en tant que "root".

:byebye:La console

Sous linux, la console est très importante.

Elle permet d'avoir un compte-rendu détaillé du système à l'aide de quelques commandes, ainsi que de fournir aux programmes des paramètre. Par exemple, démarrer un lecteur multimédia avec un certain fichier vidéo, en plein écran, en utilisant un codec particulier, une certaine langue, etc...

Souvent dans les forums, il est dit d'essayer "[une commande]" ... elle est évidemment à taper dans la console, quelque fois en tant que root...

Mais là vous me dites que j'ai dit de ne pas utiliser le compte root :-D .

Oui, c'est vrai, mais il est possible d'ouvrir temporairement une session root dans une console, le temps d'exécuter la commande, modifier quelques fichiers, etc... Ce compte étant destiné à la configuration, il est très rare d'avoir besoin d'une interface graphique (auquel cas, la console utiliserait l'affichage en cours pour afficher le programme).

La commande à utiliser pour se logger en root est "su", cette commande permet de changer d'utilisateur.

Normalement, il faut dire quel utilisateur prendre : par exemple "su root" pour se connecter en root, mais "su" tout seul se connecte automatiquement au compte root.

Cela permet donc de se connecter en root afin d'avoir accès à des fonctions supplémentaires afin d'administrer le système.

Une fois que vous avez fini ce que vous vouliez faire, tapez "logout" ou appuyez simultanément sur Ctrl+D pour vous délogger de cette session.

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:-Dl'utilisation de la touche "tab"

La touche "tab" permet de compléter ce que vous avez commencé à taper.

->Si c'est le début d'une commande, cela affiche soit la fin si le début est unique à cette fonction, soit ça affiche une liste des fonctions qui correspondent...

->Si c'est un répertoire (par exemple après "cd"), cela complète petit à petit en fonction de ce que vous tapez, et permet donc de ne commettre aucune faute dans l'appel de fonctions, et de gagner un temps énorme.

:incline:Quelques commandes de base

Bon, maintenant que vous savez un peu comment ça marche, il est temps de connaître quelques commandes utiles.

Je rappelle quand même qu'il faut IMPERATIVEMENT mettre un espace entre la commande et les paramètres, sans quoi linux considère la commande+les paramètre comme une commande et ne la trouve pas (logique)

  • cd
    cette commande permet, comme sous windows de changer de répertoire courant.
    "." est un répertoire spécial qui pointe toujours sur le répertoire en cours
    ".." pointe toujours sur le répertoire parent
  • ls
    équivalent de "dir", mais beaucoup plus puissant (dir est redirigé vers ls sous linux, mais n'as pas toujours les options de couleurs définies par la distribution et il vaut toujours mieux utiliser "ls")
    quelques options :
    -l : permet d'avoir le détail de chaque fichier/dossier, les autorisations, la taille, etc...
    -a : permet de voir les "fichiers et dossiers cachés" : ceux-ci commencent par un . (par exemple .mozilla), et contiennent en général des fichiers de configuration
    -h : permet d'avoir la taille des fichiers affichée d'une manière compréhensible par les "humains" (c'est pour ça le "h")
  • man
    Cette commande permet d'avoir le manuel de n'importe quelle fonction : par exemple "man ls" vous fournira une page avec la descrition de la commande "ls", il est possible de monter et descendre en utilisante "PageUP" et "PageDown", et quitter en appuyant simplement sur "q"
    (la commande ultime étant "man man" :byebye:)
  • ln
    "ln" permet de créer des liens entre des fichiers. Le plus courant étant le lien symbolique, créé à l'aide le l'option "-s" ("ln -s"), qui agit comme un raccourci : si on supprime le raccourci, le fichier reste là.
    Si on supprime le fichier, le raccourci ne pointe sur rien.
  • df
    "df" permet de voir l'espace libre sur les disques dur
    à utiliser avec "-h" pour avoir la taille lisible :roll:
  • du
    un peu comme "df" : donne la taille d'un dossier et de tout ceux qu'il contient...

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:-DCommandes de l'administrateur

Voici quelques commandes permettant d'administrer son PC, de connaître notamment qu'est-ce qui se passe dans le système. Cela va d'ailleur permettre d'aborder le concept des modules du noyau.

Toutes ces commandes ne sont en général accessible que depuis le compte root...

  • lspci
    lspci permet de parcourir (comme ls) les ports pci, et ainsi de connaître assez précisément tout ce qu'il y a dans la machine, notamment les noms des différents chips.
    Alors tout d'abord, qu'est-ce qu'un module?
    Un module est une sorte de rajout au noyau qui permet de contrôler certains périphériques.
    L'avantage, c'est qu'il est possible de les charger ou pas en fonction de la configuration.
    Par exemple, un module pour une carte ethernet 3com pourra n'être charger que si l'on met une telle carte dans l'ordinateur.
    En général, tous les drivers propriétaires n'existent qu'en module (notamment pour les cartes graphiques), mais aussi quelques cartes raid, etc...
  • lsmod
    Permet de connaître quels modules sont lancés, ainsi que les dépendances entre eux.
  • modprobe
    modprobe permet de manipuler les modules, et notamment de les charger (et les décharger), mais aussi avoir la liste des modules disponibles pour le noyau en cours:
    "modproble -l" liste ainsi tous les modules disponibles.
    "modprobe [le nom du module]" charge le modules voulu : par exemple, "modprobe 8139too"

Et aussi des fichiers et outils de log:

  • dmesg
    Permet de voir tout ce qui a été fait au démarrage de linux...très utile pour savoir ce qui s'est passé...
  • /var/log/messages
    Ce fichier contient tous les évènements systèmes, que ce soit le login de quelqu'un ou l'insertion d'une clé usb ...

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:-DManipulation de flux

Sous linux, les programmes communiquent avec le système grâce à des "flux"...

Il en existe trois principaux :

->L'entrée standard :

Par défaut, le clavier, numéro associé : 0

->La sortie standard :

Par défaut, l'écran, numéro associé : 1

->La sortie erreurs :

Par défaut, l'écran aussi, numéro associé : 2

Voilà... cela permet de faire plein de choses comme nous allons le voir.

Les opérateurs

  • l'opérateur >
    Cet opérateur permet de "rediriger" une sortie vers l'endroit de notre choix, généralement un fichier.
    Par exemple, pour rediriger la sortie de "ls" vers un fichier "liste.txt" :

 $ ls > liste.txt

  • et dans le fichier, il y aura tout ce qu'il y aurait du y avoir à l'écran ...
    ...sauf les messages d'erreurs... En effet, implicitement, ">" équivaut à "1>" ...
    Pour rediriger la sortie erreur, il faut utiliser cette notation avec le bon numéro (le 2) :

 $ ls 1>liste.txt 2>erreurs.log

  • ...On peut même rediriger la sortie erreur vers la sortie standard pour pouvoir mettre tout ça dans un même fichier :

 $ ls 1>liste.txt 2>&1

  • (ne pas oublier le "&", et le faire dans cet ordre, la sortie 2 et renvoyée vers la sortie 1 qui est le fichier texte, si on inverse, la sortie 2 va être redirigée vers 1 alors que celle-ci sera l'écran, puis la sortie 1 sera redirigée vers le fichier...)
  • l'opérateur >>
    identique à >, mais n'écrase pas le fichier et écrit à la suite ...
  • l'opérateur | (appelé "pipe")
    Cet opérateur permet de rediriger la sortie standard de la commande vers l'entrée standard d'une autre commande, afin de les chaîner ... C'est très utile pour manipuler des sorties de fichiers comme on le verra juste après. (Note : on l'obtient avec l'association de toucher "AltGr" et "6" sur les claviers azerty français)

Maintenant quelques commandes pour manipuler :

Les commandes

  • grep
    grep permet de trier les lignes et de ne sortir que celles qui nous intéressent...
    Pour chaque ligne à l'entrée standard, il vérifie que le mot (ou quelques lettres) donné en paramètre est dans la ligne... Si c'est le cas, il la met sur la sortie standard, sinon il n'y touche pas.
    Cela marche évidemment avec le clavier et la sortie écran (il suffit pour cela d'essayer "grep a"... cela n'affichera que les lignes que vous taperez ensuite contenant a (ctrl+d pour arrêter))
    Le plus efficace étant quand même pour les commandes : par exemple, pour voir si le driver nvidia est présent dans les modules, il suffit de faire : "modprobe -l | grep nvidia"
    On voit ici aussi l'utilité du pipe :incline:
  • tail et head
    Ces deux commandes permettent respectivement d'afficher les dernières et premières lignes l'un fichier ou de l'entrée standard ... Par exemple, "ls -l | tail" montrera la fin de la commande "ls"
    Il est possible de passer des paramètre, comme par exemple le nombre de lignes à afficher (option "-n") ... mais la page du manuel vous en dira plus :byebye:
  • cat
    cat liste le contenu d'un fichier et le sort sur la sortie standard... Ainsi pour voir les dernières lignes de /var/log/messages contenant le mot usb: "cat /var/log/messages | grep usb | tail" :roll:
  • echo
    echo permet de sortir du texte sur la sortie standard afin de le manipuler ensuite avec d'autre commandes ou bien de rediriger vers un fichier :
    "echo "salut" > message.txt"

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:-DPartitions

Pour utiliser linux, il est possible de n'utiliser qu'une seule partition.

Celle-ci serait la racine "/" de tout le système...

Mais pour augmenter les performances, et notamment dans le cas d'une grosse demande de ram, il est conseillé d'utiliser une partition "de swap" qui permet d'étandre virtuellement la ram sur le disque dur.

Cette partition doit être en général égale à 2x(la quantité de ram du système), avec un maximum de 512Mo

De plus, il est conseillé de créer une partition de boot afin d'éviter tout problème lors du boot (disque trop grand par exemple), le mieux étant d'utiliser 32Mo

Au final, pour un système linux il est conseillé d'utiliser:

->Une partition de boot (32Mo)

->Une partition de swap (2xram -> 512Mo)

->Une partition principale (le reste)

Sous linux, il existe beaucoup plus de types de partitions que sous windows :

principalement ext2, ext3, reiserfs, XFS, JFS... (Il est aussi possible de lire le ntfs, le fat16/32, ainsi que plein d'autres choses...)

Après, il faut choisir entre tout cela...

  • le ext2 est obsolète, notamment à cause de l'absence de journal, et donc un test très long au démarrage lors du "checkdisk"...
  • le JFS est utilisable seulement pour ceux qui font de la vidéo (et encore...)
  • le reiserfs est assez rapide, efficace, plus que les ext2 et ext3 pour les petits fichiers et peut-être utilisé sans problèmes depuis le noyau 2.4.18...
  • le ext3 est la version journalisée du ext2, très fiable et stable, et très performant dans la plupart des cas.

Le choix se porte donc naturellement sur le ext3 ou le reiserfs (en général, pour ne pas prendre de risques, le mieux est de prendre le ext3, devenu un standard...)

(il vaut tout de même mieux laisser la partition de boot en ext2 pour des raisons de compatibilités)

On obtient donc le shéma suivant :

->ext2 (32M) Partition de démarrage

->swap (512M) Partition de mémoire virtuelle

->ext3 (Reste du disque) Partition principale

Les partitions sont numérotées d'une manière un peu spéciale, en effet, il y a:

  • 4 partitions prinipales, numérotées de 1 à 4
  • plusieurs partitions étendues, numérotées à partir de 5

Ne vous étonnez donc pas d'avoir des partitions 1 et 2, puis de passer soudainement à 5 :roll:

Toutes ces partitions sont donc stockées dans /dev/hd[lettre]X, comme je l'ai décrit plus haut...

:incline:Fdisk

Pour les créer, il faut tout d'abord utiliser "fdisk" pour partitionner.

Pour afficher la liste des partitions, il faut d'abord entrer "p" (comme "print")

Pour supprimer une partition, il suffit d'utiliser "d" (comme "delete") et de choisir le numéro de la partition à supprimer. (voir avec "p")

Pour créer une partition, il suffit d'utiliser "n" (comme "new", facile, non?)

Et de rentrer la taille (utiliser la syntaxe "+sizeM" pour mettre en Mo...)

Et enfin de changer le type de la partition (la swap) en tapant "t", puis le numéro correspondant au type (swap=82, linux=83)

Quand vous manipulez fdisk, les changements ne sont pas activés tant que vous ne le dites pas, ne vous inquétéz donc pas, si vous avez fait une erreur, quittez simplement (avec "q")

Une fois que tout vous convient (vérifiez avec "p"), vous pouvez écrire la table des partitions sur le disque avec "w"...

Il vous sera sûrement demandé de redémarrer, afin d'actualiser /dev ...

:byebye:Formatage

Maintenant que vos partitions sont créées, il faut les partitionner !!!

Tout d'abord, la partition de boot, en ext2 :

 $ mke2fs /dev/hdLX

ensuite, la partition de swap

 $ mkswap /dev/hdLY

Et enfin la partition principale : ext3

 $ mke2fs -j /dev/hdLZ

ou reiserfs :

 $ mkreiserfs /dev/hdLZ

Voilà, votre système est prêt à être installé !!!

Il est tout à fait possible d'utiliser le système de partitionnement et de formatage intégré au menu d'installation de votre distribution, mais le principe de partitionnement reste le même...

Pour installer un noyau, il faut avant monter la partition /boot

Pour booter, il faut le faire sur la partition /boot

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:-DUtilisation de vi, concepts de base

Sous linux, il y a un éditeur de texte que tout le monde connait, qui est présent partout et qu'il faut savoir manier !

Cet éditeur, c'est "vi".

(prononcer "vi aïlle", et pas "vi" pour pas passer trop pour un débutant, et éventuellement se la péter devant ses potes qui font du windows :incline:)

L'avantage de cet éditeur, c'est qu'il marche en console, et est donc accessible de partout, que X soit lancé ou pas.

De plus, il est très rapide à se lancer et convient parfaitement pour modifier un paramètre dans un fichier de configuration.

Enfin, de part son fonctionnement, il n'y a pas besoin d'aller chercher le fichier à ouvrir et de parcourir l'arborescence graphiquement car il suffit d'utiliser la touche "tab" pour compléter facilement et rapidement le chemin et arriver en 2 secondes à ouvrir le fichier.

Tout d'abord, il faut ouvrir le fichier à éditer :

 $ vi _path_vers_le_fichier/fichier

Voilà, le fichier est ouvert.

Mais le principe de vi est un peut spécial, et on est très vite affolé à l'idée de ne pas pouvoir quitter l'éditeur.

En effet, il n'y a pas de combinaison de touche pour quitter.

En fait, il y a 2 modes dans vi, un mode "édition" et un mode "contrôle".

Tout d'abord, vous êtes dans ce second mode, où il est possible d'effectuer quelques commandes, les plus basiques commençant par ":"

par exemple, pour quitter, il faut taper ":q"

Je vais donc faire une liste très rapide des quelques "commandes" à connaître pour ne pas être perdu..

q : quitter

w : enregistrer

! : forcer la commande

Tout combinaison peut-être utilisée (par exemple, ":wq!" sauvegarde et quitte même si le fichier est en lecture seule (en root))

Si vous oubliez ":", et que vous vous trouvez devant d'autres menus, il suffit de faire ":q" encore.

Maintenant, pour édite, le mieux est d'insérer du texte.

Pour cela, il faut appuyer sur la touche "i" ou bien aussi la touche "[insert]"...

Vous povez ensuite modifier le texte à votre guise. (vous remarquerez l'indication "-- INSERT --" en bas...

Et quand vous avez fini, appyez sur "[Echap]" pour revenir dans le premier mode...

Les possibilitées avec vi (et notamment les différents clones, dont vim) sont énormes et je vous invite à regarder l'aide ou bien sur internet pour en apprendre plus...

Vous allez maintenant pouvoir par exemple modifier votre XF68Config tranquillement depuis la console, pour pouvoir directement tester le driver...

Et vous remarquerez aussi que l'on en parle souvent dans les forums.

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:byebye:Arrrggghhh j'ai un bug!

Cela arrive qu'il y ait vraiment un problème, et que votre ordinateur ne réponde plus...

Voici quelques conseils qui sauvent :

->Control+Alt+Fn

Si l'interface graphique (X) ne répond plus, il y a souvent moyen de récupérer une console permettant de redémarrer l'ordinateur sans dommages pour le système.

Pour cela, il suffit d'appuyer simultanément sur "Control", "Alt", et une des touches de fonction "F1", "F2", etc...

Les touches F1 à F6 sont en général des consoles, et F7 est en général le serveur graphique X lui-même.

Donc Control+Alt+F1 pour aller en console, Control+Alt+F7 pour revenir au mode graphique.

Une fois en mode console, il y a moyen d'essayer de redémarrer l'interface graphique avec les commandes "init 3", suivie de "init 5", mais aussi de redémarrer l'ordinateur (reboot) ou bien de l'arrêter (halt)

->Les touches magiques

Si plus rien ne répond plus, et que vous êtes résolu à faire un reset, il reste les touches magiques (Magic SysRq Keys).

Elles permettent de contrôler le noyau directement, et permettent en général de synchroniser les disques dur, et donc de ne rien perdre du système.

Il faut pour cela appuyer simultanément sur "Alt", sur la touche "Impr Ecran/Syst" et une des touches suivantes :

'b' : reboot

'o' : arrêt

's' : synchronisation des disques dur

'u' : disques dur en lecture seule

'e' : envoi d'un SIGTERM à tous les processus (demande d'arrêt des processus)

'i' : envoir d'un SIGKILL à tous les processus (les processus sont tués)

et plus : voir la doc ( http://linuxgazette.net/issue81/vikas.html ou le fichier Documentation/sysrq.txt du noyau)

Globalement, quand tout va mal, la combinaison de touches optimale est 's', 'u', 'b' .

->Le forum

Si vraiment vous avez un problème et que vous bloquez, demandez évidemment sur le forum...

Mais avant de poster, il y a plusieurs choses à faire :

1) Chercher sur google (ou google linux, lien dans le premier post)

Essayez de na pas vous limiter pas au web français, sinon vous n'aurez pas forcément beaucoup de résultats.

Cherchez minimum sur 2 pages, histoire que les autres forumeurs voient que vous avez cherché : ça donne plus envie d'aider quelqu'un si celui-ci à cherché plus de 20 secondes.

2) Regardez les liens importants, en orange, dans la section linux du forum, il y a des chances que la réponse y soit car en général ces howto sont créés pour satisfaire à un "besoin" de savoir, et donc pour éviter de répondre trente fois par jour la même chose...

3) Cherchez aussi sur le forum, les questions qu'on se pose quand on débute sont souvent les mêmes que les autres débutants, donc cette question a pas mal de chance d'avoir déjà été posée.

Un petit lien pour aider : Utilisation de la recherche

4) Enfin, si vous n'avez vraiment rien trouvé, ou si ce que vous avez trouvé ne marche pas, là vous pouvez créer un nouveau topic décrivant votre problème. Expliquez que vous avez cherché, où vous avez cherché, les manipulations que vous avez fait et qui n'ont pas marché, la distribution utilisée et éventuellement le matériel qui pourrait avoir un lien avec le problème. Et évidemment poster dans un language compréhensible de tous (pas sms ! pas trop de fautes...)

Si vous faite toujours comme ça, vous allez :

1) Maitriser de mieux en mieux l'anglais et la recherche google :-D

2) Apprendre plein de trucs sur linux dont vous ne supposiez même pas l'existence :incline:

3) Ne pas vous faire lyncher parce que vous n'avez pas cherché

4) Ne pas vous faire lyncher parce que vous ne donnez aucun renseignement susceptible de servir aux autres pour vous aider ou parce que vous écrivez en language sms/avec plein de faute.

ps : :sms2: :roll:

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Gloire à Tuxx :cap::fumer::cap::incline::incline: Excellent !

J'ai une question : souvent meme en me logguant en Root par l'intermédiaire de la commande "su", je n'arrive pas à faire ce que je veux faire. Sur un forum, un user a conseillé de taper (copier/coller) la commande suivante :

kfmclient openProfile filemanagement

Ca ouvre une session root et la je peux modif.... Seulement à quoi correspond exactement cette commande ? Est-ce :transpi: ou est-ce :mdr2: ?

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en fait tu dois certainemement conserve l'environnement de l'utilisateur a partir duquel tu as fait ton su. Cela le fait sur beaucoup de distributions oriente grand public en fait, afin de reduire les risques je pense...

essaies en faisant un 'su -l' ou un 'su -' afin de prendre tout l'environnement de root, y compris le PATH ( c'est ca generalement qui fout la merde...

EDT :

disons que j'aurais ajouter pour le ls l'option -h. Moi j'aime bien utiliser ls -harl.

en fait, l'option h permet d'ajuster l'unite exprimee par rapport a la tailel des fichiers ( o, ko, Mo ), donc tres pratique.

C'est un excelletn debut, meme si je pense qu'il manque ceertains trucs que tu ne manqueras pas de rajouter tuxxx, genre grep, les redirections ( < << >> > ) etc...

bon je dois y aller, je repasse plus tard ... dsl

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c'est super :mdr2:

si ca continue le forum linux va devenir une référence!!!

faut épingler vite fait.... Dark ?

d'ailleur je sais pas si ca a été fait, mais vu le nombre de tuto de très grand qualité que vous etes en train de faire ca meriterais une news de temps en temps, ca pourrait donner envie aux inpatiens de passer sous nux

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