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Les ZINZINS de la littérature !


Lassudrie

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Voilà. Les règles sont simples. On donne un extrait d'un oeuvre ( française ou non ), qu'elle quelle soit, tant qu'il s'agit de littérature ( fiction, ou pas, essais politiques, poésies, ouvrages philosophiques... ). Et on doit trouver l'auteur.

Il faut que celà reste faisable. C'est à dire, pas d'auteurs trops difficiles, ou inconnu, et des passages assez larges et évocateurs... On ne repostera pas deux fois à la suite le même auteur. Et on argumentera sa reflexion pour ne pas donner au hasard un nom d'auteur, et pour faire profiter à tous de ses reflexions.

Celui qui trouve à le droit de poster à son tour un texte. Si personne ne trouve. Alors, on poste un nouveau texte.

Je commence par un texte assez connu d'un grand auteur !

" Obéissez aux puissances. Si celà veut dire : Cédez à la force, le précepte est bon, mais superflu ; je réponds qu'il ne sera jamais violé. Toute puissance vient de Dieu, je l'avoue ; mais toute maladie en vient aussi : est ce à dire qu'il soit défendu d'appeler le médecin ? Qu'un brigant me surprenne au coin d'un bois, non seulement il faut par la force donner sa bourse ; mais quand je pourrais la soustraire, suis-je en conscience obligé de la donner ?

Car enfin, le pistolet qu'il tient est une puissance.

Convenons donc que force ne fait pas droit, et qu'on est obligé d'obéir qu'aux puissances légitimes. Ainsi ma question primitive revient toujours. "

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Ah oui, c'est vrai, je dois donner un extrait à mon tour...

Alors...

Faites dorer au beurre dans une cocotte le poulet coupé en morceaux, les pommes de terre en cubes et les fonds d'artichauts en tranches épaisses; salez, poivrez, mouillez avec le bouillon, couvrez et cuisiez sur le feu ou dans le four. Coupez les oignons en rondelles épaisses; roulez-les dans la farine, jetez-les dans la friture très chaude, égouttez-les dès qu'ils sont dorés. Mettez les morceaux de poulet dans un plat creux, entourez avec les légumes et les oignons; saupoudrez de persi haché.
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La fac de droit nous permet de découvrir de grands auteurs, comme Rousseau. J'ai reconnu ce passage car on l'a étudié par rapport à la légitimité de la force en TD et c'est extrait Du contrat social.

A moi, je le recopie directement du livre donc il peut y avoir des fautes.

" - A première vue, il y a pas mal de choses à simplifier... On peut déjà lui enlever ses deux machins, là, les seins... Ils ne lui serviront plus puisqu'elle n'allaitera plus ...

- Brute ! Sauvage ! Clavier ! Circuit borné à ton propre parcours ! Comment oses-tu Me proposer une telle monstruosité ? Il y a bien longtemps qu'ils ne servent plus à ce pour quoi Je les avais inventés. Sans eux les mains de l'homme auraient perdu toute curiosité et son coeur la moitié de son bonheur.

-Quelle est l'autre moitiée, Dieu ?

- Il y a beaucoup d'autres moitiés... Mais Moi-même Me suis conduis comme une brute en ne pardonnant pas à cet enfant d'avoir mangé la pomme de l'Arbre, alors qu'en échange elle offrait ces deux-là... N'y touche pas, machine !

-Bon, bon, d'accord... C'est une réaction instinctive. Moi, Vous savez, l'inutile...

- J'en ai mis partiut sur la Terre, heureusement (...)

-Alors qu'est-ce qu'on fait ? On intervient où ? Devant, derrière ? Si on enlève rien, on ajoute ?

-Quest-ce qu'vous avez à m'reluquer comm'ça tous les deux ? Vous êtes bien tous pareils, même ici, c'est as croyab'

-Je crois qu'il faudrait intervenir au niveau du cerveau...

- Pas de doute... Comme pour lui... En faisant attention de ne pas lui donner trop de malice... Elle en a déjà beaucoup...

- (...) Un oeil sur la nuque ?

- Inutile. Elle sait toujours ce qu'il se passe derrière elle.

-Le septième sens ?

- Elle n'a pas besoin de connaître les pensées des autres : elle les devines. (...)

-Des ailes ? Une queue ?

- Abîmer ce dos superbe, qui se creuse comme une vague d'été ? Jamais !

(...) Viens ma toute belle, (...) Qu'elle est belle ! Ce ventre ni plat ni bombé et courve dans les trois dimensions, ces hanches qui changent d'équilibre à chaque pas, ces cuisses qui les supportent, ces flancs qui les continuent, rien que des courbes (...)

-Il me sembke... que je sens se dresser en moi un petit calculateur !...

- Bravo !... Je n'ai pas besoin d'autre épreuve. Je n'y touche pas, (...). Elle est parfaite. C'est ce que j'ai fais de mieux..."

Voilà mon passage préféré d'un ouvrage que j'aime d'un auteur que j'adore, trouvez maintenant :yes:

Edit : Grillé le temps que je tape l'extrait :transpi::pleure::oops: Mais répondez s'il-vous-plaît :byebye::roll:

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Non je n'adore pas Tolstoï :oops:

Et en effet ça ne lui ressemble pas trop :transpi:

Pensez à ce qu'en arrive l'auteur, la "morale", les sentiments de l'auteur, la situation etc...

Et non pas de moi... malheureusement, quoique je suis en train d'écrire un texte pas mal, mais vous verez plus tard :pleure:

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C'est une scène biblique... La création de la femme, moitiée de l'homme. Mais ce n'est pas LA BIBLE ! :transpi:

Pour le style, c'est moderne, sans aucun doute. Auteur contemporain.

Celà pourrait être un surréaliste, mais je ne pense pas. C'est assez science fiction avec la référence au clavier.

Et c'est issue d'un roman, pas d'une pièce de théâtre. Les personnages sont Dieu ou un créateur qui se fait passer pour dieu, la femme et un robot ! Je crois que l'on a le droit à une re génèse.

C'est probablement d'Asimov...

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Tu approches ! Si tu arrives à m'expliquer pourquoi tu le trouve imbu de lui-même, tu avancera d'un pas de géant vers la solution !

J'ai pas assez de culture d'auteurs pour deviner, en plus je lis des livres et j'oublie qui les a écrit :transpi:

Comme gars imbu de lui-même, y'a bien Freud, mais bon, je doute qu'il ait écrit ce genre de chose (ne serait-ce que parce que ce texte semble contemporain).

Non, je ne pourrais jamais trouver, je manque de base sur ce style d'écrivain.

Alors Vlad tu trouves pas ? :yes:

Edit : en même temps, j'ai l'impression de lire Franck Herbert d'un côté, mais pas totalement (donc c'est pas lui :non: ).

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