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La veritable origine de l'overclocking


bigbernie

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L'origine de l'Overclocking.

Malgre son passage ensuite dans le langage professionnel anglo-saxon, ce mot est d'origine bien de chez nous. Comme "rendez-vous" ou "conoisseur".

Pénétrons plus profondement dans le fondement même du sujet avec tout le doigté nécessaire.

Pendant longtemps il était d'usage chez les gueux dès la "Gaule d'en Bas" comme l'avait relevé le célèbre groniqueur Raffarinus, lorsque l'époux avait engrossé sa femme il claironnait à tous vents "Je l'ai mise en cloque". Expression tombée en désuétude de nos jours par défaut d'élégance, nous devons en convenir mais ce n'était après tout que la deformation populaire de la fameuxe maxime "afin d'avoir la cloque il faut d'abord avoir la gaule".

Cette expression triviale a néanmoins perduré jusqu'au jour récent ou un informaticien français s'est aperçu qu'en multipliant la frequence de ses rapports, il arrivait a obtenir un résultat final incrementé step by step de 2 jusqu'à 6 (maximum théorique chez l'humaine mais évidemment pas chez la lapine, même occulte). En restant bien entendu dans les multiplicateurs entiers N car il est extremement difficile sinon impossible de faire 2,1 enfants a sa femme lorsque l'on ne trouve pas la virgule.

A notre epoque l'algorythme de Cantharide* (espagnol ombrageux qui prenait souvent la mouche) était dépassé vu les risques encourus et il avait utilise celui de Coudrin qui, comme chacun sait, peut prendre 2 positions pinaires. Bit a zero = "Petit Coudrin" = pointeur vers le bas, sinon bit a 1 = "Grand Coudrin" = pointeur en position azymuthale.

Donc c'est depuis cette découverte, qui n'a rien de négligeable même comparée à l'invention du fil à couper le beurre, que dans le milieu informatique on ne dit plus "j'ai mis mon épouse en cloque" mais "je l'ai ovaire-cloquée". Les anglais selon leur habitude nous ont volé l'expression et en ont fait overclocking.

Comme il était précisé dans le "Rasoir d'Occam*" lorsque l'on cherche une explication, c'est la plus simple qui est la plus vraie.

* William d'Occam, franciscain philosophe du 13ème (Métro Place d'Italie).

* Cantharide ou Lytta Vesicatoria. Mouche espagnole dont on tirait la poudre du meme nom et qui a coute par exemple la vie au President Felix Faure qui l'utilisait pour honorer Mme Steiner.

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Je n'ai fait que 2 élucubrations du même genre a cette epoque. Je ne suis pas comme Alain Remond qui dans Marianne chaque semaine sort une page d'exercice de style loufoque.

Sur ma lancee je donne le second exercice jamais ressorti depuis 3 ans. C'est vrai qu'il y a de quoi avoir honte non ?

L'origine de certaines rues parisiennes.

Dès le haut Moyen Age et jusqu'à l'orée du 19° siècle, le langage était beaucoup plus cru, certains dirons naturel, que maintenant. En ces temps là, on appelait un cul un cul. On en retrouve les traces dans cul-de-basse-fosse et cul-de-bouteille.

Une maison close jadis s'appelait un bourdeau (qui a donne bordel) et point "maison de tolérance" ou "close". Du moins jusqu'a l'avènement du ministre Marthe Richard qui en a gardé le surnom de "La veuve qui clôt" puisqu'elle a clôt en 1945 ces maisons ou le champagne coulait à flôt et qu'elle était veuve. Logique irréfutable !

L'épuration bienséante s'est appliquée également aux anciens noms de rues. Tout ce qui avait un rapport au sexe avec les mots crus d'antan a été remanié.

Donnons quelques exemples avec des rues parisiennes.

La rue du "Petit Musc" est la déformation de la rue "La pute y muse". En français convenable, la péripatéticienne s'y promène.

La rue du Pelican s'appelait la rue "Du poil au con". Pelican est bien plus séant.

La rue Reaumur était celle ou les officiantes attendaient a l'air libre et point en bourdeaux. Elles s'appuyaient sur le mur des maisons. Voila pourquoi les clients parlaient de la rue "Raie au mur".

La derniere est beaucoup plus évidente. Comme il y avait des filles en bourdeaux de grande qualité (qui ont perduré a Paris jusqu'à Marthe Richard donc avec les fameux "One Two Two" "Chabanais" et "Panier Fleuri"qui faisaient la grandeur et la reputation internationale de notre capitale à cette epoque) et des filles pour le commun des mortels qu'on appelait des "filles publiques", la clientele populaire se rendait donc a la "Place de la raie publique".

Un peu de littérature et de connaissances historiques élève de beaucoup le niveau cul-turel de chacun et nous change de l'informatique

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Donc d'après cette logique on a été overclocké d'origine, puisqu'on est la continuation d'un abus (on ne sais jamais si on va sortir 9 mois pile après le coup de phallus, l'horloge n'a pas d'heure):chinois:

Ça se tient, quand on vois certains problèmes à la naissance, avec des parents complètement barges sortis d'usine... (pour gagner plus CQFD).

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