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[RESOLU] La lettre de Guy Môquet


Batteur92

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Là où ça en devient grotesque, c'est quand par dessus le marché, on préfère nier le communisme de ce jeune garçon pour le remplacer par du patriotisme, et qu'on essaye de fourrer ça dans le crâne des gamins (désolé pour les gamins qui lisent pci).

le communisme à l'époque n'avait rien à voir avec ce que notre génération a connu, et il ne faut pas confondre patriotisme et nationalisme

"Mais ce que je souhaite de tout mon c½ur, c'est que ma mort serve à quelque chose"

voila sa mort aura servi à quelque chose :

à alimenter une polémique qui n'avait pas lieu d'être

je ne crois pas que c'était son but :yes:

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J'aimerais signaler une chose très importante que tout le monde semble oublier :

Ce ne sont pas les partis politiques qui font l'histoire, mais les individus; qui se rappelle de quel parti étaient les politiciens du 19ème ou du 18ème siècle? peut être quelques passionnés d'histoire? et encore! le concept de gauche et de droite de l'époque n'avait rien à voire avec la vision qu'on en a aujourd'hui!

Gui Môquet mérite sa place dans nos écoles par ses actes, et non par son parti politique. A l'époque où il a été arrêté et exécuté, le parti communiste était très ami avec le parti Nazi, tout simplement parceque l'allemagne et l'URSS n'étaient pas encore entrés en conflit. Ne pas oublier non plus qu'en France, il y a eu un peu moins de 50 000 résistants, et des millions de collaborateurs... Le président Mitterand a fait parti de ces collaborateurs, et il était de gauche... ce qui ne l'a pas empêché de devenir un président qui aura marqué (parfois en bien, parfois en mal) l'histoire de la France...

Dans une centaine d'années à peine, personne ne se rappellera si Mitterand était de gauche ou de droite; la mémoire collectif se rappellera juste que c'est le président qui aura aboli la peine de mort, et qui aura ruiné l'économie Française.

Voilà... tout ça pour dire qu'il n'y a pas de quoi faire un polémique sur la lettre de Guy Môquet... Peu importe son parti politique... ce ne sont pas les partis qui font l'histoire, mais les individus.

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Bah à partir du moment où on dit que les profs râlent parce que ce sont des salauds de gauchistes, d'une certaine manière c'est politiser le problème :transpi:

Le souci c'est que si y'avait que les profs, même les historiens ne voyaient pas trop l'interêt du truc. Enfin c'est surtout le choix de Guy Moquet qui est surprenant et passablement mauvais à mon sens (et au sens des historiens également), parce que dans l'absolu c'est un jeune de 17 ans capturé par les allemands puis fusillé, jeune de 17 ans qui distribuait des tracts communistes.

Je vois mal le symbole personellement c'est tout, que ce soit une histoire émouvante certes, mais bon un symbole...

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ouai tu marques un point...

par contre, moi je ne dis pas que les profs c'est des salauds de gauchistes... j'ai déjà eu aussi des profs très à droite, comme Lionel Lucas qui est député UMP et qui était mon prof d'histoire géo au lycée...

mais je le condamne tout autant que les profs de gauche : les élèves n'ont pas à subir les tendances politiques des enseignants...

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c'est un jeune de 17 ans capturé par les allemands puis fusillé, jeune de 17 ans qui distribuait des tracts communistes.

bonsoir,

ce qui est étonnant, c'est qu'on ne parle jamais des tracts que distribuait ce jeune homme...des tracts qui fustigeaient non seulement Vichy, mais aussi De Gaulle et le capitalisme y compris celui "des Juifs et Francs Maçons".

Le moins que l'on puisse dire, c'est que c'est assez ambigu, surtout quand on présente ce jeune homme comme résistant, alors qu'on connait la position du PCF lors de l'arrestation.....le PCF était tout sauf résistant à l'époque.

Je donne rarement de liens, mais voici un résumé lycéen

"Vous qui restez, soyez dignes de nous. Les vingt-sept qui allons mourir "».

Guy Moquet.

Logique de la guerre ou odieuse pratique de la désignation des 27 otages qui furent fusillés en représailles à la mort d'un officier allemand. La dernière lettre de Guy Môquet, « Ma petite Maman chérie, mon tout petit frère adoré, mon petit Papa aimé... », et puis la carrière qui semble s'ouvrir pour raconter encore et sans arrêt le drame. Les vingt-sept fusillés sont là; neuf groupes de trois stèles, comme neuf poteaux d'exécution, qui portent les photos et les noms des martyrs. La statue leur fait face. Elle est d'une lumineuse blancheur recevant le moindre rayon de soleil. Six hommes au poteau d'exécution. Six corps qui font face à la mort et lorsque l'un s'affaisse, un autre le retient. Six corps face à l'éternité. La statue est posée sur une vague percée d'alvéoles qui contiennent une poignée de terre des principaux lieux de la Résistance française. Union du courage et du martyre. L'histoire est en marche.

Le 22 octobre 1941, vingt-sept patriotes étaient fusillés à deux kilomètres de Châteaubriant, dans la carrière de la sablière située sur la route de Laval.

Ils faisaient partie des nombreux détenus du camp de Choisel, résistants, communistes, jugés subversifs, otages du cynisme et de la barbarie que les nazis pouvaient fusiller à chaque instant, au moindre prétexte. Otages de l'arbitraire.

Le 20 octobre 1941 à 7h45, le jeune franc-tireur Gilbert Brustlein tire deux coups de feu dans le dos du militaire le plus gradé de la Wehrmacht à Nantes, le Feldkommandant Karl Hotz. S'il reste du flou autour de l'origine de cet acte, il n'en demeure pas moins l'occasion donnée aux nazis de déclencher un drame: la mort de cinquante otages pour venger celle d'un homme.

Vingt-sept de ces otages sont ceux de Châteaubriant. Le ministre de l'intérieur de Vichy, Pierre Pucheu a participé à la désignation des victimes en les présentant comme « les internés communistes les plus dangereux » du camp d'internement politique de Châteaubriant, ceux de la baraque « 19 ».

Pour donner un sens à leur mort, ces hommes se réunirent la nuit précédant leur exécution et c'est le député communiste de Paris, Charles Michels, qui proposa qu'à l'appel de leur nom, ils sortent en chantant la Marseillaise et que tous leurs camarades chantent avec eux. Ils le firent faisant le sacrifice de leur vie pour la revanche de leur Patrie sur l'ennemi.

Trois camions ont conduit les otages à la carrière. A trois reprises, neuf vicimes ont été placées devant les poteaux d'exécution face à quatre-vingt-dix bourreaux. Et toujours ils ont eu le courage de chanter la Marseillaise, interrompue seulement par les salves des fusils. Ils avaient refusé d'avoir les yeux bandés. L'un d'eux, le métallurgiste parisien Timbaut lança à la face de ses fusilleurs « vive le parti communiste allemand ! », cri lourd de signification politique.

Contrairement aux espérances des nazis qui souhaitaient faire de cet épisode (l'un des plus sanglants de la répression allemande) un exemple national afin d'affaiblir la résistance montante qui devenait préoccupante, le détail du comportement héroïque et patriotique des vingt-sept fusillés fit écho dans tout le pays et même à l'extérieur malgré la censure instaurée par les nazis.

De la liste des otages fusillés, nous nous proposons d'extraire deux noms en particulier.

- Guy Môquet tout d'abord parce qu'il était le plus jeune, parce qu'il est peut-être également le plus connu, parce que son nom et son visage sont comme le flambeau de la carrière de Châteaubriant.

Fils du député communiste de Paris, Prosper Môquet, déchu et condamné à cinq ans de prison pour avoir approuvé le pacte germano-soviétique, Guy Môquet était lui même militant aux jeunesses communistes. Arrêté en octobre 1940 pour avoir, avec d'autres étudiants patriotes, manifesté contre l'occupant et le gouvernement de Vichy, il fut incarcéré à Fresnes, à la Santé puis à la centrale de Clairvaux, avant d'être transféré à Châteaubriant le 15 mai 1941. Ce grand garçon à la carrure athlétique, au regard pétillant d'intelligence, garda intacts son courage et sa foi malgré ces longs mois d'incarcération. « J'ai devant les yeux le beau visage de ce jeune homme de dix-sept ans déclare l'abbé Moyron, curé de Béré qui a conversé avec les détenus et reçu les dernières lettres; j'entends sa déclaration : je laisserai mon souvenir à l'histoire car je suis le plus jeune des condamnés ». Au camp de Choisel, quand ils sortirent un à un, le docteur Ténine interpella l'officier nazi : « c'est un honneur pour un Français de tomber sous les balles allemandes... », puis désignant Guy Môquet qui le suivait : « mais c'est un crime de tuer un gosse ». Guy répondit fièrement : « laisse Ténine, je suis aussi communiste que toi ». Toutefois, sur le lieu du supplice, il s'évanouit avant d'être fusillé. La lettre qu'il écrivit à l'intention de sa famille juste avant sa mort témoigne de son fervent patriotisme. Elle porte sa lucidité et saforce lorsqu'il appelle sa mère au courage, mais lorsqu'il embrasse sa famille, c'est bien un enfant qui va mourir.

Sous l'occupation, le nom de Guy Môquet fut donné à des maquis ainsi qu'à des bataillons de FTP. Gloire de la jeunesse française, il fut nommé chevalier de la légion d'honneur à titre posthume. Son nom est aujourd'hui donné à des rues et à des établissements scolaires.

- Le second nom que nous nous proposons de retenir est celui de Marc Bourhis. En octobre dernier, un article faisait allusion à ce résistant fusillé et à la difficulté du travail de mémoire quand se mêle à l'aléa du temps qui passe l'intolérance politique. Marc Bourhis était originaire de Trégunc sur la route de Pont-Aven dans le Finistère où il était instituteur avant que n'éclate la guerre. Il avait adhéré au Parti communiste en 1930 sous l'influence de son camarade Pierre Guéguin, futur maire de Concarneau (fusillé en même temps que lui à Chateaubriant). En 1933, il rompit avec le PCF pour rejoindre les rangs des organisations trotskistes, devenant ainsi aux yeux de ses anciens camarades un traître à la cause. Arrêté et interné au camp de Choisel en 1940, il fut mis en quarantaine par ses codétenus, régime auquel fut également soumis Pierre Guéguin qui avait dénoncé le pacte germano-soviétique. Longtemps, le PCF a nié les faits mais ils ont été reconnus en 1991 par Fernand Grenier, ancien interné de Châteaubriant et ancien ministre du général De Gaulle. La quarantaine s'est en fait maintenue après la mort de Marc Bourhis. A Concarneau en effet, sa mémoire a été ignorée. Le 19 octobre 1945, un meeting de la IVème Internationale rassembla à Concarneau plus d'un millier de personnes autour de la veuve de Pierre Guéguin et du père de Marc Bourhis. On fit peu de cas de la douleur des familles et certains militants manifestèrent violemment leur opposition à la mémoire des deux hommes. Un nouvel incident du même type survint en 1949. Si Pierre Guéguin fut réintégré dans la mémoire communiste, Marc Bourrhis n'eut droit qu'au mépris. En octobre dernier, le maire Socialiste Charles Linement a écrit au PCF local : « Personnellement sollicité par lettre, je n'ai pas cru devoir répondre à l'invitation qui m'était adressée pour les raisons suivantes : Le cimetière de Concarneau a le triste priilège d'abriter les restes de Pierre Guéguin et de Marc Bourhis unis dans le dernier sacrifice comme ils le furent dans la vie. En tant que maire de la ville, je ne pouvais admettre qu'une cérémonie ne se déroulât qu'à la mémoire de l'un d'eux. Chacun a le droit à notre égale reconnaissance. Les dirigeants de l'Union locale CGT l'ont du reste si bien compris que dans le communiqué de presse ils associaient les noms des deux martyrs. Pourquoi le PCF ne les a-t-il pas suivis dans cette voie ? Serait-ce parce que sur la tombe de ce fervent syndicaliste qu'était Marc Bourhis se trouve une plaque indiquant sa qualité de membre du PCI (Parti communiste internationaliste)?

Aujourd'hui, la plaque du cimetière de Concarneau ne porte plus la mention de l'appartenance politique de Marc Bourhis. La tombe a la sobriété de son existence : quatre longues pierres de granit, du gravier, la plaque de marbre et une silencieuse nudité.

Le cas de Marc Bourhis est peut-être un signe. La pierre est-elle suffisante pour que se perpétue le souvenir ? Et de quel droit pouvons nous choisir, nous qui vivons, de mettre au ban de la mémoire collective un homme exécuté qui a eu un courage dont nous ne serions peut-être pas capables ?

Châteaubriant1

Je cite cet exemple car ce Marc Bourhis, à mes yeux, est digne historiquement d'être connu.Un ami historien y a consacré un livre, et, plus simplement, il est de ma petite commune de naissance, l'école porte son nom...mais il a été oublié, lui et Guéguin.Ils furent aussi fusillés à Châteaubriand, pourtant.

Tous deux, faits rarissimes à l'époque, avaient pourtant pris leurs distances avec le PCF et sa doctrine officielle, en rejetant le pacte germano-soviétique...ils furent de vrais résistants, ce que n'a pas été le jeune Mocquet d'ailleurs.

Ce qui est triste, c'est de voir que ce dissident du PCI (non, non, pas de forums informatiques à l'époque) a été volontairement effacé de la mémoire officielle par ses propres camarades de parti car "politiquement incorrect".

Mon ami, lors de son enquête sur les règlements de compte communistes en interne, m'avait déjà fait part de ce qu'il trouvait honteux...Marc Bourhis avait eu la possibilité de fuir et d'échapper à la mort, mais il avait tenu à accompagner son ami Pierre Guéguin jusqu'au peloton d'exécution.

S'il y avait un héros (mais je n'aime pas ce mot) à Châteaubriant, c'était lui, en ce cas.....mais son nom a été effacé des tablettes de l'histoire car n'étant pas communiste orthodoxe.

Châteaubriant2

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Il l'ont pas lu dans tout les lycée la lettre de Guy :chinois:

Ils ne l'ont pas lue dans tous les lycées la lettre de Guy :-D

Désolé mais là j'ai pas pu résister...

Ouais ben va jusqu'au bout alors 8)

Sinon, rebondissement aujourd'hui en cours d'histoire, la prof ne l'ayant pas lue hier, nous l'avons imprimee et posee discretement sur son bureau. Lorsque quelques eleves ont feinte de la voir, elle a refuse de la lire. Apres pressions de toute la classe, elle l'a lue, mais on sentait qu'elle evitait de contourner ... En plus elle a eu du mal a ne pas dire du mal de sarkosy :p

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Il l'ont pas lu dans tout les lycée la lettre de Guy :transpi:

Ils ne l'ont pas lue dans tous les lycées la lettre de Guy :D

Désolé mais là j'ai pas pu résister...

Ouais ben va jusqu'au bout alors :D

Sinon, rebondissement aujourd'hui en cours d'histoire, la prof ne l'ayant pas lue hier, nous l'avons imprimee et posee discretement sur son bureau. Lorsque quelques eleves ont feinte de la voir, elle a refuse de la lire. Apres pressions de toute la classe, elle l'a lue, mais on sentait qu'elle evitait de contourner ... En plus elle a eu du mal a ne pas dire du mal de sarkosy :dd:

C'est dommage ce que vous avez fait, pour une fois que quelqu'un n'écoute pas comme un âne les directives de ce mec. :dd:

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Apres pressions de toute la classe, elle l'a lue, mais on sentait qu'elle evitait de contourner ... En plus elle a eu du mal a ne pas dire du mal de sarkosy :transpi:

Bonsoir,

C'est cela qui est dommage en France: tout devient sujet à polémique très rapidement...car qu'on ne se leurre pas, les enseignants y sont bien plus opposés, à cette lecture, par choix politique que par conviction historique....

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Sinon, rebondissement aujourd'hui en cours d'histoire, la prof ne l'ayant pas lue hier, nous l'avons imprimee et posee discretement sur son bureau. Lorsque quelques eleves ont feinte de la voir, elle a refuse de la lire. Apres pressions de toute la classe, elle l'a lue, mais on sentait qu'elle evitait de contourner ... En plus elle a eu du mal a ne pas dire du mal de sarkosy :zarb:

Pardon de dire ça comme ça.... mais je trouve ça assez minable de la part de certains profs (pas tous, heureusement...) d'essayer de faire passer leurs opinions politiques à leurs élèves...

C'est franchement comme si un prof se mettait à raconter en cours d'histoire que le régime de Vichy était sympas et qu'on serait beaucoup mieux sans juifs si les Allemands avaient gagnés...

ok ma comparaison est bancale, mais c'est vraiment du même ordre...

ok guy moquet n'était qu'un gamin qui a été arrêté pendant qu'il distribuait des tractes; il a été exécuté simplement parcequ'à l'époque, pour un allemand tué, le régime exécutait un certain nombre de prisonniers et que notre guy n'a pas eu de bol. à l'époque, le PCF n'était pas résistant, puisqu'il y avait un front germano-russe... donc, la référence est vraiment pathétique... d'accord.

Mais le ministère a dit qu'il fallait la lire, DONC il fallait la lire, POINT! c'est pas aux profs de décider quels parties du programme ils vont enseigner aux élèves quand même...

PFFFF ça devient vraiment une chianlie anarchique en ce moment... chacun s'imagine qu'il peut faire tout ce qu'il veut... si on a instauré des règles et des lois, c'est tout de même pas pour les chiens! :yes:

dura lex, sed lex.

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Mais le ministère a dit qu'il fallait la lire, DONC il fallait la lire, POINT!

Totalement en désaccord :yes: Alors si je comprend bien, il aurait fallu que de Gaulle ferme sa gueule à cause de l'Accord justement de Vichy. Ne me dis pas que ce n'est pas du même ordre, tu demandes d'obéir à un ordre sans réfléchir ou critiquer.

Tu va beaucoup trop loin cette fois dans ta croisade "Les gens de gaugauche blablabla". T'es de droite ok, moi aussi je suis plutôt à droite en tout cas en ce moment. Mais ce n'est pas parce que tu t'affiches de droite qu'il faut que tu craches sur ceux que tu considère de gauche à chaque fois que tu en a l'occasion.

Et puis si ce n'était controversé que par les professeurs, ce serait déjà ça. Je suppose qu'à enseigner l'histoire on la connait un peu. Mais ce sont aussi les historiens qui l'a conteste.

Moi je vis pas dans votre pays avec le président que vous avez élu, mais je sais reconnaitre des conneries quand j'en vois (Obliger de lire cette lettre). Les ministères de l'éducation doivent donner des directives claires par rapport au compétences ou connaissances souhaité dans tel et tel domaine. La méthode pour l'enseigner pour le faire doit être du ressort des profs. D'après ce que je comprends, ça vient directement de M. Sarkozy, c'est encore pire. Pas parce que je l'aime ou pas, mais j'appelle ça de l'ingérence politique dans des ministères. Mais j'ai peut-être été mal informé, si c'est le cas oubliez ça.

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