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Histoire sans fin, ou fin de l'Histoire ?


Nicolas.G

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Voilà, ceci est une partie de la surprise, l'autre viendra de main aux alentours de 11h15, mais j'ai rien droit de dire... :craint: Je vous propose juste de pousuivre l'histoire telle que je l'ai commencée, en y ajoutant les idées qui vous viendront, qu'elles soient farfelues ou complètement barrées...

Enjoy, et à demain pour la suite... :smack:

Il était une fois, dans un lointain pays, peuplé de fées aux ailes diaphanes et de lutins facétieux, une princesse. Comme toutes ses semblables, elle travaillait peu, voire pas, excepté lorsqu'elle réunissait des photos de ses soirées privées pour les mettre sur son skyblog (qui a dit que dans ce pays lointain et imaginaire, il n'y avait pas le Net ? Sectaires que vous êtes...). Sa garde-robe comptait des vêtements plus resplendissants qu'un fond d'écran Mac : jupes en éclats de Lune, chemisiers mouchetés de poudre de comète, strings en étoffes de vers à soie... Elle jouait avec les animaux, qu'elle aimait beaucoup, et les nourrissait de mets somptueux et non de restes, encore que dans cette contrée, même les restes avaient le goût nacré de festins somptueux et nacrés.

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De sa fenêtre, collines verdoyantes, fleurissantes, et chants d'oiseaux mélangés aux éclats dorés du soleil, venait enchanter sa belle et douce matinée. Servantes et gardes venaient comme chaque matin, en rang devant le long et large couloir qui précédait ces appartements, souhaiter une bonne journée à sa majesté.

Elle était de taille moyennes, mince, avec de longs cheveux bleu éclatants de beauté, doux au toucher, ces yeux verts, paisibles, relatant toute la sagesse de la nature, qui a pu sculter ce corps si parfait, ce visage inocent et fièr. Avec toute la grace qui caractérisais sa personne, la princesse se leva, salua ces serviteurs, pris son petit déjeuner, et sortie faire un tour dans ces vastes propriétés.

Joyeux était le sol de porter une telle beauté sur son dos, le soleil, envoyait ces rayons doux éclairer cette face joyeuse, le vent se transformait en brise, venait carreser cette peau si douce en faisant dancer ces cheveux sur les rithmes des oiseaux et des chuchotement des arbres.

On dirait que la présence de ce corps, le sourire de ces lèvres, suffisait à embélir les lieux de bonheur et de joie de vivre.

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Tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes, pensait-elle.

C'était sans compter le destin et la facétie des Dieux. Un beau jour de printemps, toute sa vie bascula en un instant.

La journée commença la plus normalement du monde : c'est emplie d'un doux ennui, propre à toutes les fées de ce monde, que la princesse fut tirée de ses rêves. Monotone réveil, lassitude permanente, la princesse se trouvait dans un état habituel de douce dépression.

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(tiens ils ont reçu leur commande d'héroïne à PCI) edit : à ne pas prendre un compte :up:

Quand un nuage menaçant s’approcher de sa gracieuseté, sa semence mouillée se transformait en pluie de diamants brillants, tombant aussi poétiquement qu’un flocon de neige sur les ailes d’une fée.

Nous étions un mercredi au royaume de Toukilébo et comme chaque fois en ce jour bien précis, notre belle et douce reine partait en forêt à la rencontre des animaux qui la peuplait accompagné de son fidèle conseiller, l’éternel galopin : Monsieur Lapin.

edit : t'es chiant Tramway j'ai même pas pu poster mon truc ;)

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Une fois passé le firewall de son chateau, elle eut soudain un étrange préssentiment. Alors que d'habitude une foule d'oiseaux et de chats [les espèces dominantes dans le monde de toukilébo] se pressait vers la princesse pour recevoir caresses et calins, il n'y avait aujourd'hui aucun animal qui attendait sa venue.

La princesse se mit à pleurer de déespoir, en ressassant une nouvelle fois les mots qu'elle aimait à se dire devant sa glace le soir, après le passage dans sa chambre des princes des différentes contrées qui étaient venus là pour profiter des charmes de la Belle : "J'en étais sur, personne ne m'aime, je voudrais mourir !! Je les hais tous !!"

"Cela arrivera sans doute bientôt !" siffla une voix qui semblait provenir du grand Chêne millénaire. S'approchant de ce chêne avec toute la prudence requise par une jeune princesse tout seule perdue en pleine forêt, elle aperçue bientôt un vieux poulet de Bresse au pied du tronc.

"Qui es tu donc, espèce de poulet de Bresse, pour souhaiter la mort d'une princesse ?"

"Je ne te souhaite pas la mort, j'ai simplement dit que tu va sans doute crever princesse"

"Dis moi en plus !"

"Une épidémie, une terrible épidémie... c'était un cauchemard. Cela a commencé par les cignes sauvages. Puis par les poulets de basse cour. Puis les chats ont été touchés par le mal. Et puis les humains..... Une terrible épidémie !"

Au moment où il prononçait ces derniers mots, la princesse remarqua que le galopin Monsieur Lapin se trouvait dans un état bizarre. Lui, toujours si prompt à faire l'idiot [ :transpi: ] s'était revêtu d'une couleur verdatre qui ne sied guère aux lapins malins !! Il tituba, déposa une grosse flaque de vomi, et s'étendit tout du long, comme abbatu par une balle de revolver, brusquement ! Dans un dernier spasme, il réussit à prononcer ces quelques mots :

"Le h5N1 m'a tuer"

La princesse hurla !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! La mort la guettait !! Si jeannot lapin y étais passé, alors il y avait des risques pour sa santé !

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Devant ce mal sans cesse grandissant, la princesse du retourner au chateau pour réunir de toute urgence le conseil des mages et sorcières du royaume.

Les interessés étaient réunis dans une grande salle sombre, à peine allumés par quelques chandelles dispercés dans les 4 coins de la pièce. La réunion se tenait autour d'une table ronde, les plus importantes personalités politiques du pays étaient aussi présentes. La princesse commença le débat:

--"Messieurs, dames, je suis heureuse que vous ayez répondu à mon appel, comme nous le savons tous, le pays encourt un grand danger qui menace aussi le monde, une épidemie qui a commencé par atteindre les volatiles, a commencé à atteindre aussi nos animaux, et bientôt nos hommes. Je vous ai rassemblé ici, pour mettre au point un procédé rapide et efficace, pour lutter contre cette épidemie qui menace plus que jamais notre peuple. Quelqu'un a t-il une proposition à faire?"

Le chef des mages -surnomé aussi le sage- demanda de prendre parole, et dit ceci:

--"Dans notre beau pays existe une fleur très rare, d'après des manuscrits anciens elle existe dans les montagnes au nord, et est nécessaire pour fabriquer une potion miracle capable de nous sauver tous."

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