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Urgence Rédac à finir avant 21h30 grand MAX


bg92

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Si quelqu'un rouille la je voudrais bien qu'il m'aide dans ma rédac S'il vous plait soyez solidaire !!!

Le Sujet : En vue d'une collecte pour des enfants démunis vos parents vous ont demandé de faire un tri parmi les jouets qui trainent dans votre coffre.

Dans un récit à la première personne, évoquez les souvenirs que vous rapelle l''un de ces jouets et ce que vous avez éprouvé en le retrouvant

Consignes : Votre devoir comprendra une 1ère partie où vous évoquez le tri des jouets (utilisez le passé simple) puis la deuxième partie du devoir comprendra un FlashBack pour évoquer ce que vous rappelle ce jouet (utiliser plusieurs fois le plus que parfait)

Voici ce que j'ai déja fait : C'est en rangeant notre cave que ma mère retrouva mon vieux coffre à jouets.

Ma mère m'ayant parlé récémment d'une collecte de jouets pour les enfants démunis me proposa de les trier et de les donner à la collecte.

Aussitot dit aussitot fait. Je commençais de les trier; entre les petites voitures les peluches, mes fusils, mes power rangers, mes jouets Macdo etc...Au bout d'un certain temps une peluche me rappela des souvenirs de mon enfance...ce fut mon doudou PneuPneu.

Merci de me donner conseil.

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heu... j'aurai du mal a te donner des conseils sur des souvenirs que pourrait remonter une peluche :up: parles moi Transformers, GI Joe, Musclor, Playmobil, Lego Technics, TCR, etc... là vui mais des peluches, j'en avais qu'une et c'était juste pour dormir...

Plus serieusement, je pense qu'il s'agissait d'un doudou, un truc que t'emmenais partout. Racontes donc une histoire, un jour particulier qui t'es arrivé...

Mais au fait, c'est vrai cette histoire ou c'est imaginé juste pour ta redac? Si c'est imaginé, prends n'importe quoi comme histoire que t'aurai vu dans un film/Serie/DA/Bouquin/etc... et remplace le personnage par toi. Si c'est vrai ben ennonces déjà des souvenirs et après on verra comment les structurer en redac..

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Je suis allongé sur un alligator qui me parle, je l'entend vaguement me parler de problème métaphysique. Etant donné que je suis allongé sur son dos, je ne le vois pas vraiment mais je sens sont dos recouvert de bosse et d'imperfection qui si je ne me bouge trés vite, finirais par avoir des effets néfaste sur mon dos, courbatures et autres problèmes. Je me lève et me déplace vers la porte rose couvert de petit pois vert qui me permettra de quitter cette pièce. Je me retourne pour jeter un coup d'oeil à cette alligator et remarque qu'il porte un ridicule chapeau haut de forme, des pates à l'anglaise qui lui donne un visage (assé humain je trouve) serieux. Il ne semble pas que avoir vu que je n'étais plus sur son doset il ne montre aucun signe de gène, au contraire il continu sur sa lancé et parle maintenant de la gravité.

Je me dirige vers la porte rose à pois vert quand j'entend une voix qui m'appelle :

"-Alexis ! Aleeexis ! Il est près de 10h30, il est l'heure de se lever mon garçon ! "

je marmone quelque mot qui sont étouffé par mon coussin. J'entend alors la même voix qui crie maintenant :

"-ALEXIS ! DEBOUT !

-Ouais ouais je me lève, pas besoin de crier"

J'entrouve les yeux, regarde vers ma gauche, le flou, je ferme mes yeux et passe ma main sur mes yeux pour les frotter, chose que je fais pratiquement à chaque réveil. Je cherche à taton mes lunettes, et je les trouve pas loins de mes tee-shirts sales qui traîne depuis un bon moment dans ma chambre. Je met mes lunettes, regarde de nouveau vers la gauche, pose mes yeux vers le reveil blanc qui ne me sert qu'a donner l'heure, pourquoi utiliser la fonction alarme, quand j'ai des parents qui me lève chaque matin. 10h25... j'avais encore 5 minutes. On est samedi et ma mère ne trouve rien de mieux que me réveiller à 10h25.

Je repousse ma couette et je quitte mon lit que je regrette déjà. Si il y'a un lieu que j'aime par dessus tout et une sensation qui me fais réver, c'est bien une couette chaude, un coussin pas trop dur, mais trop mouelleux et une musique de fond, rien de tel pour somnoler.

Je me dirige vers la porte de ma chambre, descend les escaliers. Je rentre dans la salle à manger, prend machinalement un verre, une bouteille de jus de pomme et un paquet de gateau. Je dis bonjour à ma mère et à ma soeur, mon père lui est sorti pour aller réparer son vélo. Je petit déjeune assé rapidement et me déplace lentement vers la salle de bain. Je rentre, allume la radio, balance mon caleçcon dans la panier à linge salle, presque comme un rituel. Je rentre sous la douche et me lave pendant 10 bonne minute, puis je sors, je me sèche les cheveux et me lave les dents. Je m'habille de facon classique, jean et tee-shirt, un tee-shirt rouge ou il y a marqué ciao ciao avec la police de coca cola que mes parents m'ont ramené d'un de leur voyage en Italie.

En sortant de la salle de bain, j'entends ma mère fredonner un air italien, elle est ce que l'on peut dire, une mordu de l'Italie. Elle a pris des cours d'italien, écoute de la musique italienne, et nous prépare souvent des plats italiens, pâte à la bolognaise maison, lasagne maison, tiramisu maison et j'en oubli. Quand je passe à coté d'elle, elle me dit :

"-J'ai recut un message dans la boite au lettre d'Emmaus qui demande si l'on aurait pas en plus des vêtements ancien, des jouets à donner pour les enfants pauvres, je sais que tu as plusieur caisses qui traine dans ta chambres depuis plusieur années, il serait peut être temps de tant débarasser. Il y a aussi des sac de jouet dans le grenier, il faudrait que tu y jette un coup d'oeil si tu peux.

-Ouais pas de souci je vais faire ca."

Emmaus, je sais pas ce qu'il ferait sans ma mère, c'est incroyable le nombre de chassure et de vêtement que ma mère à pu leur fournir. Et maintenant faut leur donner mes anciens jouets ? Tout en maudissant ma mère pour ce qu'elle me demande de faire je me dirige vers le grenier. Pas que je veuille pas les donner, mais bon, ca fait un peut parti de mon enfance quand même. Donc je décide de faire ce que ma mère ma demander, juste histoire de trier ce qui sera donné au malheureux et ce que je garderai en souvenir de nos moments passé ensemble.

Dans ma chambre, il y a une porte qui donne accés au grenier, j'ai pas toujours vécu au grenier, c'est vers 10 ou 11 ans que mon père à réamménagé le grenier pour que je puisse avoir ma chambre à moi, car avant je partageais la même chambre que ma soeur et l'on va dire que cela avait créé des tensions, même si il en reste encore aujourd'hui.

J'ouvre la porte et je rentre dans ce lieu, exigu, qui sent le renfermé et la poussière. Un faible rayon de soleil passe à travers le vélux crasseux. J'enjambe une caisse de carton remplis d'objet destiné à la décoration du sapin de noel. Je ne sais pas comment ma mère et mon père on réussi à entasser autant de chose dans un endroit aussi petit, on peut y trouver, 3 males comment on en voit dans les colonies qui renferme toute sorte d'habits que ma mère n'a pas encore remis à Emmaus, on y trouve aussi des dizaines de boite à diapo que mon père à fait lui même depuis qu'il fait des photos, des pots de mousse à rasé remplis de pièces de 5 centimes, car mon père fait collection de ces pièces depuis qu'il est petit. On y trouve encore des vielles photos dans des cadres ovales couverts de poussières, qui représente mes arrière grands-parents, deux matelas, des caisses remplis de papier pour les impôts...

Dans tout ce bric-à-brac, je trouve un sac plastique où je vois dépasser un petit pied, pas n'importe quel pied, je m'approche, bouge le sac pour mieux l'avoir en face de moi et tire le fameux pied hors du sac plastique. Il s'agissait du pied de mon kiki, une peluche représentant un singe qui pouvait mettre son doigt dans la bouche, grace à une main en plastique, sauf que la mienne est cassée. Je ne me rappele plus vraiment de cette peluche mais ma mère m'a toujours dit que c'était la mienne, autant ne pas la contrarier.

j'arrète pour l'instant :reflechis:

dis moi ce que tu penses

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merci :transpi:

je suis pas spécialement doué en francais, mais bon, je suis déjà plus à l'aise en rédac qu'en dissertation :haine:

bon, je vais essayer de reprendre cette petite rédaction :theo:

Je me pose sur l'une des malles remplie de vieux manteau, combinaison de ski et de gros pull en laine que la marraine de ma mère a l'habitude de confectionner. Je prend donc tout mon temps pour trier mes vieilles peluches. Au fil des années je n'ai pas remarqué combien de peluche j'ai pu avoir, je ne me souviens pas de la moitié des objets qu'il y'a dans ce sac, mais il faut bien s'y mettre. Je pose donc mon kiki sur ma gauche et sens que de nombreuse peluche vont le rejoindre. Dans ma tête je me dis, les peluches qui iront aux malheureux, seront à gauche, les autre iront à droite. Pour moi, je ne m'attend pas à ce qu'il y ait foule du coté droit, j'ai 20ans et je me vois mal dormir dans un lit recouvert de peluche plus ridicule les une que les autres.

C'est alors que commence le grand nettoyage. Je sors rapidement une longue peluche qui représente un mille-pattes. Il est rouge, vert, jaune, blanc, a des antennes qui lui tombe devant les yeux et me regarde avec un sourire figé. Honnêtement je ne me souviens pas de cette peluche, j'ai beau me creuser les méninges à la recherche de la moindre petite image ou je serais avec cette peluche entre les bras, rien. La seule chose qui me viens à l'esprit c'est la fois ou ma mère m'a raconté qu'un perce-oreille s'était retrouvé, pour sont plus grand malheur et ma plus total indifférence dans mon berçeau. Ca me fais sourire, ce n'est pas ce genre de souvenir qui donne envie de garder une peluche, je la met donc du coté gauche.

C'est au tour d'une petite bande de cochon rose , et certain avec des traces noir, qui ne sont autres que des coups de feutre, laché au hasard pour assouvir la colère d'un gamin capricieux. Cette jolie petite famille, m'a était offerte quand j'avais 8ans, je m'en souviens trés bien. C'était à noel, tout le monde était là, ma grand mère, mon grand père, la tante et l'oncle de mon père, le parfait diner en famille. Mon grand-père paternel étant polonais, ma soeur qui n'a que deux ans de moins que moi, et moi, écoutons pour la énième fois les chants de noel polonais puis d'autre chanson, en polonais toujours pour le plaisir de mon grand-père, dja-dja comme je l'appelais.

A ce noel, on peut dire nous avions était gaté, nous étions couvert de cadeau, un 4x4 électrique qui permettai à ma soeur et moi même de nous mettre dedans et faire un tour, comme dans un vrai, ma soeur avait eu une dinette, la toute dernière. Aprés cela il y avait encore un bon petit tas qui ne demandait qu'a être éventré par des petites mains avide de papier cadeau. C'était presque une course, un concours, celui qui ouvrait le plus de pacquet cadeau avec le droit de les garder, bien que mes parents avait pris soin de coller une petite étiquette qui montrais à qui appartenais le cadeau. Dans un de celui ci je découvrit une petite famille de cochon tout rose, 4 petits cochon tout rose, tout doux, chacun plus petit que son voisin. Instinctivement, je décidais d'appeller le plus grand, papa, le second en taille, maman, les deux plus petits était évidemment les enfants.

Je me rappel qu'a cette époque, je dormais encore dans la même chambre que ma soeur. Il m'arrivait quelque fois de ranger toute me peluches dans mes étagères et je gardais souvent une place particulière pour cette famille pas ordinaire. Je me revoyais, rangeant méthodiquement chaque peluche, chaque jouet à la place qui lui revenait dans ce que l'on pouvais appeller, un, mon santuaire. Quiconque les déplacé, et c'était l'ouragan qui se mettait à s'abbatre sur vous. Rare était les gens capable de faire ce genre d'action stupide et totalement suicidaire. Non, je plaisante, je n'était pas de ce genre de petit garçon, je n'était pas le genre, petit chef, dicateur, tyrannique au possible, non, ca c'était plutot le genre de ma soeur.

C'est bizarre, quand on pense à quelque chose pendant un long moment, on ne se rend plus compte de ce qui se passe devant nos yeux. Pendant un laps de temps trés court, on n'est plus conscient de ce qui nous entoure, je ne repensais qu'à ces petits cochons et les évènements qui me les avaient faire rencontrer et les moments que j'avais passé avec eux, je me revoyais revivre les scènes une à une. Bien sur j'avais des moments ou je revenais à la réalité mais, rien que pour ressentir ce sentiment de laisser aller, je replongea la main afin de le retrouver.

Cette fois ci, je sorti du sac plastique, une grosse souris toute blance, avec une queu noir. Elle a le nez pointu, deux grandes oreilles et 4 fils qui représente sa moustache. Si mes souvenirs sont bon, je l'ai rencontré pour la première fois à un anniversaire. Lequel? Ca je l'ignore, mais quel importance, je crois que c'est l'une de mes peluches préféré. Ce gros corps, avec cette petite tête, j'ai dormis avec pendant un certain temps, avant que je ne la jette hors de mon lit, pour qu'elle rejoigne le cimetière des peluches. Je me rappel que, bien que j'ai aimé cette peluche, je m'amusais souvent à l'a cogner contre le mur. Elle avait un nez tout dur qui faisait un drôle de bruit en tombant par terre. C'était une chose que j'aimais bien faire quand j'était énervé, ou même quand je ne l'était pas, même si le fais de regarder les fourmis est bien loin devant.

Avide, comme dépendant, je replonge ma main vers ce puit de souvenir, j'en ressort un vieux doudou, tout décrépi, plusieurs endroit sont sans texture, peut être à force d'être trainé. Il avait du être d'une couleur claire, mais les scéances de mastiquage intensive lui on donné cette drôle de couleur jaune passé. Je ne sais pas exactement ce qu'il est sensé représenté mais cela devait être une sorte de souris, même si une queu lui manque. Ca a du être l'une de mes premières peluches.

C'est amusant comment se fait l'évolution des peluches, tout d'abord une sorte de souris difforme, ensuite un mille-pattes, une petite troupe de petit cochon, une souris obèse....

Je retourne vers ce mon sac à nounours, j'en ressort un marsupilami, avec sa queu jaune et noir qui me regarde en tirant la langue. Quand je me rappel comment j'avais insister pour avoir cette peluche, je me revois encore supplier ma mère dans le supermarché en passant devant cette peluche. Finalement je l'ai eu au noel qui suivit.

Encore une main dans ce sac, et j'en ressort une peluche qui ressemble a un petit bébé. Mais quand on y regarde de plus près, on remarque que la tête qui est faite en plastique, est enfait fluorécente. Je ne me rappel pas comment j'ai eu cette peluche mais je me rappel que lui et la souris obèse était mes souffres douleur préféré.

On peut dire que j'ai pratiquement toujours eu une peluche par année, cette année encore j'ai recut de la part de mon père un bourriquet pour mes 20ans. Maintenant que je regarde le tri, je vois d'un coté un kiki à la main cassée, un bébé luciole, une mille-pattes multicolore, une petite troupe de petit cochon. De l'autre, ceux qui seront sauvé, le doudou souris, un doudou qui ressemble a une marionnette et qui doit être un bibofoque à poil long, ma souris obèse, mon marsupilami et mon bourriquet qui n'est pas près de quitter mon lit.

ayé pour aujourd'hui

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