Que faire quand la CNIL a poney - vive les lois liberticides

[Charles.w]

Que faire quand la CNIL à poney (parceque le 1er janvier avec la TVA à 20%, le poney c'est fini) quand le gouvernement socialiste fait passer des lois liberticides pour regenter et reglementer un peu plus nos existances.

Cf : http://www.pcinpact.com/news/84535-le-fichage-systematique-echanges-postaux-adopte-en-trois-heures.htm

ou encore : http://www.contrepoints.org/2013/11/27/147799-le-fichage-pour-tous (merci pour le poney)

et encore : http://www.contrepoints.org/2013/11/27/147821-le-gouvernement-fait-voter-une-loi-orwellienne

Personnellement, je propose de distribuer des tracts à toutes les prochaines élections, en expliquant aux gens pourquoi il ne faut ni voter / voter blanc...dommage qu'ils n'y ait pas de libertariens visibles et influents dans ce pays...ca éviterais bien des dérives...

Pour ceux qui ignoreraient ce qu'est le libertarianisme : http://fr.wikipedia.org/wiki/Libertarianisme

(et pour ceux qui ont vraiment la flemme de lire : http://commons.wikimedia.org/wiki/File:Diagramme_de_Nolan.png )

[Zappi]

Je plussoie fortement et comme dirait Coluche Si voter, changeait quelque chose, il y a longtemps que ça serait interdit

[digital-jedi]

Bonjour, En fait, j'ai beaucoup de mal à sortir de mon train-train quotidien métro-boulot-dodo pour me dire que, pour tel fait d'actualité ou politique, je devrais m'engager et aller tracter par exemple. Très souvent, des lois sont votées puis abrogées. Ou alors sans jamais avoir de décret donc inapplicable. Je signe une pétition de-ci de-là. J'ai ma carte de membre d'un parti d'opposition, et je vais voter à toutes les élections pour mon candidat puis blanc au second tour parce qu'il n'est pas passé et que je ne souhaite élire aucun des 2 candidats.

Bref, bon courage. Si tu le fais, c'est admirable.

[Charles.w]

Je pense qu'il suffit juste d'éduquer les gens sur le vrai sens du mot liberté, ainsi que sur le sens du mot libéral, qui jusqu'à l'arrivée des communistes et de leurs enfants batards (au sens littéral du terme) - les socialistes de tous bords - n'usurpent et ne détournent complètement l'usage de ces deux mots.

En effet, aux yeux de la "fausse gauche" (j'y reviendrais par la suite), liberté = anarchie = danger => doit être restreint au strict minimum pour contrôler les gens et leurs modes de pensées...et liberal = pourri de capitaliste de merde => doit être villipendé et dépouillé...

Par ailleurs, je me demande bien pourquoi la France est considérée comme étant le berceau de la pensée libérale moderne partout dans le monde sauf en France ? Le ministère de l'endoctrinement national se faisant passer pour le ministère de l'éducation nationale occulte totalement des personnages clés du siècle des lumières car leur pensée libérale va à l'encontre de la politique d'endoctrinement forcée du peuple...et ne parlont pas du fait que la constitution de 1789 ne soit jamais étudiée dans le détails...grands ciels...elle est un résumé de la pensée libérale !

Le problème de la politique en France remonte à la fin du 19ème siècle...à l'époque, les libéraux avaient pour habitude de siéger "à gauche" de l'assemblée...mais ils se sont fait chasser par les suiveurs de Marx qui réécrivant l'Histoire se sont fait passer pour les "sauveurs du peuple"...alors qu'en réalité leur programme relève d'une utopie non réalisable car non pragmatique et niant fondamentalement la nature même de l'être humain...mais le mal était fait, les libéraux disparurent de l'échiquier politique français et se retrouvèrent dilués à droite (liberté économique) comme à gauche (liberté des moeurs)...Le soucis désormais c'est qu'ils sont de plus en plus minoritaires car pour rester pragmatique, un libéral ne peut pas ne pas être en contact avec la réalité...

On se retrouve de nos jours surtout avec des conservateurs de gauche et des conservateurs de droite qui tous complottent contre le peuple de France pour restreindre sa liberté, aussi sournoisement que possible, en l'endoctrinant dès sa tendre enfance (éducation nationale), en l'espionnant dans ses activités de tous les jours (caméras, surveillance de toute forme de communication), en l'empechant de se déplacer librement (radars), en l'écrasant sous les impôts pour le faire plier et en lui accordant des aides pour qu'il puisse les payer sous réserve qu'il se taise.