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Le Topic des Bretons et des Bretonnes


Scaramouche

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loire atlantique c est pô en bretagne d abord c est en anjou bande d incultes :transpi:

c est honteux didjou m en vais le dire a mes bretons :non:

:non:

http://fr.wikipedia.org/wiki/Anjou

http://fr.wikipedia.org/wiki/Bretagne_historique

http://fr.wikipedia.org/wiki/Histoire_de_la_Loire-Atlantique

[La Loire-Atlantique a été créée comme la plupart des autres départements français à la Révolution française, le 4 mars 1790, en application de la loi du 22 décembre 1789, à partir d'une partie de la province de Bretagne.]

mais je pense que c'était de l'humour ou tu as confondu avec le Maine-et-Loire :mdr:

je suis originaire du maine et loire :byebye: donc je suis bien placé pour te dire dans quelle region est située la loire atlantique :chinois:

il y a quelques "nantais" qui revendiquent le fait d'etre bretons mais en bretagne ils passent pour des blaireaux :transpi:

par exemple beaucoup de bretons detestent tri yann de par ce fait...

perso j'ai rien contre tri yann :non:

mais bon c'est comme ca, la loire atlantique appartient aux pays de loire (la region) et pas a la bretagne.

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par exemple beaucoup de bretons detestent tri yann de par ce fait...

perso j'ai rien contre tri yann :chinois:

mais bon c'est comme ca, la loire atlantique appartient aux pays de loire (la region) et pas a la bretagne.

Le breton est-il ma langue maternelle ?

Non ! Je suis né à Nantes où on n'le parle pas.

Suis-je même breton ???... Vraiment, je le crois...

Mais de pur race !!!... Qu'en sais-je et qu'importe ?

Séparatiste ? Autonomiste ? Régionaliste ?

Oui et non... Différent...

Mais alors, vous n'comprenez plus :

Qu'app'lons-nous être breton,

Et d'abord, pourquoi l'être ?

Français d'état civil, je suis nommé français,

J'assume à chaque instant ma situation de français.

Mon appartenance à la Bretagne

N'est en revanche qu'une qualité facultative

Que je peux parfaitement renier ou méconnaître...

Je l'ai d'ailleurs fait...

J'ai longtemps ignoré que j'étais breton...

Français sans problème,

Il me faut donc vivre la Bretagne en surplus

Et pour mieux dire en conscience...

Si je perds cette conscience,

La Bretagne cesse d'être en moi.

Si tous les bretons la perdent,

Elle cesse absolument d'être...

La Bretagne n'a pas de papiers,

Elle n'existe que si à chaque génération

Des hommes se reconnaissent bretons...

A cette heure, des enfants naissent en Bretagne...

Seront-ils bretons ? Nul ne le sait...

A chacun, l'âge venu, la découverte... ou l'ignorance !

De plus, à l'origine, ils étaient "Tri Yann an Naoned"...

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mais bon c'est comme ca, la loire atlantique appartient aux pays de loire (la region) et pas a la bretagne.

Bin attend , c'est pas fini :oops:

J'ai une petite anecdote:

L'année dernière, un couple de quarantenaires ont repris le café/épicerie/restau du village. Lors de leur rencontre avec le comité de communes, on leur a demandé ce qui leur plaisait dans le coin (centre-bretagne). Ils ont répondus qu'ils avait envie de faire revivre le village, et qu'étant donné qu'ils sont bretons, ils ne seraient pas dépaysés.

Un des élus leur demande: ah oui, vous êtes bretons? de où?

Là ils répondent qu'ils sont de saint-malo.

Hé bien, le gars leur à répondu: Bin c'est pas la bretagne ça, St-Malo!!

Véridique! Autant dire que l'accueil leur a fait plaisir, alors qu'ils venaient juste de signer l'achat.

Et puis comme l'ambiance s'est bien améliorée ensuite, ils ont fermé boutique y'a 2 mois :dtc:

Y'a un gars (originaire du finistère) au boulot une fois qui m'a dit: de toutes façons, Loudéac c'est pas vraiment en bretagne, c'est le pays Gallo :p

Donc si on suis bien le raisonnement, les vrais bretons on les trouve à Brest, et encore, c'est pas sûr qu'à Brest-est ils soient considérés comme purs bretons ;)

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Bonjour,

Seulement, si on tient ce genre de propos (que je confirme avoir entendu, étant finistérien) à des "militants nationalistes bretons" (dont les 2/3 sont en zone gallèse), c'est le tollé et ils prétendent que ce n'est pas vrai :eeek2: ....les plus virulents en ce qui concerne l'identité bretonne sont toujours, ou presque, ceux qui sont le plus francisés.

Il y a sûrement une morale dans cette histoire, mais laquelle? :chinois:

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Vous vous cachiez la bande de salot :ouioui::yes: .

----> ça? :smack:

ok je pensais que c'était un truc amical, mais visiblement non...

Et puis je viens de voir sa signature... :chinois:

---

Merci d'avoir assouvi ma curiosité... :D

Nan car je savais pas qu'il yavait un topic pour les bretons et comme j'habite à rennes et rennes c'est en bretagne ...

Tien tu ma fais pensé à actualiser ma sign :D

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Bonjour,

Sauf qu'à l'époque (mi 70, cette chanson est tirée de l'album la découverte ou l'ignorance), le milieu culturel breton ne connaissait pas le pedigree de l'auteur du texte, Morvan Lebesque....

Je ne connaissais pas l'oiseau, mais il semble avoir écrit des choses intéressantes...

« Solidaire des rois qui ont colonisé mon pays ou des "républicains" bourgeois qui ont assassiné sa culture, jamais. Mais de Proudhon, mais de Jaurès, oui, certes, profondément, passionnément ! Quant aux Français, je n'ai même pas à leur être solidaire : je suis eux, je suis vous. Sans vous, mon combat breton n'a pas de sens. »
« Max Jacob est-il moins breton pour nous parce qu'il est aussi juif ? »
Il entre au Canard enchaîné en 1952, en connaissance de son passé de journaliste breton, en trouvant sa rubrique et son style, entre polémique et pamphlet, pessimisme actif et humanisme laïc. Albert Camus était son modèle. Il acquit rapidement une très grande popularité auprès des lecteurs du Canard enchaîné (il fut pour nombre de lecteurs un véritable directeur de conscience), mais se tint en marge de la rédaction. Il se contenta d'envoyer ses papiers par la poste ou par coursier et n'apparut plus que pour les grandes occasions. En 1960, on estima que ses articles étaient lus par les 350 000 acheteurs hebdomadaires du Canard enchaîné. Certains sont ronéotypés, imprimés sous forme de tracts, distribué dans des écoles ou affichés comme « journal mural » dans des ateliers. Une université américaine les a traduits et inscrits à son programme. On estime qu'en réalité, grâce à cette diffusion bénévole, le nombre de ses lecteurs dépasse le million.
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« Solidaire des rois qui ont colonisé mon pays ou des "républicains" bourgeois qui ont assassiné sa culture, jamais. Mais de Proudhon, mais de Jaurès, oui, certes, profondément, passionnément ! Quant aux Français, je n'ai même pas à leur être solidaire : je suis eux, je suis vous. Sans vous, mon combat breton n'a pas de sens. »
« Max Jacob est-il moins breton pour nous parce qu'il est aussi juif ? »

Bonjour,

il manque un lien du wiki:

En 1929, il est responsable pour le pays nantais du PAB, le Parti autonomiste breton des Breiz Atao. En 1931, il scissionne avec Théophile Jeusset, et fonde le mouvement et la revue Breiz da zont, de tendance socialiste national breton. En décembre 1931, Jeusset lance l’éphémère Parti Nationaliste Breton Intégral. Morvan Lebesque, promu délégué général à la propagande, envoie un message au congrès constitutif : « Je fais le serment, de lutter de toutes mes forces pour l’établissement de la Nation bretonne et de l’Etat breton social-nationaliste » . Il écrira dans la première période de la revue Breiz da zont. Le thème de ses articles sont sur : le message qu’il voulait faire passer au congrès du PNBI dont le contenu est nationaliste-breton, un autre est sur “Le socialisme national breton“ où le contenu est typique du discours “fasciste" de gauche.

Collaboration

En août 1940, il est le premier rédacteur en chef de L'Heure Bretonne, le journal collaborationniste et antisémite du PNB, le Parti national breton tenu par Olier Mordrel. Il ne reste pas longtemps (2 semaines). Il se défendra toujours de cette courte période en arguant « de sa naïveté et en assurant qu’il est parti dès qu’il s’est aperçu des velléités pro-allemandes du journal ». Remonté sur Paris en septembre 1940, il collabore comme journaliste régulièrement jusqu’en 1943 à “Je suis partout“, le journal de Robert Brasillach. Il fit paraître une nouvelle Le vieux, le 21 février 1941, et une chronique intitulée 150 ans de variétés du 21 mars au 2 juin 1941. Il écrit aussi dans Le Petit Parisien, qui publie du 6 au 11 octobre 1941 une série intitulée Un héros de la liberté, le Président Krüger, livre repris en volume la même année par Sorlot. Il rempli aussi la fonction de secrétaire auprès du critique dramatique de Je suis partout, Alain Laubreaux.

Le Canard Enchaîné

Il collabora au Canard enchaîné en 1952, en connaissance de son passé (il fut surnommé par ses camarades « Je sue partout » lors du coup d’état des militaires en Algérie),

(c'est moi qui surligne).....pas besoin d 'autres commentaires quand on voit le parcours du gazier.

Il est d'ailleurs amusant de voir cohabiter deux citations l'une sur le Juif Max Jacob et l'autre sur Proudhon, lorsqu'ons ait ce que ce dernier, antisémite notoire, a lui aussi écrit sur les Juifs....

Morvan Lez-Breizh résume la tendance des nationalistes bretons: gwenn ha du dehors, mais bien bruns à l'intérieur.

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Ben t'aurais du la laisser vierge, ta sign :p

Ta qu'a me faire une sign :mad: .

Les prévisions de rennes aujourdhui : des manifestations de lyciens envhaira la ville quelques brisage de crane entre les étudiants et les CRS (camion rempli de singe) .

Appart ça on va se tapper un maire de l'ump :p:troll:

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