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negus56

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Tout ce qui a été posté par negus56

  1. [Opinion n'engageant que moi] Je suis allé regarder le test sur ebouquin et même si elle bénéficie d'améliorations techniques et logicielles, je la trouve relativement moche par rapport aux PRS 350- 650. J'ai offert à ma belle mère une PRS T1, et j'avais déjà fait ce constat d'une qualité de fabrication qui est très éloignée du standard précédent, pour un confort de lecture équivalent : même si le processeur des T1 et T2 est largement plus véloce que celui des 350-650, l'écran reste le principal vecteur d'interaction, et, en dehors de la vitesse de rafraîchissement, rien n'a changé (c'est un e-ink pearl en 800*600 qui équipe les 3 dernières générations de liseuses sony)... Sony pourrait comprendre que les gens aiment acheter des objets de qualité, bien finis, et qu'ils en attendent aussi un suivi bien plus important. S'il est impossible de rajouter le wifi sur la 650, ils pourraient modifier son firmware et la faire bénéficier des nouveaux logiciels qu'ils proposent pour leurs nouveaux modèles, afin d'unifier les versions plutôt que de créer des exceptions à chaque version.[/opinion n'engageant que moi] Par ailleurs, existe-t-il des gestionnaires de bibliothèques numériques indépendants, dotés de fonctions telles que windows media player par exemple, ou itunes, rattachés à des magasins en ligne ?
  2. Pareil pour moi. Je paye volontiers certaines applications téléchargées sur mon téléphone pour ne pas avoir de publicité, je me verrais absolument opposé à la moindre publicité dans un livre. Ainsi, payer 4¤ un livre électronique ne me paraîtrait pas indécent. En revanche, payer près de 14 ou 15¤ me fait penser à du vol (pour un bouquin "moyen" de 200 pages environ. Je suis prêt à aller jusqu'à 10¤ pour un bouquin de plus de 1000 pages en version électronique). Maintenant, je me pose toujours la question : est-il plus intéressant pour un auteur (de livre ou d'applications pour téléphones) de financer sa production par la publicité ou par l'achat direct à prix modéré ? Pour un livre, vu les quantités vendues, je doute que la première solution soit viable pour l'auteur. En revanche, pour le second, j'imagine qu'à long terme, ce serait l'inverse... Mais ce n'est pas le sujet du débat. Bonne journée !
  3. J'ai le sentiment que suivant l'appareil, c'est plus ou moins au point. Pour mon PRS-650, le tactile réagit aussi bien que les boutons, soit, pour un .epub, une commande de tourne réagissant instantanément, à une vitesse d'1/4 de seconde pour le rafraîchissement de la page. Je ne connais pas le nouveau Sony, mais le PRS-650 est détecté comme de l'USB mass storage sous une distro linux. Il n'y a que leur software de gestion de bibliothèque qui nécessite windows ou OS X, et, comme il n'est en aucun cas indispensable...
  4. ça me paraît énorme comme taux de rafraîchissement pour ce type de technologie. Y aurait pas un 0 de trop là ?
  5. Je trouve tout de même curieux que sur nombre de produits, les constructeurs s'obstinent à créer leurs spécificités et à ne pas vouloir d'interopérabilité ou presque. Certes, il y a là une logique commerciale évidente (par exemple, je ne mets pas mon produit à jour, je crée un écosystème fermé, ce qui a comme conséquence d'obliger les consommateurs à renouveler leurs équipements rapidement pour mon futur produit de préférence...) mais cela donne en retour des arguments aux défenseurs du papier, dont le "support", lui, est indépendant de toute entreprise mercantile une fois édité. Bref, plutôt que d'apporter une distinction par la qualité de fabrication, les fonctionnalité internes, le peaufinage du firmware et sa mise à jour pour le respect des standards, finalement, les constructeurs (et les "numérisateurs", somme toute) jouent la carte de la défiance à leur égard plutôt que la confiance. Encore des progrès à faire pour réellement démocratiser ces technologies...
  6. Merci pour l'info je suis concerné. Ce qui est intéressant, c'est la possibilité de passer au firmware d'origine en cas de problème. En attendant, la seule fonctionnalité faisant vraiment défaut sur les liseuses de cette génération, c'est l'impossibilité de choisir son dictionnaire, sinon je n'ai pas à m'en plaindre. A savoir qu'il existe également un autre projet de développement de firmware pour les liseuses sony : http://code.google.com/p/prs-plus/ Mais il semble moins avancé pour le moment. Quel dommage que Sony ne fasse pas un effort et développe des firmware unifiés par exemple, je doute que, en dehors du wifi, il y ait une énorme différence de matériel entre la 650 et la T1...
  7. Que ce soit à travers les commentaires de PCInpact, ici, sur ton blog, quelques liens sur twitter, cela finit par faire beaucoup d'informations ! J'aurais tendance à croire que les contournements seront légion : achats sur des plateformes étrangères, en particulier. Merci !
  8. Beaucoup d'aspects ont déjà été traités, en particulier par ta plume. Cela a donc pour moi un léger goût de "réchauffé." La question du "bundle" ou encore d'une véritable valeur ajoutée à l'ebook me semble importante afin de ne pas favoriser la prolifération de modèles économiques "parallèles" à un système qui nous prendrait pour de drôles d'oiseaux. Mais, en France, la tendance reste plutôt à tirer sur la corde pour étrangler le consommateur jusqu'à ce que le modèle économique ne soit plus viable. Mais ce point du bundle me semble indispensable dans la mesure où l'ebook ne serait que l'adaptation numérique d'un texte par ailleurs publié sous forme papier. Un format "différent", comportant intrinsèquement sa propre valeur ajoutée, échapperait peut-être à une nécessité de "bundlisation." L'idée du "format" variant selon le "genre" me semble intéressante dans la mesure où nos bibliothèques sont déjà remplies d'in quarto, octavo, poche, etc. Je pense que l'½uvre "traditionnel", càd uniquement du texte, poursuivra tranquillement sa lancée en epub sans prendre en compte des questions de couleur ou animation, alors que de nouveaux segments apparaissent à côté, nécessitant des écrans réactifs, colorisés, ou encrore des tailles diverses. Je ne sais pas si j'ai bien traduit l'idée du paragraphe relatif à cette question, mais c'est ainsi que je la vois. Ainsi, le dernier point traité dans le lien prend tout son sens : il pourrait être fourni gratuitement des lecteurs de formats différents, moyennant une monétisation différente des livres, afin de "supporter" les ½uvres en fonction du format. Bref, j'espère pour les maisons d'éditions réactionnaires qu'elles sauront évoluer, sinon, elles se laisseront dépasser par les "indies" pour agoniser doucement sur fond de nostalgie économique... Mais, serait-ce réellement un mal ?
  9. Quelques ajouts à la réponse de Jiminy Pan, dont les citations sont toutes de sa main. J'ajouterais que le choix de la technologie d'interaction avec l'écran représente un confort plus ou moins important. Sur un Sony PRS-650, tu le fais avec un stylet, et cela reste relativement confortable malgré la lenteur de rafraîchissement de l'écran qui empêche de bien visualiser ce que tu es en train de sélectionner. Mais j'avoue ne pas augmenter la taille de la police pour me faciliter la vie Les Kindle actuels utilisent exclusivement un clavier pour cela. En dehors de la TVA française, Amazon applique-t-il d'autres frais ? Si c'était le cas, je considèrerais cela comme une escroquerie... Les bibliothèques semblent mener des tests actuellement, je pense que cela devrait venir assez vite. Mais un certain nombre de questions devrait logiquement précéder la mise à disposition d'un catalogue numérique : Un fichier numérique étant "copiable," comment gérer le prêt, qui, jusqu'à présent, "empêchait" la consultation et le prêt à d'autres adhérents ? Que se passe-t-il à la fin de la période de location si on n'a pas fini l'ouvrage ? Vu que le fichier est disponible en permanence a priori, faudra-t-il simplement renouveler la location, ou une période de "carence" sera-t-elle appliquée ? Quel format choisir ? Quelles DRMs ? et d'autres questions découlant de celles-là, comme la gestion des droits d'auteurs, etc. Bref, face à une "inconnue" de taille, l'adoption par le public français de ces technologies, je pense qu'il risque d'y avoir beaucoup de flottement dans la mise en œuvre de la "location." Côté appareils, mon PRS-650 gère les prêts, mais toutes les technologies de "prêt" sont-elles interopérables ? (Je n'ai jamais essayé cette fonction par ailleurs.) Et pas qu'un peu plus cher, mais j'avoue que j'avais acheté le Sony pour sa qualité de fabrication, et le fait qu'il ne soit pas connecté n'a jamais été un problème pour moi. Le seul reproche que je puisse lui faire, c'est d'être capricieux selon le chargeur micro-usb qu'on lui branche pour le recharger. Je te trouve très gentil, pour le coup, mais, à mon humble avis et très personnellement, Google Books n'a strictement aucun intérêt pour le moment. Leur plus grande faiblesse étant en plus qu'a priori, tout est géré extérieurement, dans le "cloud", comme il est convenu de l'appeler maintenant, ce qui affranchirait le lecteur de toute préoccupation de format ou autre joyeuseté, mais l'empêche aussi (pour le moment) d'ajouter ses propres livres numériques dans google books s'il désire n'utiliser qu'une seule application. Pour le principe, je préfère posséder un fichier sur mon ordinateur, quitte à en avoir une copie de sauvegarde disponible en permanence dans le cloud, mais pas qu'on m'impose une seule copie accessible, et dont on pourrait trop facilement m'empêcher la consultation pour une raison X ou Y même si je l'ai payé... Enfin, concernant les Kindle, j'ai lu (je ne sais plus où) qu'ils réfléchissaient à l'implémentation de la prise en charge du format ePub. À suivre !
  10. On a trouvé un champion de la connerie ! Incroyable de voir quelqu'un d'aussi mal renseigné et en retard de... un siècle ? Peut-être voulait-il sortir de l'anonymat ou lancer au moins une question annuelle. Le dîner de cons, c'est tous les jours avec eux.
  11. je n'aurais jamais pensé qu'ils soient capables de produire de tels écrans couleurs. Jusqu'ici, le contraste me paraissait très faible et les couleurs fades. Je me demande quelle technologie ils utilisent. Mais clairement, avec celle de Fujitsu, bon nombre de médias "papiers" trouveraient ici un nouveau support. Le véritable enjeu reste de produire de tels écrans avec une technologie permettant un rafraîchissement de 25 i/s, minimum pour une image animée sans saccades visibles pour le commun des mortels. Mais la technologie de Fujitsu semble proche d'une animation : la tourne de page, bien visible, plutôt fluide, est-elle une forme d'animation ou simplement un procédé mécanique ?
  12. Une solution possible ici : [tuto] Sony Reader PRS-350 : petit bricolage pour lire pendant la recharge... ...ou le lien du tuto en pdf : http://www.megaupload.com/?d=98K1ARLU Comme je le disais dans un de mes posts, tous les chargeurs USB ne se valent pas, et par exemple, je peux utiliser mon PRS-650 pendant la charge avec le chargeur du téléphone sony X10 de ma femme ou bien le chargeur US de mon nexus 1. Si je me réfère à ton tuto, Cela voudrait dire qu'à partir du moment où le reader détecterait une possibilité d'échange de données, il se mettrait en charge et en mode "passif" comme lorsqu'il est relié à l'ordinateur, je suppose, pour servir de support de stockage. Les chargeurs cités, eux, seraient dépourvus de cette fonctionnalité et condamneraient (ou "court-circuiteraient" les deux D, permettant l'utilisation de l'appareil pendant la charge. Pour le coup, je me demande pourquoi ma liseuse ne peut être chargée avec un chargeur universel ? Tout ça me paraît tellement étrange.
  13. Diverses technologies d'encre électronique couleur ont bien été annoncées, mais pour le moment elles ne sont pas disponibles au sein de produits commercialisés. De plus, ces technologies sont encore à l'état de prototypes le plus souvent. Il me semble qu'une des technologies permettait même un taux de rafraîchissement d'images qui pourrait laisser penser que, d'ici quelques années, le visionnage d'une animation serait possible. Mais, pour le moment, les liseuses à "encre électronique" (technologie e-ink, sipix par exemple) affichent des niveaux de gris uniquement. Pour de la couleur, il faudra donc te tourner vers les tablettes. Sur Android, il existe une application que je trouvais très bien faite, puisqu'elle a la possibilité "d'animer" les BD en faisant défiler les cadres progressivement. Je suppose que sur iPad il doit y avoir quelque chose de ce genre. Si tes BD sont au format PDF, ces tablettes sauront aussi les prendre en charge. Quant à savoir quel produit acheter, si tu n'es pas trop pressé, pourquoi ne pas attendre la sortie de l'iPad 3 qui est pressenti pour avoir une définition nettement supérieure à ce qui se fait actuellement tout en gardant son format de 9.7 pouces, ce qui rapprocherait son écran d'une résolution dite "Rétina" déjà présente sur l'iPhone actuel.
  14. Aldiko est clairement mieux réalisé que l'application de Google, permet l'achat, le téléchargement et l'ajout de fichiers possédés. Par certains aspects, il tente de copier l'application iBooks et il s'en sort plutôt bien. Leur site donne un certain nombre de renseignements, mais pour le moment je n'ai rien trouvé quant à la version epub supportée. http://www.aldiko.com/index.html Le navigateur Chrome, que ce soit sa version desktop ou mobile, utilise webkit. Je trouve encore plus étonnant, après avoir lu ce que tu énonces, que cette société ne se penche pas davantage, voire avec "férocité" sur ce marché. En tous cas, j'espère qu'ils vont réagir et sortir de la tendance "tout dans le cloud" qu'ils essaient d'imposer...
  15. je ne comprends pas non plus que Google laisse passer manifestement un marché aussi juteux. En somme, ils ne font que proposer leur catalogue en espérant rentabiliser (sur du gratuit sans publicité en plus) leurs campagnes de numérisation d'½uvres libres de droits...
  16. Test rapide de l'application Google Livres, qui vient d'apparaître sur le market. J'utilise un Nexus One, et j'ignore pour le moment si cette application est disponible pour d'autres terminaux que les Nexus. Retrouvez sur cette page les captures d'écran. (Prévenez-moi si ça ne marche pas.) En résumé : alléché, mais déçu. Apparemment, pas moyen d'importer des ebooks personnels, pas moyen d'accéder à autre chose que Google books. Il m'a été impossible de connaître les spécifications des livres de Google, mais je doute que ce soit de l'epub Un coup dans l'eau pour Google ?
  17. Génial ! C'est ma femme qui va être contente bientôt... Du coup, cette nouvelle pourrait mettre à mal les autres readers en terme de fonctionnalités et entraîner un regain de créativité sur leur conception...
  18. Je ne connaissais pas, mais je mets le lien dans mes favoris. Je testerai le site à l'occasion de la prochaine synchronisation de mon reader ! Au passage, Clubic vient de mettre à jour ses tests de liseuses. Ça se passe par là. La page de comparatif de liseuse des Numériques se trouve ici.
  19. Débat pas si "chiant" que ça, je trouve, ne serait-ce que par le décalage entre la réalité (quand bien même elle se déroule sur des enjeux de réalité virtuelle) et le conservatisme aveugle dont font preuve certaines de nos têtes pensantes. Je n'ai pas lu en détail les deux articles, mais j'ai pu relever que, non content de se livrer à une forme de procrastination débile et de prendre les choses à bras le corps, nos têtes pensantes savent aussi s'entourer par une tripotée de branquignols sur les questions évoquées (3 membres de Skyrock, par exemple, pour parler de livre...) Hélas, l'actualité, et, en particulier, quand elle touche à des aspects hautement technologiques, est truffée d'exemples de ce genre (Riguidel ou Lefebvre entre autres.) [pensée personnelle] J'aurais tendance à croire que cet entourage n'est pas fortuit. Sous un vernis de transparence d'analyse qui se voudrait citoyenne, au service du peuple, ce comportement (et ce n'est plus à démontrer) sert avant tout des enjeux d'enrichissement personnel. Une véritable révolution dans notre pays consisterait en l'élection par des collèges de professionnels des secteurs concernés des conseillers politiques, et non plus des nominations cooptées. [/pensée personnelle] Sinon, je ne connais pas d'applications dédiées à l'autodafé numérique, hormis "supprimer un livre"... Personnellement, je les conserve sur ma liseuse, en me disant que le jour où je remplirai la mémoire interne et une carte SD d'ouvrages lus, je serai certainement bien vieux...
  20. Voilà quelques impressions sur l'utilisation du format PDF sur le PRS-650, avec un protocole de test qui aurait mérité d'être un peu plus poussé, mais nous n'avions pas trop le temps. Tout d'abord, les fichiers ont été transférés depuis un Apple Mac Book avec un simple glisser-déposer sur le dossier de la carte SD, (sans passer par le logiciel de Sony, disponible pour les Mac.) 1. Dissociation de fichiers. J'ai été étonné de constater que l'appareil créait deux fichiers à partir d'un PDF. Le fichier comportant le nom original et son extension originale était illisible. Le fichier supplémentaire se trouvait renommé et une extension différente y était accolé (un .indd et une autre dont je ne me souviens plus, je n'ai pas gardé les fichiers.) Le fichier complémentaire est, lui, lisible. 2. Comportement des PDF lus. Deux des PDF lus furent manifestement créés à partir de textes "électroniques", et le troisième à partir d'un livre scanné page à page. Lorsque la source est électronique, l'appareil permet le redimensionnement de la police, ce qui permet de retrouver un confort équivalent aux fichiers epub, la justification en moins. Les pages, dimensionnées à la base en A4, défilent comme les epub (par exemple, quatre "tourne" de page sur le reader pour une page A4 tournée.) Au passage, le format de 6" ne permet pas d'avoir une vue confortable de la page A4 lorsqu'elle est affichée en entier. Sur le fichier dont la source fut scannée (et dont je ne connais pas le format de base,) il faut utiliser le mode zoom pour pouvoir lire le document. Le passage d'une page à une autre est plus fastidieux, et je n'ai pas pu tester toutes les possibilités du mode. A priori, aucune possibilité d'utiliser les boutons de tourne de page dans ce cas. 3. Réactivité de l'appareil. Jusqu'à présent, j'ai toujours trouvé que le temps pour tourner une page sur mon reader était tout à fait convenable (moins d'une demi-seconde approximativement.) Cependant, mon appareil s'est mis à ramer, faisant attendre une tourne trop longtemps pour être confortable (plus de 2 secondes.) Comme je pensais avoir mal appuyé sur le bouton (comme cela m'arrive assez régulièrement,) j'ai évidemment réitéré ma commande. Conséquence : l'appareil avait bien enregistré chaque commande, et s'est mis à tourner les pages en dehors de ma volonté ! 4. Tests à effectuer et conclusion. Bref, sentiment plutôt mitigé sur le PDF. De plus, les PDF DRMisés ne sont pas pris en charge par l'appareil. Pour les test à réaliser, je vais tester depuis Windows si les fichiers se retrouvent dissociés, mais en utilisant cette fois-ci deux méthodes d'ajouts de contenus. À suivre !
  21. J'ai eu peu d'occasions d'essayer le format PDF sur mon PRS-650. Aujourd'hui, je devrais en faire un test plus complet, un ami universitaire est intéressé par la question et je pense que nous allons voir un certain nombre d'ouvrages publiés uniquement dans ce format sur ce site : http://www.library.nu Notez la très probable non-conformité du site au droit d'auteur, mais, d'après mon ami, le prix de ce genre de livre est tellement délirant (souvent plus d'une centaine d'¤) que les tirages, faibles, sont presque destinés uniquement aux bibliothèques universitaires, et que les éditeurs "acceptent" plus ou moins un large photocopiage ou encore pompage numérique. Je vous en dirai plus demain sur nos conclusions.
  22. J'avais pensé écrire un livre "enrichi", d'un format relativement court (lecture en 1h30 maximum) où le contenu du texte ne pourrait être détaché d'un contenu musical et nécessiterait de ne pas écouter la musique en "fond", mais bien d'en saisir certains aspects émotionnel pour créer une interaction volontaire entre les deux médias. Cela impose de penser aussi une "vitesse" de lecture... Reste à voir si je vais m'y atteler sérieusement ou laisser tomber rapidement comme je peux le faire d'habitude. Peut-être y a-t-il un néologisme à inventer pour désigner ce nouveau genre de média. Je pense que la terminologie du mot "livre" est tellement ancrée dans l'inconscient de la plupart des personnes que l'imaginer même sous forme électronique pose un problème. Pour ainsi dire, le problème se pose pour le livre "enrichi" de la même manière qu'une partition ou un livre de pièce de théâtre. En soi, l'objet sur lequel sont positionnés les codes (notes, portées, indications rythmique, de caractère, dialogues, didascalies...) ne représente pas l'½uvre pleinement, puisqu'elle ne prend sens qu'avec une interprétation.
  23. Un parallèle évocateur de cette problématique fut l'adaptation de certains sites internet pour les smartphones (comme m.pcinpact.com par exemple ) En ce qui concerne le domaine du livre, si ma femme lit sur son smartphone, je me demande comment elle peut le faire. L'écran est trop petit, oblige à tourner les pages trop rapidement, et offre un confort de lecture que je qualifierais de très médiocre. Je ne vois pas pour le moment comment adapter un contenu de livre "traditionnel," généralement un texte relativement long, à ce genre d'appareils, sauf, comme tu l'écris, à implémenter de nouvelles fonctions comme la vidéo et l'audio et à laisser le mode "lecture" à la portion congrue*. Les BD en revanche ont trouvé là un modèle relativement innovant et sympa, qui pourrait même être amplifié (dialogues en audio et non en texte par exemple**.) En revanche, pour les tablettes, le format permet davantage de latitude. L'augmentation de la résolution (et notamment l'arrivée d'écrans de type Retina) me semblerait un bon préalable à la diversification du livre que tu évoques, sans pour autant pouvoir remplacer le confort offert par nos chères liseuses électroniques à technologie e-ink et dérivées. (Je ne comprends d'ailleurs pas le choix de la Fnac pour son Fnacbook équipé de technologie Sipix...) *Ce qui pourrait presque s'appeler du cinéma **Et là, du dessin animé Dans le monde, en France ? Aux USA, le Kindle semble avoir pris un certain envol. Et lorsque j'en parle autour de moi, les gens commencent à manifester un certain intérêt pour ce type de produits. En tous cas, ce sera un prochain cadeau pour ma femme et certainement ma belle-mère !
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