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faite gaffe encore un virus

SEATTLE (Reuters) - Une variante du ver "Bugbear", déjà apparu sur internet en octobre dernier, a commencé à se répandre sur le réseau mondial depuis mardi, et sa vitesse de contamination s'est accrue mercredi.

Outre la capacité du virus original à ouvrir des "backdoors" dans le système des ordinateurs infectés et à enregistrer les séquences de touches utilisées, la variante a améliorer sa capacité de collecte des adresses électroniques enregistrées et se propage ainsi plus facilement en se faisant passer pour un message d'une personne connue, a expliqué David Emm, de l'Anti-Virus Emergency Response Team de Network Associates.

Le risque pour l'utilisateur de voir divulguées des informations confidentielles contenues dans son ordinateur s'en trouve accru, des pirates pouvant utiliser la "backdoor" pour s'infiltrer dans le système et voir les données tapées au clavier.

Une fois activé, par simple visualisation du message électronique, la variante de Bugbear tente de désactiver certains programmes de sécurité.

Le message contaminant porte différents titres en anglais à la tournure banale, comme : "Interesting...", "Just a reminder" ou "Hi!".

Bugbear profite d'une faille de sécurité répertoriée du logiciel de navigation web Internet Explorer de Microsoft qui lui permet de s'exécuter sans que l'utilisateur ait à ouvrir la pièce jointe, mais par simple visualisation du fichier HTML chez les clients de courrier électronique Outlook et Outlook Express.

Le virus peut s'exécuter sur d'autres logiciels de mail, mais pas de façon automatique.

Plusieurs éditeurs de logiciels antivirus proposent au téléchargement des mises à jour et Microsoft diffuse sur son site web un correctif permettant de remédier à la faille de sécurité.

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